L'une des activités en vogue de ces temps ultimes est de faire des prophéties, et le fait est que de nombreuses personnes semblent s'y intéresser.
Dans cette série de trois articles, je vais donc vous présenter comment nos grandes villes pourraient se désintégrer, et les citoyens, prendre les choses en mains, devant l'impuissance de la police à contrôler la situation.
Les villes européennes pourraient-elles véritablement sombrer dans la violence ? De telles situations ne sont pas nouvelles, et il n'existe aucune raison pour que les pays développés soient immunisés contre l'humanité dans ce qu'elle a de plus vil, bien au contraire. Pour preuve, depuis la fin des années 70, la France n'a cessé de connaître des violences urbaines, avec de nouveaux affrontements chaque année de plus en plus violents.
Tout cela est déjà arrivé et arrivera de nouveau, l'être humain répétant sans cesse les mêmes erreurs, en dépit du siècle et de la génération d'hommes qui sont aux commandes. Mais la prochaine fois que des émeutes à grande échelle se produiront, il est probable qu'une surenchère soit rapidement atteinte du fait d'une nouvelle vulnérabilité : on estime que le foyer occidental moyen possède moins de deux semaines de stock de nourriture. Et dans les zones les plus défavorisées, peut-être encore moins...
Que faire si une crise économique, même temporaire, conduit des millions de transferts électroniques par cartes bancaires à rien d'autre qu'un signe "Erreur" clignotant sur le terminal ? Cela pourrait aussi être le résultat d'un sabotage délibéré par des hackers, ou d'autres défaillances techniques du système. Le gouvernement pourrait aussi gonfler les comptes de chiffres sans fin, dans une tentative désespérée de dépasser l'hyperinflation à venir. Il pourrait toujours ordonner aux supermarchés d'honorer les cartes, et même établir un contrôle des prix, mais le verdict de l'histoire est sans appel : Si les fournisseurs sont payés uniquement en écritures sans valeur ou en monnaie de singe, l'approvisionnement s'arrêtera.
1° ETAPE : LE PILLAGE ÉCLAIR
Dans ce scénario, l'émeute initiale éclate spontanément à travers les zones sensibles, tandis que les bénéficiaires des RSA et autres prestations sociales apprennent que leurs indemnités ne peuvent plus être perçues. Cette révélation soudaine entraîne une colère généralisée, qui va rapidement se concrétiser par un pillage éclair des supermarchés et autres commerces locaux. Les médias présenteront ces "émeutes de la faim" comme en partie justifiées, car le fait est que des millions de français ont été rendus largement ou totalement dépendants des largesses du gouvernement pour mettre à manger sur leur table.
Un nouveau contrat social a été créé, où le pain et les jeux achètent une certaine paix sociale dans nos banlieues et autres zones à forte population immigrée. À l'ère de la télévision par câble omniprésente sur grand écran, de l'Internet et des téléphones intelligents, la part de l'équation qui est occupée par le cirque n'est jamais remise en cause aussi longtemps que l'électricité circule. Mais le pain reste un problème. La nourriture doit être livrée comme au bon vieux temps : physiquement. Toute perturbation dans le fonctionnement normal du système d'aides sociales mènera à des émeutes à une vitesse étonnante.
Cela va inévitablement se produire lorsque notre insoutenable gabegie alimentée par la dette va finalement se terminer. Et c'est à cet instant que la musique va s'arrêter. Maintenant que la fourniture de nourriture gratuite ou fortement subventionnée est perçue par des millions de français comme un droit fondamental, une rupture brutale d'approvisionnement va provoquer une explosion de rage immédiate. Malheureusement, cette violence initiale ne sera que le début d'une dangereuse escalade...
Une fois dévalisés, les supermarchés, magasins, guichets automatiques et stations d'essence ne seront pas réapprovisionnés pour des raisons évidentes liées au manque de sécurité. Un seul camion chargé de nourriture ou d'essence serait perçu comme un Fort Knox sur roues et soumis à une attaque immédiate, à moins d'être fortement protégé par des forces de sécurité puissamment armées. Mais de telles forces ne seront pas disponibles durant cette période chaotique. Dans ces conditions, le ravitaillement des zones urbaines ne pourra pas se faire et ne se fera pas. La spirale descendante de dysfonctionnement social et économique va donc à la fois s'accélérer et se propager de ville en ville. Ces retards conduiront à leur tour à plus de pillages, avec la demande sous-jacente constante des personnes souffrant de la faim qu'elles soient nourries, d'une façon ou d'une autre.
