Féministes féminisme

Les animaux ont du palisir quand ils font crac crac mais ce plaisir est ordonné à la reproduction. Ils ne font pas ça "juste pour le plaisir"; Si on les castre, ils n'éprouvent plus d'attirance ( les chats coupés ne courent pas après les chattes).
Dans la nature il y a un équilibre, oui. On nait, on vit un temps limité, on meurt ou on se fait croquer.
POurquoi faut-il à tous prix limiter les naissances chez les humains?

Pour cet exemple de la polygamie, il montre le sens de la monogamie et le rôle qu'elle joue dans la cohésion sociale ( si l'on admet que la société n'est pas un assemblage d'individus). La monogamie suppoose une contrainte ( une femme seulement à l'exclusion des autres) mais en même temps une sécurité ( chacun en a une). C'est un facteur de paix sociale.

Florence67 a écrit:Les animaux ont du palisir quand ils font crac crac mais ce plaisir est ordonné à la reproduction. Ils ne font pas ça "juste pour le plaisir"; Si on les castre, ils n'éprouvent plus d'attirance ( les chats coupés ne courent pas après les chattes).
Dans la nature il y a un équilibre, oui. On nait, on vit un temps limité, on meurt ou on se fait croquer.
POurquoi faut-il à tous prix limiter les naissances chez les humains?

Feraient-ils crac crac s'ils n'en éprouvaient pas de plaisir ?

Pour faire avaler des pilules aux animaux, on les enrobe de vache-qui-rit... (les pilules, pas les animaux...)

Limiter les naissances des humains ?
Mais... parce que eux ne les limitent pas. Bien au contraire, du moins par endroits.


Après des millions d'années, l'Afrique a eu 100 millions d'habitants en 1900.
Grâce à des Dr Schweitzer, qui auraient mieux fait d'aller se coucher avant minuit, elle en a aujourd'hui 1,2 milliards, et bientôt le double.

J'ai lu qu'on allait mettre les vaccins dans l'alimentation....

Ou la pilule dans la vache-qui-rit....

La pilule dans la Vache-qui -rit ?
Des vaccins contre quoi dans l'alimentation?

Le plaisir existe et motive les bêtes, ( les humains itou) je n'ai pas dit le contraire, mais le but final est de procréer. la nature invente le plaisir pour motiver ( à procréer, à s'alimenter...)
S'il n'était pas là, par exemple dans la nourriture, manger ne nous ferait pas envie et l'on pourrait mourir de faim.
c'est donc un moyen ( de rester en vie, de perpétuer l'espèce)
et non une fin( rester en vie, perpétuer l'espèce).

La sexualité déconnectée systématiquement de la procréation par des procédés artificiels a des retombées sur le lien famiial et social à quoi elle fait perdre son ancrage dans la réalité. La sexualité se réduit à un jeu sans conséquences, la procréation "choisie" laissée à la décision humaine subjective lui donne une "toute-puissance" illusoire.
La fécondité est présentée comme aliénante.
La sexualité dite "libérée" ( crac crac et on oublie ensuite) satisfait des fantasmes plus masculins que féminins et se pare cependant des ornements de la "libération des femmes", prétendant défendre leur "interêt".
De facto la femme cherche l'amour en premier, et elle le détache moins aisément que l'homme de la sexualité:elle couche par amour, donc elle a plus à perdre que lui à ce "jeu". Pour éviter qu'elle ne découvre l'arnaque, les psy viennent à la rescousse de la libération sexuelle en inventant la pathologie de "dépendace affective" ( traduction : façon d'aimer et de vivre le sexe typiquement féminins) dont la femme doit impérativement se "soigner". Autrement dit elle doit "se hisser à hauteur d'homme" en matière de sexualité détachée ( de sentiments, de long terme, d'engaagement...elle est au naturel plus demandeuse d'engagement)
Et hop, on invente et on médiatise le syndrome de "la femme qui aime trop", le brevet datant des années 80...
L'écart va en s'élargissant au fil des décennies. Avec le gender et les opérations transgenre, on obtient des jeunes qu'ils se fassent stériliser volontairement. Et hop, on invente la crime d"'homophobie", plus exactement de "transphobie" pour parer à toute objection.
Etape suivante : fabrication de bébés en labo sous contrôle étatique ? Toute la population stérilisée? Le Meilleur des Mondes ?

La sexualité coupée de la procréation est en outre beaucoup plus LUCRATIVE que celle qui este couplée à sa fonction reproductive.
La pilule, les ivg, les transformations de genre, voilà qui rapporte !
Pour ne citer qu'eux.

