par Caton l'Ancien Ven 18 Oct 2024, 09:17
Ce fil est décidément fort instructif.
Bravo pour les descriptions des personnages, si Balzac était là, il vous les emprunterait pour écrire un livre.
Miss, ça fait bien 15 ans que vous venez sur ce forum, mais on dirait que vous êtes totalement imperméable à toute argumentation logique cohérente.
A fort peu de chose près, vous campez sur les mêmes positions, de sorte qu'adolescente et jeune adulte, vos certitudes restent inébranlables. On a beau vous en démontrer l'illogisme, rien n'y fait, vous revenez toujours sur le même discours.
Vous faites une fixation sur UNE catégorie sociale, qui, c'est indéniable, correspond à celle de votre famille proche : vos parents, votre oncle.
Ce sont objectivement vos bienfaiteurs, et - sauf si vous avez omis quelque chose - ils ont tous montré une très grande bienveillance à votre égard. Une bienveillance excessive, selon moi. La récompense qu'ils en reçoivent -sauf élément inconnu -- me paraît prévisible d'avance.
Vous reportez sur UNE unique catégorie de la société une aversion créée par généralisation d'un cas personnel. Elle est invalide, car restreinte, limitée, bornée à UNE catégorie, et qu'elle omet tout le reste du tissu social.
Vous en voulez à la classe moyenne supérieure, mais vous ignorez délibérément les classes qui sont au-dessus, et pour qui cette classe moyenne supérieure est composée de minables ridicules.
Hormis qu'ils votent majoritairement comme des cruches, ce qui est bien assez grave, on ne peut leur reprocher les turpitudes, les bassesses, les violences, les cruautés, des classes supérieures supérieures...
Votre hargne en retour à la bienveillance de vos parents, de votre oncle, suscite de grandes interrogations.
Sans parler de votre grand-mère, qui avait pour vous une affection que vous lui rendiez. Je ne cesse de me demander comment sa bonté a pu avoir aussi peu d'effet sur votre comportement, hormis votre aimable caractère.
Je m'interroge sur les causes de ce phénomène mental.
Seule une expérience peut-être dramatique, mais pas forcément violente, me semble susceptible d'avoir créé ce blocage absurde.
Peut-être même seulement quelque querelle en cours préparatoire, ou au collège.
Voire - psychologie de fond de cuisine - la conscience inavouée que les théories pédagogiques de vos parents, dont ils étaient selon moi les victimes, étaient de nature à freiner vos capacités personnelles, vous irrite.
A force de jouer à l'imbécile parce que vos parents trouvaient ça charmant et drôle, vous vous êtes enferrée dans ce rôle, qu'au fond, vous n'aimez pas vraiment.
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