Lorsque ces demandes n'aboutiront pas, les participants feront monter la violence, dans l'espoir de forcer l'action des instances gouvernementales régionales et nationales.
Ces pillages constitueront un mouvement populaire spontané issu de la faim et du désespoir. Ils ne seront pas dépendants de dirigeants ou d'organisations sous-jacentes, bien qu'une telle éventualité ne soit pas à exclure et ajoute à la sauce. La technologie existante de la téléphonie portable fournit toute l'organisation dont les pillards ont besoin. Le gros de la foule sera constitué de jeunes (et moins jeunes) des banlieues et autres zoos. Nous appellerons ceux-ci les CPF, pour reprendre le terme pondu par l'un de nos abrutis d'énarques. Savoir de quelle minorité il s'agit n'est pas très important, tant le choix des tribus est vaste dans notre pays ; chaque zone urbaine participera de sa propre dynamique pluriethnique.
Certaines zones pourraient se diviser selon des lignes raciales ou religieuses. Dans le premier cas, parce qu'il n'est pas besoin de vérifier l'appartenance religieuse ou politique à une centaine de mètres quand l'autre est d'une couleur différente. Dans le second, parce que l'islam est en passe de représenter le tiers de la population française...
2° ETAPE : LES ÉMEUTES SPONTANÉES
Afin de mettre en évidence leurs revendications et accentuer leur pression pour une reprise immédiate des prestations sociales, les CPF vont ensuite déplacer leurs activités aux frontières de leurs enclaves ethniques ou sociales. Ils se concentreront sur les principaux carrefours et intersections que les banlieusards doivent emprunter au quotidien pour aller à leur travail et en revenir. Les gens qui ont encore un emploi n'auront pas d'autre choix que celui d'utiliser les routes pour arriver là où ils gagnent leur pain quotidien.
Le résultat de ces affrontements ressemblera à l'intersection de Florence et Normandie pendant les émeutes de Rodney King (Californie -1992), où un chauffeur avait été tiré de la cabine de son camion et battu presque à mort avec un bloc de ciment. Imaginez maintenant cette scène avec les "accélérateurs d'émeutes" que sont les textos et autres technologies de médias sociaux : Au lieu de quelques dizaines de voyous terrorisant les intersections en embuscade, ce seront des centaines qui émergeront en quelques minutes...
Les émeutiers vont entasser des caddies, pneus et poubelles, obligeant les conducteurs les plus timorés à ralentir ou s'arrêter. Les foules vont se ruer sur les files de voitures prises dans l'étau, une fois qu'elles les auront stoppées. La circulation sera bloquée dans toutes les directions. Les conducteurs et passagers qui n'auront pas la bonne couleur de peau ou qui portent la croix seront tirés de leurs véhicules pour être battus, volés, voire violés et/ou tués. On verra alors des comportements de foule hyper-violents et ouvertement racistes, massifs et incontestables.
Certains de ceux qui sont piégés dans leurs voitures vont essayer de forcer le passage, heurtant inévitablement les CPF qui sont à pieds, avant d'être rattrapés par d'autres chimpanzés encore plus indignés pour le coup. Les récalcitrants seront traînés hors de leurs véhicules et battus à mort à coups de pied.
La foule aura entre les mains toute sorte d'armes : couteaux, battes en bois, barres de fer, et pourquoi pas quelques bons vieux AK-47 parmi les quinze milles qui dorment en France. Ce sera un bain de sang. Les conducteurs malchanceux et leurs passagers vont souffrir horriblement, et la mort de certains sera filmée en direct par les caméras de surveillance du trafic. Plus tard, ces scènes terribles seront dévoilées par quelque agents publics ralliés à la dissidence et montrées sur les médias alternatifs, qui continueront de s'étendre tandis que les médias traditionnels deviennent de plus en plus inutiles et soumis.
Invraisemblable, me direz-vous ?
Ce sombre tableau est issu de mon analyse des comportements humains séculaires, à laquelle s'ajoute celle des multiples démonstrations raciales et ethniques qui parviennent encore à filtrer dans notre actualité. Les jeux quotidiens de nos jeunes CPF sont désormais les bastons sur innocents et les tournantes, juste pour le plaisir, qu'ils enregistrent fièrement en vidéo. On peut s'attendre à ce qu'eux et leurs pairs plus âgés fassent bien pire lorsque la faim et la crainte de la famine entreront dans leur équation physique, mentale et émotionnelle. La faute reviendra bien entendu à la société, et évacuée en premier lieu sur tout pauvre non CPF qui tombera entre leurs mains, tandis qu'ils seront sous l'emprise de l'hystérie collective.
