Taxe sur la propriété

Voilà, il semble qu'elle soit votée

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et la conne qui l'annonce trouve ça désopilant

Quand cela sera appliqué dans le village de ma petite maison dans la prairie, il est pratiquement certain que les "propriétaires", la plupart au RSA, ou pension MSA, ou chômage, etc... ne pourront pas payer cette nouvelle taxe...
Et il va se passer quoi? L’État va se saisir de leur maison? Puis la vendre pour récupérer la taxe? Et s'endetter encore plus pour reloger tous les gens foutus dehors?
Tout cela est totalement absurde...
Encore une fois, la meilleure manière de conserver son patrimoine sans se faire harceler fiscalement, c'est d'acheter... vous savez quoi...

- 5 septembre 2019
Taxe foncière : le piège se referme sur les propriétaires


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Oui, c'est ce que je voulais développer.
Mais en faisant un rapprochement avec l'URSS, où ces principes ont été mis en pratique, pour le bénéfice des mondialistes qui ont sponsorisé les révolutionnaires bolcheviks.

Fin de la propriété immobilière ? Olivier Delamarche sur la loi Lagleize, député En Marche.
45 830 vues
•9 févr. 2020


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La Macronie veut dépouiller les propriétaires: la taxe foncière va être multipliée jusqu’à sept fois
Par
Anne van Gelder -
10/02/2020


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Interdire les maisons individuelles : ce que cache ce projet fou !

FLORIAN PHILIPPOT

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""Emmanuelle Stoléru naît le 24 février 1971 à Neuilly-sur-Seine2 (Hauts-de-Seine). D'origine juive3, elle est l'enfant unique4 de Lionel Stoléru (1937-2016) et de son épouse Francine Wolff. Son père est polytechnicien, puis professeur d’économie et secrétaire d'État de 1976 à 1981 sous la présidence de Valéry Giscard d'Estaing puis de 1988 à 1991 sous la seconde présidence de François Mitterrand ; sa mère est énarque et administratrice de la ville de Paris4. """  wikipédia

Stoléru : il prônait la "revalorisation du travail manuel".

Eh oui Wargon [bip] Sarko [bip] Schwab [bip] Hariri [bip] [bip] [bip] [bip] [bip] [bip] [bip] [bip] ....

L'UE prévoit l'expropriation des propriétaires à partir de 2030, pour "sauver le climat"

En 2021, l'UE a présenté un ambitieux programme de "sauvetage climatique". Il s'intitule "Fit for 55" ce qui signifie que d'ici 2030 la consommation d'énergie devra être réduite d'au moins 55%. Des mesures draconiennes qui touchent tous les domaines de la vie devraient aider. Cependant, la plupart des gens souffriront probablement des mesures qui rendent le logement plus cher, voire impossible. En plus des augmentations de loyers, elle se traduira de facto par l'expropriation des propriétaires.

Un communiqué de presse (https://eur-lex.europa.eu/legal-content/DE/TXT/?uri=CELEX%3A52021DC0550) de 2021 précise la portée des mesures. Au point 2.2, nous apprenons que les mesures "Fit for 55" sont prises dans les domaines de l'industrie, des transports, des bâtiments et de l'énergie.

Lire la suite lien (https://tkp.at/2023/01/16/eu-plant-ab-2030-enteignung-von-hausbesitzern-zwecks-klimarettung/)

Scandale : comment l'Union européenne veut tuer la propriété privée
Ligne Droite • La matinale de Radio Courtoisie

29 261 vues  30 mars 2023  #LigneDroite

Alexandre Cuignache, avocat au barreau de Paris et Jean-Philippe Delsol, avocat, essayiste et administrateur de l'Institut de recherches économiques et fiscales (IREF).



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Publié le 15/03/2023 à 20:11

Ce mardi 14 mars, la propriétaire d'un immeuble lyonnais squatté pendant 18 mois a été condamnée à verser une indemnité aux occupants illégaux pour s'être fait justice elle-même.

Elle avait profité de leur absence pour condamner l'entrée de son immeuble lyonnais et le placer sous surveillance.

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Les propriétaires vont devenir locataires

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Taxation et expropriation... pour tous !

Chère lectrice, cher lecteur,

Vos biens immobiliers intéressent de plus en plus l’État français.

Et comme ce sont des actifs non délocalisables, il lui est très facile de savoir qui possède quoi et où.

Donc vous êtes pris au piège.

Entre les fichiers des notaires et ceux de l’administration fiscale, autant vous dire que plus rien ne leur échappe.

Cette année, vous avez déjà été obligé de déclarer tous vos biens immobiliers sur le site des impôts (je vous en avais parlé dans ce message).

Eh bien laissez-moi vous dire que ça, c’était juste l’amuse-bouche.

Ce qui se profile à l’horizon est bien plus grave.

Car maintenant que la phase d’identification et de localisation des biens de tous les propriétaires est terminée…

Le gouvernement va pouvoir passer à la vitesse supérieure.

Et pour cela, il a déjà prévu deux angles d’attaque…


#1 : la taxation maximale (pour vous forcer à vendre)


flambée de votre taxe foncière

En 2023, les valeurs locatives cadastrales ont été revalorisées d’une hausse générale de + 7,1 %

Mais estimez-vous heureux si votre taxe foncière n’augmente “que” de 7,1 %...

Parce que, EN PLUS, chaque commune peut décider d’une hausse complémentaire !