Vidéo d'Alain Pascal et Etienne Couvert( spécialistes de la Gnose) utile pour comprendre que le féminisme actuel est en fait un retour à la Gnose et aux cultes cosmiques

https://www.youtube.com/watch?v=ZOG1u0XsMal

René Girad qu'ils citent estime que le retour aux cultes cosmique réouvre le temps des sacrifices humains( 200 millions de morts) .
Aux temps primitifs on sacrifiait des jeunes filles ( "Le sacre du printemps"), avis aux féministes qui activent leur retour...
Girard a écrit à ce propos un remarquable petit essai , relativement inaperçu , "L'anorexie" où il émet l'hypothèse du sacrifice de certaines jeunes filles modernes. Affaire à suivre...

Les parents catholiques dignes de ce nom ne laisseront plus leurs bambins lire Harry Potter, espérons-le, après avoir vu cette vidéo !!!!

Patrick Buisson sort un livre sur le féminisme ( sous titre "libération, piège à c..." il m'ôte les mots de la bouche)
"Décadanse"
avec une interview sur Boulevard Voltaire où il affirme haut et fort ce que je pense depuis plus de deux décennies : le patriarcat protégeait les femmes !

EP-49 L' effroyable Imposture du Féminisme - (Lucie Choffey) - Les Conseils De Maximus.


https://www.youtube.com/watch?v=Si2JBtjEnQQ

Excellente référence que Lucie Choffey, j'avais posté sa vidéo sans que ça marche. Merci Cousin !
Mille bises à vous Lucie Choffey !

Qu'est-ce qu'être "Raisonnablement sexiste" ? Explications avec Laurent Obertone

Avec Laurent Obertone, essayiste et auteur de "Raisonnablement sexiste" publié aux éditions Magnus

https://www.youtube.com/watch?v=aoXeMbuauyI

IL y a de l'idée mais il ne creuse pas assez la question.
Il était plus courageux sur d'autres sujets.
Réaffirmant que le mariage est un contrat ( idée maçonnique) il évite de faire le lien entre l'influence maçonnique et l'état où sont les rapports hommes-femmes, dans nos sociétés. Or le combat de la FM c'est de détruire la civilisation catholique en attaquant la famille et en corrompant la femme.
Cette réalité-là, on n'a pas le droit de la dire ni de la publier si l'on veut avoir les honneurs des grands médias et éditeurs.

Florence67 a écrit:IL y a de  l'idée mais il ne creuse pas assez la question.
Il était plus courageux sur d'autres sujets.

Je n'ai pas (encore) acheté son bouquin...
Peut être qu'il se lâche un peu plus à l'écrit qu'à l'oral.

J'espère bien ! D'habitude il est plutôt ceinture marron, là, cette interview ça fait ceinture jaune.

https://youtu.be/kajPjQO0Lds

Finalement je vais peut-être l'acheter ce livre, pour avoir accès aux études scientifiques sérieuses sur les différences sexuelles, de QI, de cerveau, etc.
C'est fou ce qu'il a raison en disant que les féministes croient à une théorie du complot!
Les femmes plus conformistes et les hommes plus rebelles : je plussoie. La preuve c'est qu'elles ont gobé ce mensonge qui fait du féminisme un mouvement d'"émancipation" des femmes alors qu'il impose une  nouvelle forme de société sans familles, sans Dieu, sans pères, et ce à l'insu des populations,  et que pour les femmes détruire le mariage c'est scier la branche où elles sont assises !!!!

La testostérone diminue en proportion de la progression du libéralisme . Là où géographiquement la majorité des hommes sont féminisés, là est le libéralisme politique, économique et culturel, la dissolution de la famille, le wokisme, la "tolérance", l'individualisme, la foi dans le Moi humain.
Là où les hommes résistent sont les peuples qui tiennent à leurs traditions.

Florence67 a écrit:Patrick Buisson sort un livre sur le féminisme ( sous titre "libération, piège à c..." il m'ôte les mots de la bouche)
"Décadanse"
avec une interview sur Boulevard Voltaire où il affirme haut et fort ce que je pense depuis plus de deux décennies : le patriarcat protégeait les femmes !

J'ai trouvé cette perle des années 80 !

007/** a écrit:

Florence67 a écrit:Patrick Buisson sort un livre sur le féminisme ( sous titre "libération, piège à c..." il m'ôte les mots de la bouche)
"Décadanse"
avec une interview sur Boulevard Voltaire où il affirme haut et fort ce que je pense depuis plus de deux décennies : le patriarcat protégeait les femmes !

J'ai trouvé cette perle des années 80 !

La conclusion est tout bonnement prophétique ...

007/** a écrit:
J'ai trouvé cette perle des années 80 !

Excellent!!!

Je suis complètement en phase avec les réflexions de l'homme un peu viril qui joue avec son fils au flipper et l'amène faire du sport...

Quant au cuck passif, assis avec ses coussins sur son canapé, il me parait tout à fait normal que ses copines lui sortent carton rouge sur carton rouge, l'humilient publiquement et lui crachent dessus... Même s'il est très gentil, il n'a absolument ni la tenue, ni le comportement qui impose le respect.

