09/10/2012 Le racisme positif vs la discrimination positive
CF.JEUNE NATION
Le racisme positif vs la discrimination positive
Au regard des événements sociaux, économiques et politiques de ces dernières décennies, les notions extrêmement simplistes et fausses du racisme culpabilisant, dit « criminel » et de cet antisémitisme qualifié « d’inexplicable et d’injustifiable » sont tout simplement dépassées et absurdes. Nous arrivons au terme de ce qui est humainement possible de supporter.
Aussi, taxer d’une manière sévère, spécieuse, ridicule et injuste, en réalité de cette manière trop souvent employée par une caste de traîtres et par la race coupable, de racisme, d’antisémitisme ou de négationnisme, un citoyen honnête, dans le seul but de le traîner dans la boue parce qu’il découvre de très graves irrégularités au cœur même de l’Histoire « officielle » et de cette politique destructrice des peuples, qui divulgue alors, dans ces conditions odieuses d’atteintes permanentes à la liberté d’expression, des vérités criantes à ses semblables, eux-mêmes tous trompés par un battage médiatique menteur et des études historiques tronquées, n’a désormais plus aucune crédibilité.
Nous devons avoir le droit de discuter de tout, quand nous le voulons, avec qui nous le voulons. Et des étrangers ne devraient pas avoir cette insolence incroyable de vouloir nous commander de ne pas le faire.
Les peuples d’Europe qui prennent doucement conscience de leur malheur veulent simplement comprendre avec une grande exactitude ce qui les détruit. Ils savent désormais qu’ils ne veulent plus se nourrir aussi copieusement de concepts erronés qui les asservissent honteusement à une pensée unique, apatride, qui n’est pas la leur.
Pour commencer à contrarier cette tyrannie égalitaire, une simple petite question pourrait être posée aux maçons et aux juifs qui nous gouvernent : « depuis quand, au pays des droits de l’homme que vous chérissez tant et dont vous êtes les promoteurs les plus zélés, pourrions-nous nous considérer libres si nous n’avons pas le droit de dire ni d’écrire des vérités historiques et par là-même, dénoncer le comportement insupportable de nos tyrans ? ».
De l’aveu même de Voltaire, l’un de leurs représentants les plus appréciés, nous pourrions leur rappeler cette citation : « Je ne suis pas d’accord avec vous, mais je me battrai pour que vous aillez le droit de le dire ».
En attendant leurs réponses, ils appellent leur République maçonnique : la Démocratie pour les hommes et celle de leurs droits, bien qu’ils n’hésitent pas eux-mêmes à jeter en prison quiconque remettrait en cause leur Histoire et leurs vérités (cf affaire Vincent Reynouard).
Au XXIe siècle, en France, l’inquisition maçonnique incarcère des gens pour leurs idées et leurs écrits. C’est une réalité insupportable qui devrait empêcher de dormir tous nos « intellectuels ». Mais leur véhémence est réservée à ceux qu’ils qualifient « d’extrémistes de droite » ou « d’intégristes ». Ainsi l’on peut légitimement dire d’eux que leur intégrité revêt des limites qu’ils ne dépasseront pas, de crainte d’être en désaccord avec leurs maîtres.
Dans ces conditions liberticides et totalement inacceptables du point de vue même de leurs dogmes... Quelle différence y aurait-il aujourd’hui, entre cet âge qu’ils nomment si dédaigneusement « l’obscurantisme moyenâgeux » dans lequel ils assimilent trop souvent l’Eglise Catholique, son Inquisition, les Rois de France, et leurs lois contrenatures racistes avec lesquelles ils font jeter en prison des gens de notre peuple ?
Aussi le temps de rendre des comptes pour leurs crimes commis sur les peuples d’Europe est venu. Ce temps est présent aux portes de nos villes, aux portes de nos cœurs et de nos esprits encore groggys par tous leurs mensonges et par toutes leurs impostures morales et intellectuelles dont ils nous ont abreuvés aux moyens de leur or, de leurs banques, de leurs crédits, de leurs crises, de leurs productions cinématographiques, de leurs politiques corrompues, de leurs guerres. Etc.
Et même s’il reste dans les tables de la Loi de cette République judéo-maçonnique comme étant un crime exceptionnellement odieux et hautement répréhensible, le survivalisme racial, c’est-à-dire le racisme lavé de l'odieuse culpabilité qu’ils insèrent dans nos esprits à l’aide de leur propagande machiavélique, n’en demeure pas moins un état d’esprit naturel parce qu’il renforce notre lutte pour la vie, et en ce sens, parce qu’il nous permet d’avoir des instincts de sauvegarde pour notre identité charnelle afin de ne pas disparaître, comme le voudrait tellement notre ennemi irréductible.
Le racisme positif ou survivalisme racial n’est pas un mal par lequel nous devrions nous sentir coupables et remplis de culpabilités. En revanche, le racisme négatif ou honteux, engendré uniquement par les fils de la veuve et le rabbinat dans le but d’anéantir notre conscience raciale naturelle, est un véritable conditionnement moral, représentant en même temps pour nos esprits - si épris de liberté et de justice - une prison, un camp d’internement et un génocide silencieux.