(qui serait soit disant nécessaire pour “compenser” la suppression de la taxe d’habitation… Sauf que c'est l’État qui était censé couvrir “à l’euro près” ce manque de recettes, en faisant des dotations plus importantes aux communes. Mais s’il ne les a pas faites, c’est vous qui allez payer…)

Donc attendez-vous à une explosion de votre taxe foncière (jusqu’à + 32,1 % à Grenoble, ou encore + 59,1 % à Paris !)


contrôle technique des logements

Le projet est déjà dans les tuyaux.

Et ça pourrait faire très mal.

Le député Guillaume Vuilletet (LREM) vient de déposer une proposition de loi pour rendre obligatoire pour tous le contrôle technique des logements.

Pour l’instant les diagnostics techniques sont juste nécessaires quand vous vendez votre bien.

Mais avec cette loi, tous les logements vont devoir y passer.

Même si vous ne louez pas votre bien.

Même si vous ne voulez pas le vendre.

Et si votre bien n’est pas conforme, vous serez dans l’obligation de faire les travaux de rénovation imposés.

Sinon ?

C’est simple, vous pourriez être contraint… de céder votre droit de propriété à un bailleur social !

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Je suis au courant, avec les autres propriétaire de l'immeuble où nous avons acheté un appart' il a été décidé que nous devions entreprendre de tels travaux ( couteux). Ce sont surtout les gros priprios qui y ont plusieurs apparts qui vont casquer mais nous aussi. On ne sait pas encore combien...

La confiscation du foncier se précise

La menace encore voilée de la plus grande spoliation de tous les temps est à nos portes. L’État lorgne sur nos propriétés, et s’apprête, si on n’arrête pas la macronie, à déposséder l’ensemble des propriétaires de leurs biens. L’annonce est choquante et ceux qui pensent être protégés par la constitution, ou la loi, se bercent d’une douce illusion. Avec Macron tout est toujours possible et il ne recule devant rien pour le mettre en œuvre. Bien entendu comme dans toute opération de cette envergure, il ne peut pas attaquer de front et en bloc. Il développe donc la stratégie des petits pas et le grignotage est donc lancé.

L’idée générale est de prendre possession du foncier, c’est le sens caché de la loi Lagleize, votée en toute discrétion fin 2019. L’article 2 de cette loi remet à jour un mode de détention de propriété qui existe depuis la loi ALUR de 2014. La dissociation de la propriété entre le bâti et le foncier. Ainsi vous faites construire votre résidence, sans acheter le terrain qui reste la propriété d’un bailleur, qui vous le loue à raison au début de 1 à 2 € le m². Les bailleurs seraient des organismes fonciers publics, crées par les collectivités locales. Le problème principal réside dans le fait que l’article 546 du Code civil, définit qu’en matière immobilière, « la propriété du sol donne la propriété du dessus et du dessous ». Cela revient à dire que vous n’êtes plus propriétaire de rien, mais simplement des locataires.

La loi Lagleize n’a pas encore été promulguée, car les débats ont été suspendus en 2020 à cause du COVID. Mais rendons tout de même à César ce qui lui appartient. Si Macron s’apprête à concrétiser ce projet, il n’en est que l’héritier. Ce vol organisé est en réalité dans les tuyaux depuis 2017, soit sous ce cher socialiste Hollande, qui par l’intermédiaire de… lire la suite sur…

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Par Gilles La-Carbona : secrétaire national du RPF, chargé du suivi de la vie parlementaire.

Rassemblement du Peuple Français (https://rassemblementdupeuplefrancaiscom.wordpress.com/)
R.P.F

Mis aux normes énergétiques = spoliation et destruction du patrimoine

Gave Juvin

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Exactement, le gouvernement vient de nous adresser un courrier....comme quoi
dans les deux années qui viennent les propriétaires de l'immeuble où logent nos filles étudiantes doivent faire faire des rénovations. Nous possédons leur seul petit appart mais les deux autres proprios qui ont le reste de l'immeuble vont rudement casquer. Nous aussi probablement...
C'est ça ou bien on n'a plus le droit de louer !

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Quelqu'un a dit "si vous n'avez pas de propriété, la propriété, c'est vous".

Caton l'Ancien a écrit:
Quelqu'un a dit "si vous n'avez pas de propriété, la propriété, c'est vous".

C'est totalement vrai



je connais aussi
" des personnes qui sont la propriété de leur propriété "
totalement esclaves de leur jardin de leur maison
il triment sans arrêt ...

Harpagon était la propriété de sa cassette ..

mais si on est tous pulvérisés bientôt par une arme nucléaire taaactique pas dissuasive -le brin d'herbe qui dépasse
maaa fois !!!!!

Diffauge, Diffauge....
Vous pouvez préciser, là, avec les personnes "esclaves" de leur propriété, de leur jardin, de leur maison?
(Remarquez que je ne sors pas encore mes griffes. Chat, tu te calmes et tu laisses d'abord parler Diffauge)

Ils triment sans arrêt : esclaves ou serviteurs dévoués, âmes consciencieuses?
Un jardin, une maison, c'est du travail, oui. Quand on aime on ne compte pas.
J'aime mieux cent fois servir chez moi, mon jardin, mon jardin sercret, les miens, que la société anonyme. S'il y a bien un endroit où je ne ménage pas ma peine, c'est mon chez-moi.