Bref, dans les deux cas, c'est la même punition: "men on strike"... Ainsi, ni les hommes alpha, ni les hommes bêta, n'ont d'intérêt à s'engager avec une femme, sous peine d'être plumés par une autre femme, juge des affaires familiales.

La conséquence? Une société matriarcale et féministe ne peut se reproduire pas dans de telles conditions, et disparaîtra totalement, avec ou sans invasion migratoire. C'est pourquoi on assiste aujourd'hui au grand remplacement par des sociétés patriarcales musulmanes et africaines qui, sans se poser de question, font des gosses par dizaines, même si ce sont des débiles à 70 de QI...

https://www.youtube.com/watch?v=1OQ0pywF0AU

Bon je résume: aux USA (et bientôt chez nous) un hétérosexuel mâle qui veut échapper à la pension alimentaire y compris de ses "non enfants" doit prouver non seulement qu'il ne peut en être le père ... mais qu'il ne peut physiologiquement (ou "sociétalement" ...) être père tout court !

Quand donnera-t-on la parole aux quelques unes qui ont compris que le "retour" à ce patriarcat tant dénoncé aujourd'hui serait un bienfait pour les femmes?
J'aime encore mieux obéir à un mâle un peu brut; savoir que le divorce ne tournerait pas  à mon avantage, que je risque d'y perdre mes gosses, que l'on me montre du doigt; être soumises aux contraintes domestiques des mères de famille...

MAIS
savoir que, maitresses ou pas, mon homme est digne de ce nom et ne me laissera donc pas tomber avec mes gosses pour partir avec une blondasse;
vivre dans une société qui honore les Pénélopes ( au lieu de les insulter)
et favorise donc la fidélité conjugale;
avoir à mes côté un père digne de ce nom pour éduquer nos enfants;
ne pas risquer de me faire  traiter de "dépendante affective" par les psychoféministes( souvent hélas avec quel mépris ! Alors comme ça c'est mal d'être fidèle ?).

Je rappelle donc aux aimables lectreurs-trices que le divorce est une idée maçonnique.
Que les lois en matière de divorce, trop favorables aux femmes, se retournent contre elles.
Que le véritable amour d'une femme est son HOMME et non pas une idéologie tordue des frères trois points
ET qu'il faut chhanger les lois !!!!!
OUI c'était mieux, mille fois mieux avant !!!!! Les femmes devraient bénir les lois traditionnelles qui les protégeaient des conséquences de l'inconstance masculine.
Vive le Patriarcat, vive la virilité, vive la féminité.

OUi bon mais si j'écris ça, si je veux le publier, il me faudrait un éditeur qui en ait....

Mettre les femmes au travail massivement pour faire élever leurs enfants par l'Etat, c'est une invention totalitaire de l'ex URSS ( ils ont même légalisé l'avortement dès les années 1920).

On a espéré qu'il y ait "moins d'agressivité" grâce au féminisme, comme dit l'interwviewer, mais il faut se rendre à l'évidence : c'est raté.

Dans la première vidéo ils disent que les femmes puisent leurs idées émancipatrices dans les magazines féminins. Je complète : les psys ont joué un role prépondérant dans le divorce. Patrick Buisson rappelle que les confessionnaux se vident dans les années 1960 à mesure que s'emplissent les cabinets de psychanalyse.

Etre réticente à divorcer , préférer le compromis, le pardon, aujourd'hui pire que d'être mal vu c'est considéré comme une pathologie féminine. C'est justement dans les années 80 qu'est paru le guide de la femme "saine d'esprit" ( = individualiste, indépendante, apte à divorcer) de la psychothérapeute familiale ( !!!) Robin Norwood "Ces femmes qui aiment trop".
Succès de librairie que dans ma jeunesse égarée, en plein premier drame d'amour, j'ai vraiment senti passer.

Par "trop" il faut entendre ici : de manière traditionnelle.
Après ce coup d'archet il n'y avait plus aucune excuse à aller mal dans son couple: puisque les lois encouragent lles femmes au divorce, la fidélité, la patience, les larmes , ont été promues maladies mentales.
De ces années date la vulgarisation de l'expression "dépendance affective".

Qui aujourd'hui irait conseiller à une confidente, une consultante, une copine, une soeur, de lire une biographie de Sainte Monique de Tagaste ? La mère de Saint Augustin a pleuré presque deux décennies durant à cause des infidélités de son mari Patricius et du manichéisme de son fils, priant sans relâche pour eux au milieu des larmes. Elle a obtenu leur repentir et leur conversion à tous les deux.