Dans ses arcanes ésotériques et même exotériques, cette république issue des temples maçonniques nie les races. Pourtant, en contrariant tous les dogmes de sa pensée unique, elle a ses propres lois raciales, au du moins, contre raciales - sauf pour une seule race qu’elle protège de toutes ses forces institutionnelles.
Cette seule race que cette république menteuse - mais acharnée des droits de l’homme - s’évertue à sauver aux dépens des autres n’est ni plus ni moins que celle des sémites. C’est la seule qui soit totalement protégée et préservée vis-à-vis des autres races.
Il faut avoir à l’esprit que tous les dogmes républicains représentent les dissolvants raciaux que le rabbinat occulte et la franc-maçonnerie utilisent contre tous les peuples.
Nos propres institutions d’état - que nous payons avec nos saignées impôts - établissent toutes les conditions sociales et économiques les plus favorables à leur sinistre dessein de destruction des identités charnelles. Elles nous incitent continuellement par l’entremise d’une propagande savamment orchestrée à nous métisser avec des races qu’elles font venir essentiellement d’Afrique.
Ainsi le racisme anti-blanc naît des laboratoires secrets de cette République inique, dite des « droits de l’homme ».
Nous savons aujourd’hui, d’une façon indiscutable, que ce racisme anti-blanc est volontairement ignoré de toute la classe politique. A l’unisson, pour le désigner, elle parle d’un « relent toxique ». Mais a contrario, l’antisémitisme, lui, fait l’objet de toute sa préoccupation.
En vérité, les républicains-maçons sont les racialistes les plus forcenés qui puissent exister. Mais ils utilisent ce fondement principal de la vie dans un but destructeur. Dans un but suprématiste.
Dès lors, les races qu’ils nient en public mais qu’ils reconnaissent dans leurs lois pour n’en préserver qu’une seule, la juive, viennent au secours de leur République...
En effet, toutes ces races allogènes qu’ils font entrer chez nous avec nos aides financières, comme véritables forces de désintégration des peuples de l’Europe, toutes porteuses de gènes dominants et totalement incompatibles avec nos gènes récessifs - qu’ils anéantissent par le métissage -, sont littéralement libérées et déchaînées sur notre vieux continent, à l’assaut de notre civilisation.
Ces races nègres et porteuses de notre mort sont toutes privilégiées socialement et économiquement par le concours de lois dites « d’assimilation » et de « discrimination positive » et bénéficient du renfort colossal d’une propagande génocidaire par laquelle nous subissons, chez nous, partout, au sein même de la cellule familiale, en toute impunité, dans un silence assourdissant, toutes sortes de martyrs et d’injustices sans noms.
- Pourquoi donc une république qui chérie tant les libertés individuelles, tant le féminisme, tant le mariage homosexuel, tant la théorie du Genre – théorie qu’elle répand consciencieusement dans les classes d’écoles de nos enfants chéris, qui ne sont ni plus ni moins que notre propre chair et notre propre sang ainsi que notre future conscience, - avec la bénédiction crapuleuse des « enseignants » -, tant la liberté de conscience - sauf pour celle qui se voudrait raciale -, mais niant farouchement dans ses temples les races - sauf une seule -, est-elle à l’avant-garde de la génétique, du clonage animal et humain, de la fécondation in vitro, industrialise-t-elle alors par l’entremise d’impôts gigantesques, de ses « télétons » hypocrites et grotesques, de ses tournées des « enfoirés » dont l’effronterie et ses frasques n’ont d’égal que son « art » musical dégénéré, à rebours des fondements même de la nature, un eugénisme à l’envers ?
- Pourquoi cette République qui nie les races fait-elle écrire pour construire ses lois contrenatures par ses députés et sénateurs juifs une ligne aussi surprenante que celle-ci : «... contre le racisme ET L’ANTISEMITISME » ?
- Pourquoi donc rajouter «... ET L’ANTISEMITISME » sinon pour faire reconnaître et officialiser dans les esprits de ses sujets l’existence non-avouée d’une race maîtresse et gouvernante parmi d’autres qui lui sont toutes subordonnées ?
- Pourquoi alors cette distinction et ce privilège étatique et passablement ethnique en faveur des sémites ?
- Qu’a-t-elle de mieux ou de plus cette race ?
- De l’or ?
- Une connaissance antique insoupçonnée ?
Ne devrions-nous pas, dans l’intérêt de notre peuple, être inquiets ou pour le moins surpris que cette loi fut élaborée et commanditée par un juif, Laurent Fabius, et un communiste franc-maçon, Jean-Claude Gayssot ?
Ne pourrions-nous pas, toujours dans l’intérêt de notre peuple, imaginer réécrire nous-mêmes ces quelques lignes et être dans une pensée tout aussi légitime pour notre race, c’est-à-dire autant et aussi bien que pour celle des sémites, avec une phrase comme celle-ci : « ... contre le racisme ET L’ANTI-ARYANISME » ?