J'ai apporté ma lime  et mon coupe griffes  

je pensais à mes voisins ( autour de 65 ans )   qui passent leur temps    tout leur temps  à s'occuper   de la maison du jardin  au point qu'ils m'ont dit  il n'y a pas longtemps :
on va finir par vendre et acheter  un appart   parce que là  on ne suit plus le rythme on ne part même plus en vacances  ..

chacun   est comme il est ou peut  ..
  jardinier  actif     ou jardinier   contemplatif

mais   on est toujours  dépendant   de qq'un ou qq chose
 et surtout de soi même

Spoiler:

merci pour le  chat agressif [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] je n'avais pas cet emoji

Je suis d'accord avec cette assertion : on est toujours dépendant de quelque chose ou de quelqu'un. Le chat lui-même en conviendra si il y a pénurie de maîtres nourriciers et de souris.

Le paysan d'autrefois ne partait guère en vacances. C'est à dater des années 30 ( 1936) que les congés payés à la mer ou à la campagne se démocratisent.

Et comme je suis très conservatrice j'ai tendance à  penser beaucoup de bien du monde disparu où l'on était fort attaché à sa maison , à son lopin, où l'on trimait dur physiquement mais cela en valait la peine.

MOins d'heures de boulot et du   boiulot plus léger, du travail de bureau = moins de beta endorphines. Les citadins sont libérés des tâches dures mais du coup, dépensant moins de calories, ils engraissent et ça, pour aller à la plage l'été...donc ils font des régimes. Ce faisant ils risquent les troubles alimentaires ( surtout la jeunesse). Donc ils font du sport. ILs ont économisé leur peine pour aller la dépenser en salle de sport .
L'ancêtre était petit, râblé et il trimait, il était enraciné. Son champ, sa maison, c'était peu mais c'était à lui. Le soir après la dure journée de labeur il mangeait sans remord et dormait du sommeil du juste.

Ses descendants sont grands et obèses, mou et dépressifs, ils bossent our la société anonyme et leur femme souvent claque la porte pour aller travailler elle aussi dans un bureau. A la ville, les hommes et les femmes font les mêmes travaux dans le tertiaire.
Donc ils se croient égaux et gobent toutes les  âneries du gender et des wokistes.

Le paysan d'autrefois savait très bien que le rendement d'un homme est physiquement supérieur à celui de la femme et que la femme a seule cette spécificité de porter les enfants, d'où des "rôles" bien définis. Un homme costaud sachant labourer, une femme fidèle et qui tient bien sa maison, c'était bien.
On savait qui on était. On n'allait pas voir le psy...
Epoque dure physiquement mais si apaisante psychiquement.

Au vu  de mes convictions peu politiquement correctes, je défends le travail domestique, la maison bien tenue, le propre.
Un espace propre ( = à soi) est un espace propre( qui n'est pas sale).
Dans le monde actuel le métier de mère au foyer est déconsidéré, et le goût des tâches domestiques bien faites, enseignées dans les écoles de filles jusque dans les années 1960, passe aujourd'hui, de vertu hautement utile qu'il a été, à pathologie mentale.

Mon époux et mes chats, eux, n'y trouvent rien à redire.

L'important est d'être bien avec soi sans regrets ni remords -  même si on est encore jeune et que  bien des années restent à vivre.
D'avoir fait le Bien en homme / femme   qui pouvait et peut faire le Mal ( Phrase de Paul Valery que j'aime particulièrement )
D'avoir eu le choix entre  plusieurs vies  et- en totale liberté -d'avoir choisi celle que l'on a.
( ça c'est rare )



J'ai trouvé  amusant   le jeu de mot  involontaire  dû aux  2 mots collés  

Florence67 a écrit:
Et comme je suis très vieux jeuje pense beaucoup de bien ...

Si cela avait été écrit à la main  -et donc séparé-   je ne l'aurais pas vu ; comme quoi la modernité   n'a pas que des défauts et peut surprendre.  " Je suis vieux JE ". J'en connais beaucoup  qui sont  très  " Jeunes  JE  "
Je sens que je vais l'exploiter et ressortir ailleurs !
mais je m'égare  




Pour le sujet  :  
on peut croire que l'Etat veut juste s'en mettre plein les poches  .. erreur !

Le projet est bien  de mettre   certains  au pied du mur, de les obliger  à vendre leur bien parce que trop de taxes  et, surtout !- s'ils ont un certain âge et occupent une superficie supérieure à ce que l'Etat  aura décidée / personne -  de trouver des logements aux familles nombreuses en évitant de  trop bétonner.
On loge et  on fait plaisir aux écolos.

Les plus âgés,   jetés hors de chez eux,   meurent plus vite et puis   même que certains demanderont le suicide assisté la loi va passer. Moins de pensions à payer moins d'Epahd  etc..  

Tout colle  !  
Quand je parle comme ça on me dit   que je suis  déprimante.

Spoiler:

Diffauge a écrit:
je connais aussi
" des personnes qui   sont la propriété  de leur propriété "
totalement esclaves   de leur jardin de  leur maison
il triment   sans arrêt   ...

 Harpagon était la propriété   de sa cassette.

Je vous demande pardon, mais c'est un autre sujet.

Ce type d'esclavage est relatif, on peut le faire cesser rapidement, soit en arrêtant de passer autant de temps, soit en faisant faire le travail par quelqu'un d'autre, soit en vendant le bien.