Ce modèle de douceur, d'abnégation, calqué sur le modèle marial, la franc-maçonne suffragette Maria Deraisme, cofondatrice de la loge du  droit humain, parlait déjà en 1923 de le débouter pour le remplacer par celui de la femme combative, affranchie, autonome, ayant du caractère. En gros exit Sainte Monique, on va mettre Caroline Fourest à la place.
L'idéal maçonnique semble triompher dans les médias.
Mais dans le coeur du citoyen lambda, c'est autre chose!
L'agressivité des féministes vis-à-vis des femmes plus classiques ( "je sais pourquoi tu ne quittes pas ton époux volage, c'est par lâcheté, la liberté te fait peur, ouh la vilaine !") me dit que bien des femmes aimeraient au fond poser leurs banderoles de militante et prendre leur bébé, leur moule à tarte ou leur plumeau.

La reconquête sera rude....elle passera peut-être par la redécouverte du Catholicisme de toujours, de la dévotion à la Vierge Marie.
O que revienne le temps de la douceur maternelle, de l'indulgence féminine, le temps où chacun portait vaillamment son fardeau parce qu'il savait pour Qui il le portait !

https://www.youtube.com/watch?v=XVhsl_fMJNo

Traduit de façon brutale par l'immonde de service:

IL n'est pas immonde, il est lucide et couillu.
Passons sa manière un peu crue de s'exprimer.
A part ça, je suis d'accord avec ce qu'il pense du féminisme et des femmes ( ben oui, pardi, nous sommes réalistes en amour! Les féministes se trompent en nous traitant de rêveuses romantiques).
Le mariage protège les femmes sur la longue durée : c'est l'un des arguments de l'Eglise cité par la RISS dans les années 1920 à propos des origines maçonniques du féminisme. Les femmes bénissent ( enfin "bénissaient") les lois qui les garantissent des conséquence de l'inconstance masciline.
En gros : sachant que la beauté fane vite, c'est dans notre intérêt de nous marier. Dans la France catholique, il n'y avait PAS de divorce ( un FM l'a réintroduit dans nos lois sous la IIIème république, il était tout de même peu usité jusque dans les années 1960 où tout bascule).
Mariée , on garde son homme, son seigneur et maitre et protecteur.
Même quand on a cinquante ans ou plus.
Dans un bon mariage, une base amicale soustend la passion initiale qui s'érode petit à petit avec le temps. De ce fait l'union survit à l'inévitable déception. La tranquillité supplante la passion des commencements. On aime peut-être mieux "ensuite", une fois épuisée la flamme des coups de foudre. Le moment où les femmes modernes commencent à "étouffer" ou s'"ennuyer" est peut-être le véritable début de l'amour. Les choses intéressantes commencent là : accepter les défauts, s'adapter, faire des compromis, pardonner parfois de cruelles offenses. Résistant à la pression divorceuse parfois très perverse du monde extérieur...
La routine ? Mais il y a plein de gens qui aiment la sécurité des routines. Les enfants ont besoin de routine. La vertu selon Aristote est une forme de routine.

Les épouses trompées de jadis fermaient un peu les yeux sur les escapades du mari, sachant que cela ne signifiait pas le début de la fin. Aujourd'hui une maitresse menace la sécurité du mariage, subséquemment les épouses demandent le divorce "avant"d'avoir éventuellement à le subir.

J'avais tout comprendu vers vingt ans, pour une raison évidente : contrairement à mes camarades, je n'étais pas la reine de la fête, on ne se battait pas pour moi, je ne possédais pas le pouvoir de la juvénile vénusté. Affligée de 25 kilos de surpoids, je galérais en amour autant qu'un homme pauvre.
IL était quasi inévitable, puisque je n'avais pas encore la Foi, que je tombe entre les pattes d'un manipulateur "new age" qui m'a tourmentée une année durant. Nous n'étions pas mariés, j'ai pu faire mes valises à 23 ans après avoir perdu tous ces kilos de trop sous le joug de cet étrange gnostique ( je ne mangeais plus, ne dormais plus, pleurais tout le temps).
Ensuite ce sont les psys féministes qui ont essayé d'avoir ma peau. On m'a convaincue que, étant donnée la profondeur de mon chagrin d'amour, j'avais sans nul doute un problème de dépendance affective cachée quelque part dans mon inconscient. Et c'était reparti pour un tour de magie.
Vers la trentaine, suite à des rencontres avec des amis chrétiens, je me suis convertie : je suis de facto retombée sur Terre !
Et mariée.
L'expérience de la laideur dans ma jeunesse m'a fait comprendre ce que les femmes d'aujourd'hui, pétries d'idéologie féministes comprennent plutôt vers 40 ou 50 an : c'est que le corollaire du féminisme est la beauté. Le féminisme profite aux jolies, jeunes de préférence. C'est peut-être très cool, la liberté sexuelle, à condition d'être bien foutue.
On voit tout de suite le lien avec le marché : afin de rester concurrentielles, les femmes achètent des habits, accessoires, cosmétiques, teintures, opérations, abonnements sportifs... Basic fit, Mango et Nivéa font un max de chiffre d'affaire sur le dos du libéralisme sexuel. Et de notre angoisse de finir seule.

