La Dette de la France

Mitsahne a écrit:Le bon sens n'est pas très coté en France et les Français on un âge électoral très inférieur aux 18 ans requis. Ils votent "aux tripes", plus par rejet de l'actuel que par sympathie pour le prétendant.

Je ne vous le fais pas dire, les gens votent seulement grâce à leurs impressions et non en réfléchissant (à se demander s'ils sont conscients de ce qu'ils font... )

J'ai deja entendu des phrases du genre :

"Je vote Besancenot parce qu'il a une belle gueule!"

"Je vote Sarkozy car avec lui, les gauchos vont en chier et on va voir ce qu'on va voir!"

"Je vote Royal car j'ai pas de sous!"

Mitsahne a écrit:
Ce fut le cas manifeste du TSS (Tout Sauf Sarkozy) qui explique parfaitement l'élection du minus-François au poste de Président de la République, poste qui est très loin de ses capacités, ce dont personne ne s'est soucié.

Nous avions un président fort capable mais qui a commis des erreurs lourdes, on l'a remplacé par un président totalement incapable qui ne commet QUE des erreurs monstrueuses. Simplement par un rejet viscéral.

Mouais, enfin faut pas oublier qu'il a trahi ses électeurs plus à droite en faisant une ouverture à Gauche. Et ça lui était bien fatal, car comment faire confiance après ça? Qu'est-ce qui dit qu'il ne continuerait pas sur cette lancée dans les cinq prochaines années?


Remarquez, mon avis vaut ce qu'il vaut, hein. Je suis royaliste, donc ces élections resteront pour moi des blagues tellement les français changent d'avis comme de chemise.

Et au cas où vous me poserez la question, oui je vote, mais ce ne sont pas des votes de conviction. Juste pour limiter les dégâts que la République fait à la France.

De la fiction à la dure réalité des chiffres : la France est-elle vraiment à l’abri de la faillite ?

De François Fillon à Michel Sapin, les politiques aux affaires n'hésitent pas à parler d'un état de faillite. Mais s'ils évoquent, c'est en théorie, tant l'idée leur paraît saugrenue que la France puisse dans les faits en être réduite à faire défaut. Un scénario que Gaspard Koenig n'a pourtant pas hésité à explorer dans son dernier roman, "La nuit de la faillite". Avec un certain réalisme... et des arguments.


L'Etat est en roll-over permanent, sur la brèche. Pire encore, la dette ne finance pas l'avenir, mais à 95% les dépenses de fonctionnement. On ne s'endette pas pour investir, mais pour payer nos fournisseurs… en demandant à nos enfants de régler la facture finale.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

La dette publique au service d’intérêts particuliers

J’avais dénoncé ce scandale dans mon livre France, la faillite ? (page 36 de la 2e édition), à savoir l’habitude d’effacer les dettes de pays en développement, ou de leur faire un prêt en sachant dès le départ qu’ils ne pourront jamais le rembourser, en échange de contrats d’équipement ou d’infrastructure. Des commandes en faveur d’entreprises françaises (privées ou publiques) financées par la dette publique, c'est-à-dire à la charge de l’ensemble des Français ! Je citais à l’époque le cas de l’annulation de la dette du Cameroun envers la France (1,2 milliard d’euros, en 2009) en échange de "la réalisation de projets de développement définis en commun par Paris et Yaoundé d’ici 2016".

Il parait que le gouvernement veut réduire la dette de la France, mais deux cas récents viennent nous rappeler que ce petit jeu continue :
1) Le Mozambique vient de commander 30 navires au chantier naval de Cherbourg, avec de l’argent prêté par des organismes publics français, qui ne sera certainement jamais remboursé vu l’état du pays. Le fait que le député-maire de Cherbourg soit devenu entretemps le ministre du budget (il s’agit de Bernard Cazeneuve) est certainement une pure coïncidence.
2) La Guinée confie la construction de deux lignes de chemin de fer (662 et 142 km) au groupe Bolloré après que la France ait effacé la dette que le pays avait envers elle. Ici encore la dette publique, à la charge de l’ensemble des Français, contribue à la bonne fortune de M. Bolloré, par l’entremise du gouvernement. Le "capitalisme de connivence" dans toute sa splendeur.