L'esclavage dont je parlais est un esclavage beaucoup plus difficile à abolir. Et les conséquences de la privation de propriété sont bien plus graves que celles de la contrainte des tâches qui privent de vacances ou simplement de temps libre par désir de réaliser une oeuvre qui donne une satisfaction esthétique.


Par ailleurs, je serais assez d'accord avec Florence, le souci de l'esthétique, qu'elle soit vestimentaire ou horticole, ou autre, est un élément de sa propre dignité.

Harpagon est un cas pathologique.

Diffauge a écrit:
D'avoir fait le Bien en homme / femme   qui pouvait et peut faire le Mal ( Phrase de Paul Valery que j'aime particulièrement )
D'avoir eu le choix entre  plusieurs vies  et- en totale liberté -d'avoir choisi celle que l'on a.
( ça c'est rare )

Ne se serait-il pas un peu inspiré de l’Évangile ?

Diffauge a écrit:
Je sens que je vais l'exploiter et ressortir ailleurs !
mais je m'égare  

p'têt bien...

Diffauge a écrit:
Pour le sujet  :  
on peut croire que l'Etat veut juste s'en mettre plein les poches  .. erreur !

Le projet est bien  de mettre   certains  au pied du mur, de les obliger  à vendre leur bien parce que trop de taxes  et, surtout !- s'ils ont un certain âge et occupent une superficie supérieure à ce que l'Etat  aura décidée / personne -  de trouver des logements aux familles nombreuses en évitant de  trop bétonner.
On loge et  on fait plaisir aux écolos.

Est-ce l'Etat, ou quelqu'un d'autre, qui veut "s'en mettre plein les poches" ?

Trouver des logements aux familles nombreuses ? oui, c'est sans doute un but, surtout des familles ... mais les logements sont très rarement assez grands, en moyenne, .... en Europe.

Quant aux écolos politiques, ou escrologistes, tout ce qui détruit la France leur plaît.

"L'important c'est d'être bien avec soi(...) sans remords".
C'est du jargon de psy donc de la gnose( voir le fil dans "divers" "les psys sont des gnostiques").

L'impirtant c'est d'obéïr à Dieu et d'éprouver du remord pour ses péchés réels.

Un assassin, un violeur pourraient être bien avec soi ( "c'est mon choix") sans remords...surtout s'il peut agir en toute impunité !
De plus les prédicateurs du "il faut être bien avec soi" vénèrent le Moi humain, leur idole favorite. Ils sont donc enclins à fustiger les contraintes civilisatrices qui selon eux nuiraient à son épanouissement, dont les contraintes domestiques. Ces personnes qui prônent le fait d'être "en accord avec soi", tolérantes de façade, sont les premières à vous dire que vous avez un TOC si vous passez vos après midi à faitre les carreaux ou desherber le potager.

Un être humain, libre de par sa nature, est toujours peu ou prou en conflit avec soi, ne serait-ce que parce qu'il vit en société, il est un animal politique ( Aristote). Il est donc logique qu'il réprime quelque peu ses pulsions avides, agressives, sexuelles.

Vous avez eu le choix entre plusieurs vies, vous avez tout choisi, Diffauge ?
Ce me semble peu réaliste.
Cette logiqu du choix total nous mène actuellement à la légalisation de l'euthanasie( concept maçonnique) , on pourra "choisir sa mort" ( "et même à la grande rigueur ne pas mourrir du tout", Brassens)

Je n'ai choisi ni ma naissance ni mon sexe. A ma fille qui, en maternelle me demandait "pourquoi je suis pas un garçon, j'aurais voulu être un garçon", je répondis : "chacun doit prendre ce que le bon Dieu lui a donné car Il a Son plan"

Le jeu de mots involontaires, ne vous prenez pas la tête : c'est un diablotin en stage qui a fait le petit malin ...ils sont nombreux comme cela à nous courir après. Il faut juste les signaler mais ne pas les prendre au sérieux. Leur but est de vous ramener dans le giron de la gnose et leurs astuces sont nombreuses.
J'ai ouï dire que même de grands saints ont été embêtés par des diables au quotidien.

DIFFAUGE VOUS ËTES UNE DAME OU UN MONSIEUR ? "Déprimante" lis-je.

L'état qui décide l'expropriation puis l'euthanasie des vieux, c'est moyen comme programme pour une soi disant démocratie. Ils se contrediraient du reste, la propriété privée est un des droits inaliénable de leur déclaration des droits de l'Homme !

Florence67 a écrit:Vous avez eu le choix entre plusieurs vies, vous avez tout choisi, Diffauge ?

Florence67 a écrit:"L'important c'est d'être bien avec soi(...) sans remords".
C'est du jargon de psy donc de la gnose  

Je ne parlais pas de moi directement  
ça tombe bien !!!  un forum n'est pas un divan de psy  ...
( quoique... des fois en lisant sur les forums des  " Je vais bien tout va bien " martelés   on pense  à  https://www.youtube.com/watch?v=uqKXAJq37FE)

Florence67 a écrit:
DIFFAUGE VOUS ËTES UNE DAME OU UN MONSIEUR ? "Déprimante" lis-je.

C'est important ?
Tout est précisé dans mon profil  
c'est même obligatoire pour s'inscrire   [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
c'est la volonté du propriétaire *du forum de le faire préciser

* je tente de revenir au sujet    

Un peu, oui, que c'est important !