Le vilain machiste blanc hétérosexuel a peut-être les yeux balladeurs, la fidélité en pointillé, le zigouigoui qui fait mouche.
Bon, mais du calme : il est aussi le pourvoyeur de la famille, le protecteur de sa femme, l'éducateur de ses enfants. Celui qui chanterait avec Brassens à son épouse un peu ridée( "Saturne")
"c'est pas vilain, les fleurs d'automne
Et tous les poètes l'ont dit
Je te regarde et je te donne
Mon billet qu'ils n'ont pas mentit"

https://youtu.be/A7aA20KCS08

007/** a écrit:Bon je résume: aux USA (et bientôt chez nous) un hétérosexuel mâle qui veut échapper à la pension alimentaire y compris de ses "non enfants" doit prouver non seulement qu'il ne peut en être le père ... mais qu'il ne peut physiologiquement (ou "sociétalement" ...) être père tout court !

Soit il se déclare homo à 100 % et donc par mysophobie dans l’incapacité d'avoir la moindre relation avec une femme
Soit plus sûr il se fait vasectomiser préventivement !

Il y a une cohérence dans tout cela,
une volonté de réduire la population mondiale.
Les corollaires de la fécondité liée aux hormones vont être dénigrés chez les deux sexes ainsi que la différece sexuelle qui est féconde.
ON va au contraire encourager les "sexuallités" non fécondes et les transitions de genre qui supposent une ablation définitive des organes procréateurs.

Gabnielle Cluzel écrit dans "Adieu Simone" ( 2016,le Centurion)que les féminismes n'aiment pas les hommes, ce qui est évident ( papas spoliés de leurs enfants, dénigrement de la virilité occidentale, du "patriarcat", etc.) mais que les féminismes, c'est plus troublant, n'aiment pas non plus les femmes.
J'ai envoyé six pages manuscrites à cette journaliste brillante pour illustrer ce propos car NON, les féministes n'aiment pas les femmes !!!!!
Premier constat : c'est dans les sociétés émancipatrices de nénettes  que l'anorexie connait des statistiques galopantes.
Autrement dit l'anorexie, c'est le cas de le dire, est un squelette dans le placard du féminisme ( la jeune fille anorexique étant souvent la fille d'une féministe ou d'une maçonne sans tablier qui ne l'"aime" que purifiée de tout ce qui en elle semble trop féminin...formes, coquetterie, gout des tâches ménagères, sensiblerie, aimer "trop", "dépendance affective", choix d'un métier médico social...).
Le squelette ambulant sans menstruations , omnubilé de réussite scolaire et de sport, exprime parfaitement le sort que réserve notre civilisation "progressiste" à la féminité complète ( féconde) : à mort  ! A mort la faiblesse, à mort le gracieux, à mort les formes, à mort l'amour qui pardonne, à mort la mère au foyer...Bouh! Cachez cette féminité que nous ne saurions voir. Libérez-vous, et plus vite que ça. Et que ça saute !
( sans vouloir faire de mauvais jeux de mots)

La femme se masculinisera ou ne sera point.

C'est une idée gnostique archivieille qui remonte à l'évangile "de Thomas" ( apocryphe rédigé deux siècles après Thomas l'apôtre et  dans une langue qu'il ne parlait pas...) texte de référence de tous les gnostiques.
Petit rappel : la gnose est la philosophie officielle de la franc maconnerie.
La vaste entreprise de déféminisation des femmes vient de la gnose ( et se précise dans les années 1920 sous la plume acérée de la soeur trois points Maria Deraisme qui part en campagne contre le culte marial)

S' il n'y a plus d'hommes, s'il n'y a plus de femmes, logiquement il n'y a plus d'enfants .
A la place de l'homme on aura le zombie ou la fofolle, à la place de la femme le bouledogue ou la décharnée.
Et les enfants, on les importera.

https://www.youtube.com/watch?v=PjrT45qE5w0

D'ailleurs je ne l'ai pass prise, ce me semblait imprudent. Pas assez de recul quant aux risques de cancer. On a tenté de me la prescire, j'ai eu d'insupportables migraines et nausées, au bout de deux jour j'ai arrêté.
Je vivais en Allemagne et là, plein de copines refusaient de la prendre aussi pour des raisons écologiques ( féminisation de l'environnement, pas assez d'études sur les effets à long terme...)