La dette publique c’est aussi un gros pot de confiture pour les gouvernements, et cela explique qu’ils aient du mal à s’y attaquer !

Philippe Herlin
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Tant que l'Afrique le permettra.

moria a écrit:
Comment arrêter les vols, les spoliations ?

La France-Afrique dure depuis des décennies.

vols? spoliations? on nous dit qu'on doit partager et eux ne le feraient pas? d'autant plus qu'ils ont profité de la manne!

vols? spoliations? on nous dit qu'on doit partager et eux ne le feraient pas? d'autant plus qu'ils ont profité de la manne!

tssss ! faut bien lire le texte de Ph. Herlin.

L'Afrique partage, et beaucoup, depuis des centaines d'années.

Ce qu'il faut avoir bien à l'esprit c'est le pillage par l'Occident des richesses en matières premières de ces pays au seul profit de quelques uns.

Il faut voir ceux à qui ça profite vraiment :

- d'un côté : (Bolloré par exemple dans le texte de Herlin, ou, mieux encore, Aréva pour la récente guéguerre du minus au Mali
- de l'autre : des retombées sur des comptes en Suisse ou ailleurs pour les leaders africains.

Mais pour les pigeons :

- que dale pour la population locale, et c'est bien ce qu'elle reproche à l'occident,

- et pour la population française (ou autre selon le pays pilleur) qui doit se contenter de rembourser à grands coups d'impôts les frais de missions militaires pour sécuriser ces multinationales ne payant par ailleurs que très peu ou pas d'impôts dans leur pays d'origine.

Aussi simple que ça.

je me voulais ironique!
raté... 

La dette de la France s’élève à 5000 milliards d’euros soit 250 % du PIB.

Cette dette publique que l’on nous cache
Publié le 14 août 2014 dans Économie

Quel est l’état de la dette publique ? Sommes-nous en mesure de la rembourser ? Quel scénario pour l’avenir du pays sous cette épée de Damoclès ?

Par Philippe Lacoude.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Caton l'Ancien a écrit:la dette publique ? Sommes-nous en mesure de la rembourser ? Quel scénario pour l’avenir du pays sous cette épée de Damoclès ?

Cette dette n'est mathématiquement pas remboursable: la monnaie étant créée par l'émission de créances a intérêts, on démontre assez simplement que c'est impossible.

L'avenir est assez bien résumé par Soral: gouvernance globale ou révolte des nations. En gros, suite a un défaut de paiement, soit les banques s'approprient absolument tous les actifs communs des nations, comme le particulier qui se fait saisir sa maison et sa voiture, soit les nations refusent de payer la dette, et restent propriétaires des biens nationaux.

Et il n'y aura pas d'autres alternatives...

Pour la 2ème, il faudrait que les nations se révoltent.
En prend-on le chemin ?

Et Soral est allié à un groupe qui ne pose pas moins de problèmes, qui s'approprie les biens avec barbarie, en plus.

Caton l'Ancien a écrit:Pour la 2ème, il faudrait que les nations se révoltent.
En prend-on le chemin ?

Par référendum d'initiative populaire, la population islandaise a répudié sa dette, ce qui a valu a l'Islande d’être inscrite sur la liste des pays terroristes par la Grande Bretagne, avec toutes les conséquences qui en découlent.

En France, il faudrait  disposer de ce type d'outil démocratique pour rendre la deuxième option possible, mais on sait que ces outils ont été confisqués par l'UE et les mercenaires politiques locaux, UMPS en France.

Donc, je pense que la dette publique, qui, je le rappelle, n'est pas mathématiquement remboursable, va se transformer en un gigantesque transfert d'actifs nationaux vers les banques privées.

La Grèce a commencé a vendre le port du Pirée aux Chinois, des bâtiments publics, des îles, et plusieurs mines aux Américains, pour rembourser une microscopique partie de sa dette.