Je ne prenais pas ce forum pour un divan psy mais je signale dans un fil rubrique "divers" que les psychothérapies actuelles, au-delà de la variété des approches et des domaines, des diplômes etc. ont un point commun :
la référence implicite ou explicite à la gnose ( très explicite chez CG Jung, par exemple)
qui les rend incompatible avec une authentique foi cathholique.
La gnose est basée sur des idées utopiques...ce qui laisse présager de la suite : le praticien, en principe, est censé aider des personnes éloignée de la réalité à revenir à elle. Je ne pense pas que les divagations des gnostiques soient ce qu'il faut pour cela.
En outre la gnose ( maçonnique) triomphe de nos jours dans son application politique( d'où la médiatisation des psys de tous poils, les nouvelles pédagogies, me wokisme, le gender...).

Tribune libre
Les conséquences inquiétantes de la chute du nombre de propriétaires en France

Henry Buzy-Cazaux, président fondateur de l’Institut du Management des Services Immobiliers, dénonce les dangers d'une politique du logement - menée par Emmanuel Macron - qui n'encourage pas l'accès à la propriété.
Par Henry Buzy-Cazaux
Publié le 21/08/2023 à 8h22 & mis à jour le 21/08/2023 à 10h53

Emmanuel Macron a l’image de la modernité. D’autres Présidents avant lui étaient évidemment en phase avec ce que l’opinion attendait, mais tous les corps électoraux n’ont pas recherché les mêmes qualités. En François Mitterrand, la France a majoritairement cherché l’expérience et la protection d’un père. En Jacques Chirac, l’empathie avec la nation et l’enthousiasme, en Valéry Giscard d’Estaing le brio et la vision. Le Président Macron a incarné le renouveau, la rupture, par son âge et par son parcours.

D’ailleurs, lors de sa première investiture en 2017, le Président du Conseil constitutionnel, Laurent Fabius, l’avait souligné. Citant Chateaubriand, il avait dit : "Pour être l’homme de son pays, il faut être l’homme de son temps" et avait poursuivi "Moderne, vous l’êtes assurément." Au rang des marqueurs de modernité, certains s’accordent à mettre sa vision de l’immobilier. Passons sur sa conviction que ce secteur ne crée pas de richesse, fâcheux malentendu économique, et attardons-nous sur un sujet plus intéressant, sa conception de la propriété.

Il est le premier locataire de l’Élysée à vouloir une France davantage assortie à son statut, c’est-à-dire constituée de locataires. Il aura inauguré une politique du logement qui ne privilégie pas l’accession à la propriété. S’il fallait évoquer des décisions concrètes qui en attestent, on pourrait se rappeler la fin de l’APL accession, ou encore la réduction progressive de voilure du prêt à taux zéro. Sans l’Assemblée nationale et le Sénat, les coupes budgétaires pénalisant l’accession auraient même été plus sombres qu’elles ne l’ont été…
Les taux de propriétaires désormais inférieur à 58%

Le Président est de l’école de ceux qui considèrent que les jeunes générations sont plus attachées à l’usage qu’à la propriété, pour toutes choses. La voiture bien sûr, l’électro-ménager peut-être, mais aussi le logement. Où Nicolas Sarkozy, une décennie plus tôt, appelait de ses vœux une France de propriétaires, Emmanuel Macron assume la responsabilité de faire reculer le taux de propriétaires occupants. Il progressait de façon sûre vers les 60% de la population et il est en train de revenir vers des niveaux inférieurs à 58%. La tendance est inversée après trente ans de progrès constant. Le Président considère aussi que le statut de locataire est plus compatible avec la nécessité de la mobilité, elle-même condition d’un niveau élevé d’emploi, sinon de plein emploi.
À LIRE AUSSI Crise du logement neuf : peut-on s’attendre désormais à des baisses de prix ?

Les détracteurs de cette politique, évidemment nombreux dans la filière immobilière, mais plus largement dans l’opinion, en identifie plusieurs dangers de nature économique. Ainsi, la propriété de la résidence principale a toujours constitué le premier acte de la constitution d’un patrimoine de nature à sécuriser les individus et les familles : a contrario, ne rien thésauriser rend certes plus léger, mais ne préserve pas des épreuves, en particulier liés à la baisse des revenus du travail, typiquement au moment de la retraite. Rien non plus à transmettre aux générations futures sans patrimoine durable. Ces mêmes détracteurs pointent du doigt l’insupportable report de la demande sur le marché de la location, insuffisant à répondre aux besoins et en situation d’asphyxie dans une nombre considérable de villes en France. Ce recul de l’accession et l’absence de remède politique emportent deux autres conséquences, au fond plus inquiétantes encore, et qu’on passe sous silence, l’asthénie de la natalité et le péril sur l’ordre social.
Ce recul de l'accession a deux autres conséquences

L’Insee a rendu publique il y a quelques semaines sa plus récente étude sur la baisse inattendue de la vigueur démographique après la pandémie. La Covid-19 avait affecté sans surprise les naissances, et évidemment accentué la mortalité. Les démographes s’attendait à un redémarrage de la natalité post covid… C’est l’inverse qui a eu lieu. 2023 devrait se terminer avec un taux de fécondité constaté de 1,67, quand il naviguait autour de 2 entre 2006 et 2014. Outre que cette chute compromet le renouvellement des générations et affaiblit notre pays, elle témoigne à n’en pas douter que les difficultés à acquérir un logement de taille suffisante pour des conditions de vie optimum avec des enfants affecte l’envie des couples de procréer.