Avec la pillule, on a la banalisation de la sexualité déresponsabilisée, donc c'est la torture psychique programmée pour TOUS CEUX ( et celles) qui prennent l'amour au sérieux et pour qui ça ne signifie pas "on couche et puis on voit". Les psys féministes rappliquent aussitôt : ouh la vilaine fille dépendante affective !Ouste, en camp de masculinisation ( je veux dire "en psychothérapie")
Les qualités liées à la maternité sont aujourd'hui fortement dénigrées et sont passées dans les catégories de la patholigie mentale.
Je recommande Billings. Un jour au vestiare de la salle de gym une jeune femme se plaignait à cause de toutes les visites gynéco et contraintes liées à la pillule et au stérilet, je lui ai conseillé Billings. En fait j'aurais dû lui conseiller de se garder pour le "bon", celui qui l'aimerait avec sa fécondité.

Laurent Obertone : tout juste la moyenne.

Que le jeune Laurent Obertone continue sur le ton adolescentré qu'il adopte dans "Raisonnablement sexiste " et il va se griller, sans vouloir faire de mauvais jeux de mots.
Tss tss Laurent, vous pouvez mieux faire et même vous avez déjà fait beaucoup mieux.

Je sais, je sais : on ne peut pas publier librement au pays de la séparation de l'Eglise et de l'Etat qui relègue le bon Dieu à la sphère privée et ravale la Foi au rang d'"opinion". Mais de là à nous pondre ce bouquin qui râle à propos de la France islamisée  en omettant de mentionner qu'elle a longtemps été la "fille aînée" de l'Eglise...
D'un côté il déplore la débauche féminine et enfonce des portes ouvertes ( on le sait tous, que les filles faciles pêchent des connards, "font" même le connard,  et n'ont pas bonne réputation), de l'autre il ne s'avise même pas de faire le lien avec la déchristianisation qui est l'oeuvre de la Franc-maconnerie.

Aucune proposition de se convertir au chapitre des "solutions" qui semble calqué sur un manuel de développement personnel. Et qui comme lui prend l'être humain pour le demi dieu qu'il n'est pas.

Beaucoup d'idées empruntées à Zemmour , Soral ou Gabrielle Cluzel, voire à Nietzsche ( morale des  plus "forts"). Pas la moindre idée originale. Evacuée la définition aristotélicienne de l'homme animal politique ( social), pour Obertone la "solution" commence dans l'individu, par le travail sur soi. Autrement dit il n'y a pas de société mais que des individus, thème avancé mar Maggy Thatcher et repris en boucle par le développement personnel. Et c'est à coup d'injonctions à se retirer des enjeux de la Cité, à fonctionner dans une autarcie irréaliste, à se prendre pour un lion rebelle, genre Bob Morane ou Corto Maltese, que l'auteur s'essaie à sauver le monde. Ce qui ne  l'empêche pas de traiter tous ceux qui ne pensent pas comme lui d'irresponsables et les perdants du libéralisme comme des imbéciles à petit QI qui n'ont que ce qu'ils méritent au fond.

Mais là où l'on atteind des sommets d'illogisme q'est dans l'éloge de la femme "forte", la "lionne" bourrée de confiance en elle ( et non en Dieu) à qui il donne, copiant sur le féminisme  l'ordre suprême :"devenez indépendantes" (du féminisme).
Toujours cette même erreur de croire que l'humain est capable de fonctionner sans maitres, sans Dieu, sans les autres. Toujours cet orgueil tout gnostique , celui-là même qui est à la base des erreurs modernes. De toutes les erreurs : libéralisme; matérialisme, idéalisme, marxisme...

Car non, mon cher Laurent, non, la femme n'a pas à être "indépendante", un être humain étant par nature dépendant...de Dieu. Si vous voulez des couples stables, des familles aimantes, des hommes virils, ce sont les vertus chrétiennes qui devraient figurer au chapitre des conseils à donner et pour les femmes en particulier : la patience, la douceur, la soumission à Dieu et au mari. Croyez-vous que Sainte Monique s'est prise pour une "princesse" ? Elle a pourtant supporté un mari in fidèle et un fils manichéen avec patience, priant pour leur conversion à tous deux.

Ma grand'mère ferait mieux que vous, cher Laurent, elle donnerait l'exemple de qui imite la Vierge Marie.
Par son humilité, son dévouement aux siens, elle a fait plus que tous les manuels de développement personnel du monde. IL faut du réalisme et non cette utopie que la femme doit "se sauver seule" et ne pas attendre que l'homme le fasse ( on dirait du Beauvoir, sans blague).
Le réalisme nous ramène à l'humilité : nous ne sommes pas des lions ni des  lionnes. Nous avons notre devoir à accomplir vis-àvis des autres, nos enfants, conjoint, employés, supérieur et vis-à-vis de Dieu qui n'est jamais si bien glorifié que par les humbles.

Un peu moins de superbe, monsieur Obertone, un peu plus de bonnes lectures ( St Thomas par exemple), vous y êtes presque.