Cousin Hubert a écrit:La Grèce a commencé a vendre le port du Pirée aux Chinois, des bâtiments publics, des îles, et plusieurs mines aux Américains.

il suffira que la Grèce ait à sa tête un "Islandais" pour que tout soit confisqué et revienne dans le giron du pays. ça ne s'est pas déjà produit ailleurs, ce genre de captation?

philiberte a écrit:
il suffira que la Grèce ait à sa tête un "Islandais" pour que tout soit confisqué et revienne dans le giron du pays. ça ne s'est pas déjà produit ailleurs, ce genre de captation?

A petite échelle, pendant la guerre froide, cela est arrivé dans des pays africains ou en Amérique du Sud.

Mais, il ne faut pas se leurrer: toutes ces "révolutions" étaient pilotées a distance, soit par Washington, soit par Moscou, avec des moyens militaires et financiers considérables.

Cousin Hubert a écrit:Mais, il ne faut pas se leurrer: toutes ces "révolutions" étaient pilotées a distance, soit par Washington, soit par Moscou, avec des moyens militaires et financiers considérables.

Oui, il faut en finir avec les "révolutions spontanées".

C'est de l'enfumage.

hallucinant.

Tout cela va se terminer en faillite globale...
Ce n'est pas si grave si on a déjà pris ses dispositions... en achetant ce qu'il faut...
En revanche, ce sont les compteurs de la criminalité qui vont exploser:

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

On peut aussi se protéger en partie contre cela...

Il y a des fils dédiés sur ce forum... qui n'est pas si inutile que ça...

Et bientôt, on rajoutera un compteur "égorgé par les pépites musulmanes" dans l'indicateur de la criminalité...

Et pourquoi pas aussi un compteur de merdes chiées dans le monde par les êtres humains en tonnes si possible.

Michel Rocard confirme ce que disait Pierre yves Rougeyron dans "enquête sur la loi du 3 janvier 1973"

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

(mais il marmonne, on ne comprend pas le nom de la loi, d'ailleurs la nommer, c'est nommer 1 responsable et exonérer Pompidou, qui travaillait pour Rothschild.)
Je vais continuer à l'appeler loi Pompidou Rothschild.

Il faut préciser que Rocard avait été contre cette loi (cité par PY Rougeyron)

Même avec des taux négatifs, la dette continue de monter. Si les taux directeurs devaient augmenter (assez peu probable mais on ne sait jamais), elle va carrément exploser.

Je ne sais si vous avez remarqué cette vidéo que j'ai postée en Économie hier


Marc Fiorentino: Les banques centrales, la PLUS GROSSE ARNAQUE du siècle ! Même MADOFF n’aurait jamais imaginé cela

Le 24 Sep 2016 à 09:00:23 /


marc-fiorentino
On ne s’en rend peut-être pas compte, les manigances qu’il y a entre les banques centrales et les Etats actuellement sont les pires arnaques financières jamais élaborées au monde. Prenons comme exemple la BCE et la France. Lorsque la BCE rachète massivement des emprunts d’Etat européens, les taux baissent. Donc le coût et le service de la dette pour les États chutent. Ce bonus doit servir aux Etats pour réformer. Mais le fait est que lorsque la France emprunte, c’est la BCE qui lui prête. Or, la BCE n’est autre que la banque centrale des banques centrales nationales, qui elles, dépendent totalement des budgets des Etats européens. En fin de compte, le gouvernement français emprunte de l’argent auprès du gouvernement français lui-même. – Good Morning Business, du vendredi 23 septembre 2016, sur BFM Business.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Hibiscusez-moi a écrit:2017

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

La France emprunte depuis fin août 2014 à des taux négatifs sur des échéances de court terme, ce qui signifie que les investisseurs, qui cherchent à tout prix des placements sûrs, sont prêts à perdre de l'argent en prêtant à la France, pour qui emprunter sur ces échéances devient rémunérateur.