Second préjudice lourd, la fragilisation de l’ordre public. Le message n’est pas politiquement correct… Il a pourtant été revendiqué par les patrons paternalistes du début du 20e siècle, qui a marqué le début de l’élan en faveur de l’accession à la propriété. À la propriété de la résidence principale, les élites économiques et politiques prêtaient deux vertus : l’éradication de l’insalubrité - le mouvement hygiéniste a clairement soutenu l’aide à l’accession des classes populaires -, sujet périmé mais renaissant au fond sous les traits de l’amélioration environnementale, et la maintien de l’ordre. Un ménage qui s’endette et doit avoir les moyens de s’acquitter de sa dette a le souci de la stabilité sociale, travaille assidûment et ne se révolte pas. Le propos est aujourd’hui choquant, flairant le maintien des rapports de domination et l’idéologie marxiste. L’est-il tant que cela ? En tout cas, l’exécutif pourrait légitimement avoir en tête cette théorie et lui trouver des vertus politiques. L’ambiance du pays est complexe et elle n’est pas tellement sereine qu’il faille la tenir pour préservée des mouvements sociaux. Des épisodes récents ont démontré que tout pouvait arriver, à n’importe quel moment. Et si relancer l’accession à la propriété était d’abord une précaution démocratique ? À bonne entendeur, salut.

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C'est en Hollande, mais cela montre que le problème n'est pas que français


Les agriculteurs au bord de l'expropriation : « Nitrogen 2000 » – Documentaire explosif en provenance des Pays-Bas
Kla.tv présente aujourd'hui la première diffusion publique du documentaire Big Picture « Nitrogen 2000 » (c’est-à-dire «Azote 2000»). Il relate la lutte des agriculteurs néerlandais contre l'expropriation forcée par l'État, en donnant la parole aux différentes parties. Qu’est-ce qui se cache derrière ces mesures politiques drastiques ? Les agriculteurs pourront-ils résister à cette intervention ?

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ALERTE ROUGE : L’État voudrait te déposséder de ton bien immobilier ?!
Sophie Vergès



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Autre moyen de spolier les propriétaires : protéger les squatteurs et les locataires qui ne paient pas

Pour déloger leurs squatteurs, ces propriétaires provençaux ont dû faire appel à des sociétés spécialisées

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Encore une mesure discrètement limitative :

Tsunami dans l'immobilier ! - Bérengère Dubus
Tocsin
63,9 k abon



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Transféré de Oncle Germain pour mes archives

Scandale : comment l'Union européenne veut tuer la propriété privée

Alexandre Cuignache, avocat au barreau de Paris et Jean-Philippe Delsol, avocat, essayiste et administrateur de l'Institut de recherches économiques et fiscales (IREF).

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Immobilier : VOUS ne POURREZ BIENTÔT PLUS être PROPRIÉTAIRE 🤨
1984 (par PLACID)

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Wardon
• fille de ... Stoleru (bip ... de gauche)
• mariée à Wardon (bip ... d'extrême gauche
Le couple vit à Saint-Mandé, dans le Val-de-Marne (94). Une ville cossue où les prix peuvent dépasser allégrement les 10.000 euros le m² car située à proximité de Paris. La ministre y possède d'ailleurs une maison de 150 m², estimée à 1,5 million d'euros, selon sa déclaration de patrimoine. Soit 10.000 euros le m². Une valorisation bien inférieure à la moyenne de Meilleurs Agents, spécialiste de l'estimation immobilière, qui avoisine plutôt les 15.000 euros.
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Bornstein (bip ...de gauche) Mais !
• Selon sa déclaration de patrimoine de 2017, elle a indiqué en effet posséder deux appartements, l'un de 68 mètres carrés à Paris, l'autre de 43 mètres carrés dans les Hauts-de-Seine. Selon cette déclaration, à consulter sur le site de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP), l'ancienne ministre a déclaré deux biens immobiliers, estimés à 986.000 euros. Le premier situé dans la capitale aurait été obtenu pour la somme de 480.000 euros en 2008, puis évalué à 576.000 euros en 2017. Le second, acquis en 2015 dans le cadre de la loi Pinel, est estimé à 410.000 euros.
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Voilà: tout ce petite monde veut encabaner les goys dans des clapiers à lapins, pendant que eux se vautrent dans leurs luxueuses "commodités"
Au fait parce qu'ils sont "bips" ? De gauche caviar? Les deux ? Et la "Créature" dans tout ça, elle marche à quoi ?

Propriété publique

Français : Votre PATRIMOINE est vendu en SILENCE ...
1984 (par PLACID)



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Créer des pénuries alimentaires délibérées

""L'eurodéputé croate, Mislav Kolakušić, au parlement de l'UE :

L'UE utilise le canular du "réchauffement climatique d'origine humaine" comme prétexte pour s'emparer des terres agricoles aux agriculteurs, dans le but ultime de créer des pénuries #alimentaires délibérées.

Rappelez-vous que les personnes affamées et désespérées sont beaucoup plus susceptibles de se conformer à la tyrannie, en échange de suffisamment de calories pour éviter la mort, que les personnes ayant un accès facile à une abondance de nourriture, même si la source de ces calories de survie est des insectes - ou de la fausse "viande" cultivée en laboratoire. ""
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Relire : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Le Great Reset est en marche ! Mike Borowski #Short #politique

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Crise Immobilière en cours (partie 2) : disparition de la taxe foncière  ?