Live avec Alain Soral - Drague, Relations homme / femme, App de rencontres

https://www.youtube.com/watch?v=4_0diF7hstw

Vingt premières minutes, excellent, très bien vu ces différences entre cultures protestantes et catholiques.
J'en ai fait l'expérience en Allemagne, il dit vrai : unisexe, femmes très directes, un peu masculinisées et, hélas, leur phobie de la "dépendance" : au fond les pays protestants ont le culte de l'égalitarisme, donc on va taper aussi bien sur le dragueur "sexiste" et sur la fille qui se laisse mourir d'amour. C'est la chasse aux dépendantes affectives. Pan pan !
J'ai testé pour vous le chagrin d'amour vécu en France et vécu en Allemagne : en France à mon époque on avait de la compassion, de la compréhension et des paroles encourageantes ( tu l'oublieras, tu en trouveras un autre, tu garderas un beau souvenir, etc). Deux ans plus tard, chagrin d'amour en Allemagne et bing! le choc des cultures. Quand on parle à une amie ou à SOS amitié, on vous fait comprendre que VOUS N ETES PAS NORMALE et que AIMER UN HOMME CEST PAS BIEN parce que ça vous rend dépendante. ON vous conseille le psy, on vous envoie lire "ces femmes qui aiment trop " de l'Américaine R Norwood. Dans les cultures protestantes, c'est le MOI qui a priorité et non l'amour ( ou l'érotisme), donc en souffrant à cause de quelqu'un on se rend coupable de lèse-égo. Et là les femmes allemandes vous tombent dessus, psys comprises. Et zou, il faut se masculiniser les filles !
J'avais jamais vu ça.
Très vite j'ai eu le mal du pays.
Quand je suis revenue en France, jai constaté cet effondrement dont il parle, le féminisme américaon était passé par là.

Florence67 a écrit:
C'est une idée gnostique archivieille qui remonte à l'évangile "de Thomas" ( apocryphe rédigé deux siècles après Thomas l'apôtre et  dans une langue qu'il ne parlait pas...) texte de référence de tous les gnostiques.

Vous pouvez préciser un peu, Florence ?

J'espère que vous avez adressé vos conseils à L Obertone directement, sinon, hormis pour nous, ils sont perdus ...

J'ai pensé à écrire à Laurent Obertone.
Dans l'evangile dit de St Thomas ( écrit deux siècles après la vie de St Thomas l'apôtre), texte de référence de tous les gnostiques cité par Etienne Couvert (" De la Gnose à l'oecuménisme") le message de masculinisation de la femme est on ne peut plus clair : "toute femme qui sera faite mâle entrera au royaume des cieux".
Pour la gnose rappelons en schématisant beaucoup que l'Androgyne est un véritable idéal ( que nous retrouverons chez C G Jung) à atteindre pour retrouver l'unité primordiale, celle d'avant  notre naissance. Ils ne voient pas d'opposition autre qu'apparente ( dépassable, donc) entre le bien et le mal. Ils veulent réunir les contraires, aller "au delà " des différences sexuelles. La naissance serait une catastrophe qui aurait fait tomber notre âme "divine" ( émanation du divin) dans une gangue terreuse,  limitée et malfoutue ( le sexe assigné des wokistes) qu'ils auront à coeur de refaire. Il semble que l'actuel "gender" ait beaucoup puisé aux sources gnostiques.
Je vois aussi une affinité avec le "travail sur soi" des psys ( presque tous en fait vont entreprendre de masculiniser psychiquement les patientes), la pierre ( symbome du soi) travaillée par les Fsancs-maçons et les "transition de genre", travail sur la chair. Il y a un dénominateur commun à tout cela, c'est la gnose. Même crédo en l'homme et en sa divinité, même foi en la science qui le transformera ( transhumanisme). On n'est pas loin non plus de la démarche de l'anorexique.

Laurent Obertone a l'excuse très valable de ne pas le savoir.
Peut-être vais-je le lui écrire, je ne sais pas...écrire à un type qui dit "soyez indépendantes, soyez des lionnes" ( ce discours est signé) ça me dégoûte. Pour moi quelqu'un qui dit des choses comme ça se grille automatiquement!

A un moment il parle bien entendu de résilience, à un autre il dit que l'humain peut atteindre la quasi divinité ou quelque chose comme cela...non mais Laurent, vous voulez avoir votre ohoto en couverture de "Psychologies" ou quoi ?
Ceux qui aiment les honneurs aiment les lionnes, c'est mathématique : plus on aime les honneurs, plus on veut de lecteurs ou de voix, plus on s'affiche avec une lionne ( non non je ne vise personne en particulier)ou mieux encore avec un lion ( hum).

Laurent Obertone est à Alain Soral ce que le coca est au Pommard.

https://www.youtube.com/shorts/GnLZxvji5Ck

Elle a parfaitement raison cette ravissante blonde. Si c'était ma fille je serais très fière.