Dans cette série de trois articles, je vais donc vous présenter comment nos grandes villes pourraient se désintégrer, et les citoyens, prendre les choses en mains, devant l'impuissance de la police à contrôler la situation.
Les villes européennes pourraient-elles véritablement sombrer dans la violence ? De telles situations ne sont pas nouvelles, et il n'existe aucune raison pour que les pays développés soient immunisés contre l'humanité dans ce qu'elle a de plus vil, bien au contraire. Pour preuve, depuis la fin des années 70, la France n'a cessé de connaître des violences urbaines, avec de nouveaux affrontements chaque année de plus en plus violents.
Tout cela est déjà arrivé et arrivera de nouveau, l'être humain répétant sans cesse les mêmes erreurs, en dépit du siècle et de la génération d'hommes qui sont aux commandes. Mais la prochaine fois que des émeutes à grande échelle se produiront, il est probable qu'une surenchère soit rapidement atteinte du fait d'une nouvelle vulnérabilité : on estime que le foyer occidental moyen possède moins de deux semaines de stock de nourriture. Et dans les zones les plus défavorisées, peut-être encore moins...
Que faire si une crise économique, même temporaire, conduit des millions de transferts électroniques par cartes bancaires à rien d'autre qu'un signe "Erreur" clignotant sur le terminal ? Cela pourrait aussi être le résultat d'un sabotage délibéré par des hackers, ou d'autres défaillances techniques du système. Le gouvernement pourrait aussi gonfler les comptes de chiffres sans fin, dans une tentative désespérée de dépasser l'hyperinflation à venir. Il pourrait toujours ordonner aux supermarchés d'honorer les cartes, et même établir un contrôle des prix, mais le verdict de l'histoire est sans appel : Si les fournisseurs sont payés uniquement en écritures sans valeur ou en monnaie de singe, l'approvisionnement s'arrêtera.
1° ETAPE : LE PILLAGE ÉCLAIR
Dans ce scénario, l'émeute initiale éclate spontanément à travers les zones sensibles, tandis que les bénéficiaires des RSA et autres prestations sociales apprennent que leurs indemnités ne peuvent plus être perçues. Cette révélation soudaine entraîne une colère généralisée, qui va rapidement se concrétiser par un pillage éclair des supermarchés et autres commerces locaux. Les médias présenteront ces "émeutes de la faim" comme en partie justifiées, car le fait est que des millions de français ont été rendus largement ou totalement dépendants des largesses du gouvernement pour mettre à manger sur leur table.
Un nouveau contrat social a été créé, où le pain et les jeux achètent une certaine paix sociale dans nos banlieues et autres zones à forte population immigrée. À l'ère de la télévision par câble omniprésente sur grand écran, de l'Internet et des téléphones intelligents, la part de l'équation qui est occupée par le cirque n'est jamais remise en cause aussi longtemps que l'électricité circule. Mais le pain reste un problème. La nourriture doit être livrée comme au bon vieux temps : physiquement. Toute perturbation dans le fonctionnement normal du système d'aides sociales mènera à des émeutes à une vitesse étonnante.
Cela va inévitablement se produire lorsque notre insoutenable gabegie alimentée par la dette va finalement se terminer. Et c'est à cet instant que la musique va s'arrêter. Maintenant que la fourniture de nourriture gratuite ou fortement subventionnée est perçue par des millions de français comme un droit fondamental, une rupture brutale d'approvisionnement va provoquer une explosion de rage immédiate. Malheureusement, cette violence initiale ne sera que le début d'une dangereuse escalade...
Une fois dévalisés, les supermarchés, magasins, guichets automatiques et stations d'essence ne seront pas réapprovisionnés pour des raisons évidentes liées au manque de sécurité. Un seul camion chargé de nourriture ou d'essence serait perçu comme un Fort Knox sur roues et soumis à une attaque immédiate, à moins d'être fortement protégé par des forces de sécurité puissamment armées. Mais de telles forces ne seront pas disponibles durant cette période chaotique. Dans ces conditions, le ravitaillement des zones urbaines ne pourra pas se faire et ne se fera pas. La spirale descendante de dysfonctionnement social et économique va donc à la fois s'accélérer et se propager de ville en ville. Ces retards conduiront à leur tour à plus de pillages, avec la demande sous-jacente constante des personnes souffrant de la faim qu'elles soient nourries, d'une façon ou d'une autre.
Lorsque ces demandes n'aboutiront pas, les participants feront monter la violence, dans l'espoir de forcer l'action des instances gouvernementales régionales et nationales.