Caroline Porteu pour France-Soir
Publié le 22 janvier 2024 - 19:40



TRIBUNE - Le 5 janvier dernier, j’ai publié une tribune sur l’énorme crise immobilière à venir, en raison, entre autres, de la nouvelle réglementation mise en place afin de suivre les consignes de l’Union Européenne sur les diagnostics de performance énergétique (DPE), devenus obligatoires en cas de vente ou de location.

J’ai aujourd'hui un certain nombre d’autres éléments à y ajouter à cet article du 5 janvier. Le premier devrait d’ailleurs faire sourire un certain nombre de lecteurs.

Comme je le disais dans mon précédent papier en citant les sources officielles, certains logements classés G ne sont déjà plus disponibles à la location et le prix des travaux nécessaires à leur mise aux normes doit être estimé en cas de vente !

Ces logements ne peuvent d'ailleurs déjà plus être loués depuis le 1er janvier 2023. Ci-dessus, le calendrier d’interdiction officiel :

Image

Je serais curieuse de savoir si ce sont des cabinets de conseil ou des technocrates qui ont établi ces nouvelles lois, car, curieusement, ils ont oublié quelque chose d’assez important qui se nomme la taxe foncière et la taxe d’habitation, cette dernière ayant pratiquement disparu partout sur notre territoire, sauf pour les résidences secondaires. Ils ont également oublié la taxe sur les logements vacants. On ne peut réclamer à des propriétaires une taxe sur un local que l'Etat vous interdit de louer ! Pure logique.

Ces taxes sont, en effet, calculées sur la valeur locative du bien concerné !

Et, si la location d’un bien est interdite, les propriétaires doivent pouvoir demander l’annulation pure et simple de ces multiples taxes !

J’ai du mal à penser que personne n’ait songé à ces conséquences lors de la publication de ces nouvelles réglementations. Et je n’ose imaginer le futur désastre que cette ressource essentielle à nos communes et à nos départements va entraîner sur les budgets ! Surtout dans des villes comme Paris dont la taxe foncière a augmenté de plus de 50 % dans beaucoup de lots immobiliers, Mme Hidalgo ayant de gros besoins de financement !

On peut également se demander comment le gouvernement va essayer de réparer cette incohérence majeure d’autant qu’il avait prévu d’augmenter considérablement la taxe d’habitation en 2026 !

Changer l’assiette de référence de la taxe foncière ? Cela risque de provoquer des erreurs en pagaille et d’entraîner de grosses désorganisations ainsi que de nombreuses plaintes et protestations, en faisant apparaître des taux de taxation totalement délirants et inacceptables pour les propriétaires. Ce, d’autant que le gouvernement envisageait :

Changer les méthodes d’appréciation des DPE ? Là aussi, les réactions peuvent être assez désagréables pour le gouvernement car certains propriétaires ayant déjà fait des travaux coûteux du fait de la nouvelle réglementation, pourraient avoir l'idée d’en demander le remboursement !

Mais cet épisode qui risque de faire le bonheur d’un bon nombre d’avocats n’est pas la seule incohérence.

Il semble que la manière dont ont été conçus les logiciels de calcul pour l’établissement de ces diagnostics de performance énergétique entraîne des résultats très curieux : la consommation estimée par rapport à la consommation réelle est surestimée, surtout pour les petits logements (Voilà les riches une nouvelle fois privilégiés)  !

Une étude d’Hello Watt sur 200 logements semble établir que 71 % des DPE seraient inexacts !

L’étude de Que Choisir va même plus loin : “Du grand n’importe quoi encore et toujours. Jusqu’à trois classes d’écart pour un même bien”

Ces lois sont incohérentes, destructrices et visent la plupart des propriétaires. C’est qu’il s’agit d'adopter les nouveaux dogmes de Davos et de l’agenda 2030 de l’ONU :  "Vous ne posséderez rien mais vous serez heureux".

En remerciant France-Soir qui permet de contrer la désinformation actuelle en publiant des articles qui permettent de mettre un peu de lumière sur la réalité et les faits...


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La crise du logement est une bombe à retardement qui sert à étouffer les libertés individuelles!
Tocsin



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Aristote, défenseur de la propriété privée

Référence incontournable de la philosophie occidentale, Aristote a notamment été un des premiers auteurs à réfléchir aux questions d’organisation de l’économie dans la cité.
Marius Garreau
Le 5 octobre 2023, modifié le 5 octobre 2023
Représentation fictive numérique d'Aristote sur un marché à Athènes

Représentation fictive numérique d'Aristote sur un marché à Athènes

Midjourney

Qui suis-je ?

Né en 384 avant Jésus-Christ à Stagire (Grèce) , Aristote fut disciple de Platon, au sein de l’Académie. Il passa la majorité de sa vie à Athènes, où il fonda vers 335 av. J-C sa propre école philosophique, le Lycée. Il fut également, entre autres, précepteur du futur Alexandre le Grand.

Le philosophe est à l’origine d’une œuvre immense, touchant à un grand nombre de domaines de la connaissance, et notamment l’économie, dont il traite principalement dans deux ouvrages, Éthique à Nicomaque, et Politiques.

Ses idées s’inscrivent dans sa théorie politique et éthique. Les activités économiques doivent donc, selon lui, être organisées de manière que la société dans son ensemble se rapproche du "souverain bien", c’est-à-dire du bonheur.