Et j'ajoute à ces constats lucides que cet idéal utopique d'autonomie

c'est de la gnose .

En politique et dans ces questions sociétales ( féminismes, gender, wokisme....) nous sommes comme des M Jourdain ( "Le bourgeois gentilhomme") qui ignorait qu 'il faisait de la prose, nous faisons de la gnose sans le savoir !

L'être humain autonome c'est une sorte de "divinité". L'asséïté, faculté d'exister par soi-même, n'appartient qu'à Dieu. Quand on nous rabâche "ayez confiance en vous", "soyez indépendantes", "soyez autonomes", "réalisez tous vos potentiels", on ne nous dit pas autre chose que :

PRENEZ-VOUS POUR DES DEESSES.

Une bébête rampante a sussuré quelque chose comme cela à nos premiers parents dans la Genèse "vous serez comme des dieux".

En psychothérapie c'est le même message mensonger ( "aimez-vous vous-mêmes", "libérez-vous du poids de votre éducation, du passé", etc.)

Le féminisme né dans les loges maçonniques ( comme son cousin le divorce) est luciférien.

A l'opposée se trouve le modèle de la Vierge Marie, toute d'obéïssance, de modestie, d'humilité, de don de soi. C'est elle qui écrase le serpent.

ESt-ce que Laurent Obertone le fait exprès ? Il dénonce les effets du féminisme. Mais il en reconduit les grandes lignes et continue d'en chérir les causes, du coup il tient le même discurs que lui :"soyez indépendantes". Il imagine lui aussi que tout part et revient à l'Individu.

La belle Thais est une icone de la féminité.

On n'est pas des monades, "il n'est pas bon que l'homme soit seul".
L'interdépendance entre les deux sexes est voulue par Dieu.
( ce qui ne plait pas aux gnostiques)

Expériences :
une femme prend rendez-vous par téléphone avec un cabinet dentaire ou une société de maintenance.
Au moment de fixer un rendez-vous pour un examen ou un devis
si la personne au téléphone est aussi une femme elle ne lui demandera pas "quelles sont vos disponibilités?"( ce qui est neutre)
mais
"est-ce que vous travaillez?"( ce qui l'est moins).
Car cela signifie, si elle est sans emploi, qu'elle vient en second dans les choix de rendez-vous et que les femmes qui bossent en dehors de leur maison ont priorité pour choisir.
Sous entendu une mère sans emploi ne peut pas a priori refuser un rencard au milieu de l'après-midi puisqu'elle "ne fout rien", ou alors il lui faudra penser à l'avance à une activité "sérieuse" juste à ce moment. Mais en principe "elle n'a que ça à faire"....
Ces petites subtilités sont légions entre femmes.
Les femmes se font mutuellement, par ces mini-"discriminations" ( si on peut appeler ça comme ça), la leçon féministe.
Jamais vu un homme faire ça.
Il demande "vous pouvez quand?" point barre.
Pareillement si une femme se rend chez un médecin/ un masseur/ un kiné ou autre qu'elle ne connait pas encore, si c'est un homme il ne lui pose guère cette question de son travail et se limite aux aspects médicaux. Enn général l'homme ne papote pas et ne se montre pas très intrusif de la vie privée ( sauf quand il drague, peut-être ?)
mais si c'est une femme la question vient immanquablement "vous travaillez?"( pour de l'argent s'entend).
Et tôt ou tard suivront de petites allusions dans ce style :

Cliente :" je suis modératrice d'un forum politique sur internet."
Kiné femme la sachant sans emploi:"OUi c'est bien ça, c'est mieux que de rester comme ça les bras ballants sans rien faire."

J'ajoute que ces comportements "micro-agressifs" entre femmes me semblent plutôt récents. Ma grand'mère n'aurait jamais parlé comme cela.

https://twitter.com/uni_lyon/status/1656321433205710848

Au secours Thaïs !!!!
Arte qui nous fait de la propagande gauchiste....

https://www.youtube.com/watch?v=_xOXsSj6cwc

Comment ça "not available", et mon  oeil ?
Mais si, cette vidéo is still available, je l'ai vue hier sur youtube !

Un podcast intelligent à propos d'un docu de propagande féministe sur Arte :

https://www.youtube.com/watch?v=6tL4mrUkuFc

Le blog de "Femme à part" est plein de ces podcasts intelligents, lucides, et qui font du bien à la femme de base....réhabilitant nos mères, grand'mères, tantes, nourrices, toutes les femmes qui depuis la nuit des temos font ce travail si décrié aujourd'hui par les démolisseurs de la famille !
Comme l'auteur , Thérèse, m'ôte les mots de la bouche, je vous laisse découvrir.

Florence67 a écrit:Mais si, cette vidéo is still available, je l'ai vue hier sur youtube !

Elle a été censurée, tout simplement... comme 3/4 des vidéos YouTube postées sur ce forum...