Le catho, voilà l'ennemi !

Oui et alors ?

Rien à ajouter tout y est.

Autre vidéo, de l'historien Alain Pascal que je soutiens

https://www.medias-presse.info/la-franc-maconnerie-expliquée-par-alain-pascal/173730/

Je re re re formule
1. Dieu tout puissant crée l'homme, avec une régulation des espèces qui est ce qu'elle est
2. Homo devenu sapiens invente la science laquelle lui permet de se développer
3. L'Eglise souscrit (qui quand pourquoi ? ) en partie à cette émancipation
4. Résultat l'humanité passe de quelques centaines de millions d'individus à 8 milliards et ce de façon exponentielle
Que propose l'Eglise pour résoudre ce problème ?

Vous ne me re re re formulez pas mais tentez de me réduire au chausse-pied à votre pensée.
C'est humain.
Je vous mets ici (en attendant la réponse que j'ai posée pour répondre à la vôtre : j'ai demande à l'Eglise, pour ne pas risquer de vous raconter des carabistouilles)
pour patienter
une video de Marion Sigaut à propos de ces fameux 8 miliiards et de l'impossibilité que la planète aurait à les nourir (en fait elle peut les nourrir, il n'y aura peut-être pas de la viande tous les jours)

Zouh !
marionsigaut.com/2018/04/03/sexualiser-les-enfants-le-nouvel-ordre-des-barbares-/liens-nouvel-ordre-sexuel-des-barbares/

Première réponse : nul besoin n'est, en supposant ( c'est une supposition) que l'on soit "trop" sur terre ne stériliser les gens, de les tuer avec des piqûres ou de tuer les enfants à naître dans le ventre de leur mère, ni de banaliser l'usage de la pilule qui a des conséquences environnementales directes sur la féminisation et l'extinction de certaine sespèces ( les hormones de la pilule passent dans l'eau courante). Ainsi bien sûr que sur le lien familial et social : solitudes, atomisation, etc.
La façon la plus sûre, la plus simple, la moins coûteuse de ne pas avoir d'enfant c'est de ne pas faire crac crac.
J'ai déjà essayé, ça marche.
Or il se trouve que l'Eglise autorise l'abstinence dans certains jours féconds du cycle féminin.
Il n'y aura pas de procréation mais pas de plaisir non plus ces jours-là. Tout autre est le comportement de qui veut le plaisir mais sans responsabilité procréative.
L'effort demandé est de quelques jours.
Une petite dose de maîtrise de soi est nécessaire mais c'est peu de choses.
L'être humain ayant une distance, une liberté par rapport à ses actes et à ses pulsions, liberté que ne possède pas l'animal.

Ben voilà, pas compliqué de répondre, il n'y avait aucun piège ...

Mais une réflexion nécessaire.

Dans la conférence de Marion Sigaut sur "le nouvel ordre sexuel des barbares" elle évoque une conférence donnée par le Dr Richard Day en 1969 aux USA qui statue sur les "solutions" à l'hypothétique accroissement "trop rapide" de la population terrestre. Les savants, les décideurs concluent à la nécessité de limiter les naissances ( plus tard on aura "vacciner" "changer de sexe", "mourir dans la dignité"...)
tout en augmentant les activités sexuelles.
Donc le but commercial est à peine masqué.On va augmenter les pratiques sexuelles non fécondes parce que lucratives ( industries contraceptuve et pornographique).
La seule "solution" à quoi il est hors de question de penser est la chasteté qui borne l'activité sexuelle au mariage béni par Dieu. Et pourtant...si une fois marié on a des enfants ( avec la possibilité de n'en pas avoir trrop en s'abstenant les jours féconds) il y a la vie "avant" le mariage. En étant abstinent "avant", on limite forcément les naissances. On apprend à se maîtriser ( d'où moins de risque d'adultères une fois marié)
Augmenter les activités seuxlles favorise en revanche le commerce de la pilule, de l'IVG, du porno, des accessoires, des revues de c..., etc, etc. et de l'industrie psychopharmaceutique pour les perdants et les désabusés ( Houellebecq) .
D'où l'intérêt ( c'est le cas de le dire) de populariser des théories ( freudisme) qui présentent l'homme comme une bête hédoniste innocente que l'éducation brimerait dans ses pulsions. Si l'on croit ( avec Freud et consorts) que l'on ne pense qu'à ça, combien rétrograde et cruelle paraitra la doctrine catholique !
C'est aussi le but des concepteurs du NOM que de la dénigrer en permanence ( médiatiser à outrance les cas d'abus sexuel dans l'Eglise catholique tout en passant sous silence les cas d'abus des autres religions, de la maçonnerie, etc)..
En réalité l'Eglise ne prône que des choses raisonnables, la juste mesure, l'usage sain du corps, le respect de la vie et la sexualité vécue de la meilleure façon possible : dans l'amour, la fidélité, l'indissolubilité (essayez de prendre votre pied avec une personne peu digne de confiance qui ne veut pas s'engager....)

Florence67 a écrit:Or il se trouve que l'Eglise autorise l'abstinence dans certains jours féconds du cycle féminin.

Faudrait il encore que les mougeons désinculqués par l'Educ Naz et les séries télé sachent ce qu'est un cycle et comment ça marche ! Et les moins compilants stakanovistes peuvent toujours utiliser les préservatifs

Accessoirement ce qui est marrant avec les féministes, c'est leur mauvaise foi crade: avoir affublé la contraception orale de « libération » de la femme, fallait le faire !
1) c'est une pollution chimique continue de son corps (et de ses excrétâts dans le milieu naturel)  les 2/3 de sa vie durant
2) ça lui permet peut être de jouir sans entrave (ça reste à prouver Simone ! ...) cette fausse liberté profite surtout aux mâles de son entourage qui peuvent eux la culbuter sans risques de l'engrosser. Donc ...

Comme l'écrivait Michel Clouscard en 1981 ("Le capitalisme de la séduction"), la sexualité "libérée" satisfait plus des fantasmes masculins que des fantasmes féminins. Le féminisme en banalisant le sexe hors mariage, sans mariage lIVG, la pilule, etc fait plaisir à bien des messieurs. B...sans être obligé d'épouser; c'est le "rêve" de beaucoup, des dom juans en particulier. C'est ce que les féministes appellent "défendre l'intérêt des femmes"( tout dépend effectivement du sens qu'on donne au terme d'"intérêt")