Lire aussi > [Fiche] Courant de pensée - Les précurseurs

Ma pensée :

Ses réflexions économiques s’inscrivent dans un contexte particulier. À partir du VI-Ve siècle av. J-C, l’économie de la Grèce se métamorphose. Elle passe peu à peu d’une production et d’une distribution des richesses organisées collectivement au sein de petites communautés, à une économie marchande, faîte de producteurs indépendants, qui produisent en vue de vendre sur le marché. Le commerce se développe fortement, autant à l’intérieur de la Grèce, qu’avec les régions voisines.

Lire aussi > À quoi ressemblait « l'économie » avant Adam Smith ?
Opposition à Platon sur la propriété privée

Cette évolution permet l’émergence de nouvelles classes sociales s’enrichissant très rapidement, faites de marchands, à la fois financiers et commerçants. Ils usent de leur fortune pour leurs intérêts personnels, et non plus pour le bien et la gloire de la cité, comme il était alors coutume de le faire. Les inégalités sociales se creusent, les tensions montent, et pendant la fin du Ve et le début du IVe siècle av. J-C, Athènes fait ainsi face à une profonde crise sociale, politique et morale.

Aristote prend alors part aux débats qui animent son temps, cherchant à déterminer si le développement de l’économie marchande est bénéfique ou non pour la cité. Platon se prononce pour une interdiction de l’échange marchand et de l’usage de la monnaie. Il conçoit une société juste et idéale dans laquelle tout appartiendrait à tous.

Lire aussi > Dès Aristote, l'or, une si vieille passion, encore actuelle

Aristote se dresse contre son maître. Pour lui, un système économique de parfaite communauté des biens serait nocif pour l’harmonie de la société. Il objecte qu’en plus d’être difficile à réaliser, cette organisation désinciterait au travail, et créerait de nombreux conflits entre les individus.

Il défend plutôt une économie fondée sur la propriété privée, et qui autoriserait certains échanges marchands. La description et l’analyse qu’il donne alors de l’économie marchande sont pionnières.
Les découvertes aristotéliciennes à propos des échanges marchands

Premièrement, Aristote établit une distinction (qui sera au cœur des théories de nombreux économistes pendant des siècles) entre la valeur d’usage et la valeur marchande. Il constate qu’un objet, un vêtement par exemple, a non seulement une valeur d’usage, en cela qu’il permet de répondre à un besoin pour qui le possède, mais également une valeur d’échange, du fait qu’il peut servir à obtenir un autre objet.

De plus, ses observations le conduisent à décrire deux fonctions de la monnaie. Il explique que celle-ci permet d’exprimer la valeur des marchandises, tout en étant un outil facilitant les échanges et la circulation des biens.

Ensuite, Aristote distingue deux aspects des relations marchandes. Dans le premier cas, l’échangeur ne cherche qu’à satisfaire un besoin. Pour cela, il échange une marchandise qu’il possède contre une somme d’argent, avant d’échanger cette somme contre une autre marchandise, qui pourra répondre à son besoin.

Le philosophe encourage cette pratique, qu’il nomme « l’art naturel d’acquérir ». Ici, l’échangeur obtient une marchandise pour sa valeur d’usage, et la monnaie est employée pour satisfaire les besoins de chacun. Selon lui, ces échanges ne nuisent pas à la cohésion et peuvent même participer à l’unification de la cité, en encourageant les rencontres entre individus.

En revanche, Aristote refuse un deuxième aspect des relations marchandes : quand une personne échange son argent contre une marchandise, avant de revendre cette marchandise à un meilleur prix. C’est ce qu’il appelle la « chrémastique », ou l’accumulation sans fin des richesses.

Dans ce cas, la seule finalité de la transaction est la réalisation d’un profit. La monnaie et les marchandises ne sont plus que des instruments d’enrichissement. Aristote condamne cette pratique qui, selon lui, risque de détruire l’unité et la cohésion de la cité.

Pour les mêmes motifs, il condamne le prêt à intérêt, dans lequel la monnaie ne sert plus à faire circuler les marchandises, mais seulement à obtenir une somme d’argent plus importante.
La recherche d’échanges justes

La théorie politique d’Aristote comprend des considérations relatives à la justice sociale. Traitant d’abord de la justice distributive – soit la manière dont doivent être réparties les richesses – il estime que ces dernières doivent être allouées en fonction des mérites de chacun, et pas de manière strictement égalitaire.

Il s’intéresse ensuite à la justice commutative, c’est-à-dire la justice dans l’échange. Pour que chacun donne autant qu’il reçoit dans la transaction, il réfléchit à un critère objectif qui permettrait de juger de l’équivalence entre les marchandises.

Si on peut échanger x biens A contre y biens B, alors il y a une égalité entre ces deux biens, lorsque proposés dans ces deux quantités particulières. Cela implique que ces deux biens ont quelque chose en commun, on peut les mesurer l’un à l’autre.

Dans certains passages, le philosophe indique que ce dénominateur commun nécessaire, c'est le travail : les différentes marchandises ont en commun d’être le fruit d’un travail, et l’on doit alors trouver la même quantité de travail des deux côtés de l’échange.

Cette démonstration esquisse donc les germes d’une théorie de la valeur-travail, qui sera plus amplement élaborée près de 2000 ans plus tard, et sera au cœur du système théorique des auteurs classiques.

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