Autrement dit, les investisseurs estiment que détenir des obligations à rendement négatif émises par un Etat virtuellement en faillite est plus sécurisé que de conserver de la devise monétaire euro dans son portefeuille. Intéressant...

En effet, la dette de la France peut théoriquement se rembourser en francs français en cas d'effondrement de l'euro, alors que les sommes détenues en euro disparaîtront en fumée du jour au lendemain, aussi surement que le Reichsmark le 21 juin 1948.

Cela signifie que, selon les investisseurs, le futur de l'euro est de s'effondrer à court terme.

Et pendant ce temps là ...

---

La Banque centrale d’Allemagne a terminé le rapatriement de la totalité des stocks d’or dont elle disposait à Paris. Le même mouvement est en cours aux États-Unis en vertu des réclamations formulées depuis 2012 par les eurosceptiques allemands.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

"L'ordre de la dette". Auteur: Benjamin Lemoine.

""" Pourquoi la dette publique occupe-t-elle une telle place dans les débats économiques contemporains, en France et ailleurs ? Comment s’est-elle imposée comme la contrainte suprême qui justifie toutes les politiques d’austérité budgétaire et qui place les États sous surveillance des agences de notation ? À rebours de ceux qui voient la dette comme une fatalité et une loi d’airain quasi naturelle, Benjamin Lemoine raconte dans ce livre comment, en France, l’« ordre de la dette » a été voulu, construit et organisé par des hommes politiques, des hauts fonctionnaires et des banquiers, de gauche comme de droite – parmi lesquels François Bloch-Lainé, Charles de Gaulle, Antoine Pinay, Valéry Giscard d’Estaing, Michel Pébereau, Laurent Fabius, Lionel Jospin, Dominique Strauss-Kahn… Autrement dit, il fut le fruit d’un choix politique. Ce livre reconstitue la généalogie détaillée de ce choix stratégique, et prend la mesure de la grande transformation de l’État dans l’après-guerre. On réalise alors à quel point les nouveaux rapports entre finance privée et finances publiques sont au cœur des mutations du capitalisme, dans lequel l’État est devenu un acteur de marché comme les autres, qui crée et vend ses produits de dette, construisant par là sa propre prison."""

007/** a écrit:Et pendant ce temps là ...

---

La Banque centrale d’Allemagne a terminé le rapatriement de la totalité des stocks d’or dont elle disposait à Paris. Le même mouvement est en cours aux États-Unis en vertu des réclamations formulées depuis 2012 par les eurosceptiques allemands.

Dans une interview sur "euro news", le gouverneur de la Bundesbank n'a même pas caché aux journalistes que ce rapatriement avait pour but, en cas d'effondrement de l'euro, de backer le nouveau mark allemand sur de l'or.

Pas d'enfumage ni de baratin sur une contrepartie du mark basée sur un panier de devises monétaires (pur pipeau) ou de matières premières.

Le futur mark allemand sera du gold... qu'on se le dise...

Chabert a écrit:"L'ordre de la dette". Auteur: Benjamin Lemoine.

On a commencé à vivre à crédit en 1973.
Pourquoi en 1973 ?
hum ?

janvier 73...

Petit scénario du jour d'après...

Le vendredi 20 mai 2020, à 18h, les européens, confinés chez eux depuis deux mois en raison du coronavirus, sont informés devant leurs TV d'un flash spécial: la directrice de la BCE, Christine Lagarde, va prendre la parole ce soir sur toutes les chaînes de télévision publiques en Europe. D'après les journalistes de BFM WC, Mme Lagarde devrait annoncer des mesures majeures face aux difficultés économiques, financières, bancaires et monétaires de la zone euro. En effet, les bourses américaines et européennes sont fermées depuis un mois, suite à la chute de 80% du marché boursier.

A 20h, Christine Lagarde débute son discours en anglais. Elle commence par évoquer l'effondrement économique lié au confinement de la population pour éviter le propagation du coronavirus. Reprenant ses arguments développés au World Economic Forum de Davos en 2014, quand elle était directrice du FMI, elle justifie ensuite de la nécessité d'un reset monétaire pour relancer la croissance européenne et pour assurer la survie économique de l'Europe, suite à cette pandémie. 