Ces pillages constitueront un mouvement populaire spontané issu de la faim et du désespoir. Ils ne seront pas dépendants de dirigeants ou d'organisations sous-jacentes, bien qu'une telle éventualité ne soit pas à exclure et ajoute à la sauce. La technologie existante de la téléphonie portable fournit toute l'organisation dont les pillards ont besoin. Le gros de la foule sera constitué de jeunes (et moins jeunes) des banlieues et autres zoos. Nous appellerons ceux-ci les CPF, pour reprendre le terme pondu par l'un de nos abrutis d'énarques. Savoir de quelle minorité il s'agit n'est pas très important, tant le choix des tribus est vaste dans notre pays ; chaque zone urbaine participera de sa propre dynamique pluriethnique.
Certaines zones pourraient se diviser selon des lignes raciales ou religieuses. Dans le premier cas, parce qu'il n'est pas besoin de vérifier l'appartenance religieuse ou politique à une centaine de mètres quand l'autre est d'une couleur différente. Dans le second, parce que l'islam est en passe de représenter le tiers de la population française...
2° ETAPE : LES ÉMEUTES SPONTANÉES
Afin de mettre en évidence leurs revendications et accentuer leur pression pour une reprise immédiate des prestations sociales, les CPF vont ensuite déplacer leurs activités aux frontières de leurs enclaves ethniques ou sociales. Ils se concentreront sur les principaux carrefours et intersections que les banlieusards doivent emprunter au quotidien pour aller à leur travail et en revenir. Les gens qui ont encore un emploi n'auront pas d'autre choix que celui d'utiliser les routes pour arriver là où ils gagnent leur pain quotidien.
Le résultat de ces affrontements ressemblera à l'intersection de Florence et Normandie pendant les émeutes de Rodney King (Californie -1992), où un chauffeur avait été tiré de la cabine de son camion et battu presque à mort avec un bloc de ciment. Imaginez maintenant cette scène avec les "accélérateurs d'émeutes" que sont les textos et autres technologies de médias sociaux : Au lieu de quelques dizaines de voyous terrorisant les intersections en embuscade, ce seront des centaines qui émergeront en quelques minutes...
Les émeutiers vont entasser des caddies, pneus et poubelles, obligeant les conducteurs les plus timorés à ralentir ou s'arrêter. Les foules vont se ruer sur les files de voitures prises dans l'étau, une fois qu'elles les auront stoppées. La circulation sera bloquée dans toutes les directions. Les conducteurs et passagers qui n'auront pas la bonne couleur de peau ou qui portent la croix seront tirés de leurs véhicules pour être battus, volés, voire violés et/ou tués. On verra alors des comportements de foule hyper-violents et ouvertement racistes, massifs et incontestables.
Certains de ceux qui sont piégés dans leurs voitures vont essayer de forcer le passage, heurtant inévitablement les CPF qui sont à pieds, avant d'être rattrapés par d'autres chimpanzés encore plus indignés pour le coup. Les récalcitrants seront traînés hors de leurs véhicules et battus à mort à coups de pied.
La foule aura entre les mains toute sorte d'armes : couteaux, battes en bois, barres de fer, et pourquoi pas quelques bons vieux AK-47 parmi les quinze milles qui dorment en France. Ce sera un bain de sang. Les conducteurs malchanceux et leurs passagers vont souffrir horriblement, et la mort de certains sera filmée en direct par les caméras de surveillance du trafic. Plus tard, ces scènes terribles seront dévoilées par quelque agents publics ralliés à la dissidence et montrées sur les médias alternatifs, qui continueront de s'étendre tandis que les médias traditionnels deviennent de plus en plus inutiles et soumis.
Invraisemblable, me direz-vous ?
Ce sombre tableau est issu de mon analyse des comportements humains séculaires, à laquelle s'ajoute celle des multiples démonstrations raciales et ethniques qui parviennent encore à filtrer dans notre actualité. Les jeux quotidiens de nos jeunes CPF sont désormais les bastons sur innocents et les tournantes, juste pour le plaisir, qu'ils enregistrent fièrement en vidéo. On peut s'attendre à ce qu'eux et leurs pairs plus âgés fassent bien pire lorsque la faim et la crainte de la famine entreront dans leur équation physique, mentale et émotionnelle. La faute reviendra bien entendu à la société, et évacuée en premier lieu sur tout pauvre non CPF qui tombera entre leurs mains, tandis qu'ils seront sous l'emprise de l'hystérie collective.
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