Hélas non... Car ce serait pour eux et pour nous reconnaître l’existence indiscutable de la race aryenne en Europe.
Ainsi le survivalisme racial est désormais légitimé par ces imposteurs qui détournent les lois pour s’auto-protéger et paraître tels des maîtres. Ce survivalisme nait en réaction de cette corruption sociale et de cette négation de la vie. Il doit sans faillir être intégré dans le combat nationaliste !
Par conséquent, dès lors qu’ils inventèrent des termes aussi indécents que « la discrimination positive », il n’y aurait alors plus aucune raison de ne pas évoquer « un racisme positif », véritable survivalisme racial.
Comment, dans le chantre de la liberté de conscience et du libre examen, une discrimination, quelle qu’elle soit, pourrait-elle est positive ?
Telle est cette question à laquelle nos intellectuels - si précieux - qui font tant leur promotion et celle de leurs livres sur les plateaux de télévision devront répondre.
En attendant qu’ils ne se réveillent et ne se sortent de leur torpeur d’imposteurs, dans ces conditions d’outrages aux peuples de l’Europe, le racisme positif prend désormais sur notre continent toute sa place, en compagnie de l’Honneur, de la Fidélité et de la Justice.
Depuis le fin fond de leurs caves malodorantes, jusque dans leurs archives les plus improbables de leur République des Lumières, par laquelle nous marchons à tâtons, voire à l’aveugle, nous découvrons ahuris que tout instinct de race, ou toute conscience raciale, qui naîtrait dans l’esprit d’un peuple est farouchement combattu à la manière des pires tyrans, sous le couvert insupportable des droits chimériques de l’homme, jusque dans des tribunaux sordides où l’on scande et vocifère des impostures morales telles que : « liberté, égalité, fraternité ».
Cet acharnement à combattre les races et d’aller en réalité contre la nature elle-même devrait susciter des interrogations de la part de nos intellectuels depuis au moins deux siècles.
Leur silence résonne comme un terrible aveu de culpabilité ; tous sont asservis quand ils ne sont pas les promoteurs de cette boutique des horreurs.
Mais en plus de cette « laïcité » sortie des enfers templiers et du bogomilisme-cathare, qui agit comme un leurre et engouffre inexorablement les foules inconscientes dans un marré spirituel qui n’est autre que leur consumérisme destructeur, puisqu’elle laisse croire à une liberté de conscience (sauf raciale évidemment) mais qui, en réalité, est une conscience totalement assujettie aux synagogues républicaines, c’est-à-dire ces loges maçonniques où le rabbinat agit en coulisses lourdement à l’ombre de sa cape noire poussiéreuse, distillant tous ses poisons pour les hommes et les peuples, dont tous les cadeaux sont des pestes, cette République damnée par la déesse Raison et le temple de Salomon, pourchasse et anéanti consciencieusement toutes les races pour n’en préserver qu’une seule : la juive.
Tant que les hommes demeureront encore des hommes - et non pas des bêtes sauvages sans foi ni loi -, la vérité gardera ceci de prodigieux: on ne peut pas l’empêcher continuellement de paraître pour ce qu’elle n’est pas.
Bien sûr, l’establishment juif et maçonnique qui nous tyrannise et nous martyrise voudra nous étouffer et nous détruire à l’aide de son arsenal législatif et de son bras séculier, parce qu’il connaît précisément ses mêmes vérités.
La judéo-maçonnerie ne veut pas que l’idée de race refasse surface puisqu’elle conscientiserait et libèrerait les peuples d’Europe de leur joug immonde et de leur anéantissement programmé.
Ainsi, dans ces conditions de liberté retrouvée grâce au racisme positif, attitude salutaire pour tous les peuples, nous n’aurions plus, par exemple, à rembourser ces prêts mortifères d’argent virtuels, tout comme leurs terribles intérêts impossibles à payer et qui répandent des fléaux sans noms partout où les hommes les contractent... Tous octroyés par des banques juives ou protestantes, c’est-à-dire exclusivement juives...
- Combien de banques catholiques et combien de banques islamiques compte-t-on dans ce marasme économique planétaire quasi perpétuel et meurtrier ?
Nous savons de ces banques religieuses, en particulier, qu’elles bannissent systématiquement de leur fonctionnement l’usure ; demander à un juif d’abandonner l’usure, c’est lui demander de travailler et d’être productif pour la collectivité ; chose qui lui est totalement impossible.
Son activité usurière n’est autre que le comportement d’un parasite qui va jusqu’à tuer son hôte.
Le seul intérêt – à long terme - de l’usure n’est pas, comme l’on serait tenté de le croire, l’enrichissement personnel, mais la destruction des peuples.
Les juifs se considèrent : « peuple élu ». C’est eux-mêmes qui le disent.
La franc-maçonnerie et les sociétés secrètes qui en découlent sont des inventions juives.
Ce qui n’est pas catholique, pas musulman ni bouddhiste, est franc-maçon, donc juif.
Le peuple français, tous les peuples d’Europe, sont menacés d’extinction sur le propre sol.
Regardez bien comme les choses évoluent autour de nous...
Emmanuel LECOMTE.
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