Puis, elle détaille les modalités d'une conversion monétaire parfaitement spoliatrice. En effet, dès dimanche soir, l'euro sera immédiatement démonétisé. Les européens devront échanger leurs euros sans cours légal contre les nouveaux billets de la nouvelle monnaie européenne: le phénix. 

Chaque européen reçoit 6000 phénix en échange de tous ses euros ; les entreprises perçoivent 5000 phénix par employé comme fonds de roulement ; les assurance vies garanties par des emprunts d’État sont échangés au dixième de leur valeur, les dépôts en banque et les livrets d’épargne sont dévalués de 94 %. Les dettes des états européens sont annulées.
Les épargnants européens sont ruinés, ainsi que les simples déposants.
Ne sauvent une partie de leurs économies que ceux qui, le samedi matin se précipitent dans les magasins pour y acheter tout ce qu’on veut bien leur vendre.

Intéressant ... pendant que les gueux se ruinent et crèvent dans des hôpitaux à la ramasse, les mêmes [censuré] continuent de s'en mettre plein les bouclettes ...

Du coffre-fort à la dette

A l’aube de la Grande Guerre, la France est une grande puissance économique mais surtout une place forte financière. Avec ses placements à l’étranger, elle fait figure de banquier du monde d’autant que les Français sont de très bons épargnants.
Mais la guerre va remettre en cause cette prospérité. Elle va engloutir les économies d’un siècle, marquer la fin d’une société, enterrer à jamais la stabilité monétaire et détrôner la France de sa position financière internationale.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

C’est un tableau particulièrement noir que dresse la Cour des comptes. Face à la crise du coronavirus qui touche de plein fouet l’économie, « le choc subi par les finances publiques est massif » et « exceptionnel », insistent les magistrats de la rue Cambon qui confirment ainsi les très sombres prévisions économiques pour cette année.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

La dette publique française a continué d’enfler au troisième trimestre pour atteindre 116,4 % du produit intérieur brut (PIB), soit 2.674,3 milliards d’euros, mais à un rythme moindre que lors du trimestre précédent, a rapporté l’Insee mardi.

La dette publique a ainsi progressé de 36,1 milliards d’euros entre juillet et septembre, soit un rythme proche de celui du troisième trimestre 2019, contre près de 200 milliards d’euros lors du trimestre précédent.


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]



[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Le grand reset à venir sera la remise à zéro des comptes bancaires et des placements en assurance vie, qui est techniquement le seul moyen de s'affranchir de la dette.

Annuler la dette: les 100 économistes qui racontent n'importe quoi?
YAKA annuler la dette, c'est ce que propose 100 économistes, des vrais, pas des économistes de greniers comme moi, c'est du sérieux, du lourd, mais leur proposition est-elle crédible?
Crédible, oui, puisque tout est possible, mais pas sans conséquences, et c'est bien cela qu'il faut comprendre.
Il n'y a pas de repas gratuit. Il n'y a jamais rien de gratuit. Tout se paye. Tout.
Les mauvais choix, les erreurs, se payent toujours avec le temps.
Les soins, les médicaments ne sont jamais gratuits, ils sont payés par les cotisations sociales et par des prélèvements sur la richesse produite.
Il y a les coûts visibles. Simple.
Il y a les coûts cachés. Plus complexes à voir. Les soins par exemple ne sont pas gratuits, leurs couts sont cachés et différés.
Je ne dis pas que c'est bien ou mal je dis que c'est ainsi.
Il en va de même pour la dette, il n'y a qu'un seul moyen "d'annuler les dettes" sans que les conséquences ne soient trop désagréables.
C'est ce que j'explique dans cette vidéo afin d'éclairer le débat et la prise de décision citoyenne.
Je partage dans le JT du grenier, quelques pistes de réflexion afin d'éclairer et d'alimenter les analyses de chacun.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]