by Des Ekin (Author)
Mourad rais, de son vrai nom Jan Janszon van Harleem, un Hollandais capturé par les Algériens en 1618 aux îles Canaries s'est converti à l'islam et a servi la Résidence d'Alger.
Il est devenu un redoutable pirate.
Le 20 juin 1631, il s'empare de la ville irlandaise de Baltimore près de Cork et emmène 109 esclaves à Alger.
Quelques jours plus tard il remonta avec 15 bateaux en Islande où il captura plus de 400 esclaves danois islandais emmenés à Alger après 27 jours de bateau.
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Christian Slaves,Muslim Masters: White Slavery in the Mediterranean,the Barbary Coast,and Italy,1500-1800 (Paperback)
by Robert C. Davis (Author)
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Des esclaves anglais aux mains des Barbaresques
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La terreur islamique commença dans les îles britanniques lors du « terrible été de 1625 » quand des corsaires esclavagistes nord-africains envahirent et dévastèrent les côtes sud de l’Angleterre, et hissèrent même pendant un bref instant l’étendard de bataille vert de l’islam sur le territoire anglais, un étendard sur lequel était inscrite la terrible promesse : « Les portes du Paradis sont à l’ombre des épées ».
Sur les côtes de Cornouailles, du Devon, du Dorset et d’Irlande du Sud, les corsaires islamiques tuèrent et pillèrent des villages entiers pour les vendre comme esclaves dans l’empire islamique d’Orient.
En 1625, les marchands d’esclaves retournèrent ensuite à Alger – dans ce seul raid – avec un millier d’hommes, de femmes et d’enfants britanniques à vendre comme esclaves. Au total, les pirates islamiques nord-africains enlevèrent et réduisirent en esclavage 1,3 million d’Européens blancs entre 1530 et 1780 dans une série de raids qui dépeuplèrent les villes côtières, de la Sicile à la Cornouaille.
Pour que la population esclave reste stable, environ un quart devait être remplacé chaque année, ce qui pour la période de 1580 à 1680 signifiait environ 8.500 nouveaux esclaves par an, arrivant à un total de 850.000 esclaves. La même méthodologie suggère que 475.000 furent enlevés dans les siècles précédant et suivant. De 1500 à 1650, quand l’esclavage transatlantique était encore à ses débuts, il y eut probablement plus d’esclaves chrétiens blancs emmenés chez les Barbaresques que d’esclaves africains noirs aux Amériques.
D’après une estimation, 7.000 Anglais furent enlevés entre 1622 et 1644, beaucoup d’entre eux étant des équipages et des passagers de bateaux qui furent interceptés et capturés par des marchands d’esclaves.
L’impact de ces attaques sur les nations européennes attaquées par les pirates meurtriers fut dévastateur – la France, l’Angleterre et l’Espagne perdirent chacune des milliers de bateaux, et de longues étendues des côtes espagnoles et italiennes furent presque complètement dépeuplées et abandonnées par leurs habitants. A leur apogée, la destruction et le dépeuplement de certaines régions européennes excédèrent probablement ce que les esclavagistes européens infligeront plus tard à l’intérieur africain quand les esclavagistes africains vendront leurs compagnons noirs aux esclavagistes européens. A cette époque, l’Europe vivait dans la peur de l’islam.
Bien que les centaines de milliers d’esclaves chrétiens furent principalement enlevés dans les pays méditerranéens, les effets des raids esclavagistes musulmans furent ressentis beaucoup plus loin et durant la plus grande partie du XVIIe siècle l’Angleterre perdit au moins 400 marins par an du fait des marchands d’esclaves islamiques.
Les Américains ne furent pas épargnés. Par exemple, un esclave américain raconta que 130 autres Américains avaient été réduits en esclavage par les Algériens en Méditerranée et dans l’Atlantique rien qu’entre 1785 et 1793.
Mais les corsaires n’interceptaient pas seulement les navires au milieu de l’océan ; ils débarquaient aussi sur les plages non gardées, souvent de nuit, pour s’emparer des villageois endormis. Cela se passa dans des parties de la Cornouaille et presque tous les habitants du village de Baltimore, en Irlande, furent capturés en 1631, et il y eut d’autres raids dans le Devon. L’une des plus riches épaves au trésor trouvées au large de l’Angleterre – à Salcombe, Devon – était un bateau barbaresque du XVIe siècle en route pour capturer des esclaves.
Un certain révérend Devereux Spratt rapporta avoir été capturé par des « Algérians » alors qu’il traversait la mer d’Irlande de Cork vers l’Angleterre en avril 1641, et en 1661 Samuel Pepys écrivit sur deux hommes, le capitaine Mootham et Mr. Dawes, qui avaient aussi été enlevés.
Les milliers de chrétiens blancs qui étaient capturés chaque année devaient travailler comme esclaves sexuels, galériens, travailleurs et concubins des seigneurs musulmans dans ce qui est aujourd’hui le Maroc, la Tunisie, l’Algérie et la Libye.
Ce furent en fait des esclaves anglais qui furent forcés de construire les palais de Meknès pour le tyran marocain, Moulay Ismail, au début du XVIIIe siècle. Dépassant Versailles en taille et en splendeur, ils furent construits par des esclaves chrétiens, par un souverain qui se glorifiait de son pouvoir absolu. Par exemple, il traitait le roi d’Angleterre de faiblard pitoyable, puisque celui-ci permettait à un parlement de limiter son autorité.
Le cauchemar ne cessa qu’en 1816, quand la Royal Navy obligea par la force le port d’Alger à la soumission et imposa la cessation de la vente d’esclaves chrétiens dans le Maghreb, une action inspirée par Sir Sidney Smith et sa « Société des Chevaliers Libérateurs des Esclaves Blancs d’Afrique ».
Le bombardement d’Alger pour libérer les esclaves blancs eut lieu le 27 août 1816, quand une flotte anglo-hollandaise sous le commandement de l’amiral Lord Exmouth bombarda les bateaux et les défenses portuaires d’Alger.
Bien qu’il y eut une campagne continue de diverses marines européennes et de la marine américaine pour supprimer la piraterie contre les Européens de la part des Etats barbaresques nord-africains, le but spécifique de cette expédition était de libérer les esclaves chrétiens et de stopper la pratique de l’esclavage contre les Européens. Cette fin fut partiellement atteinte quand le Dey d’Alger libéra un millier d’esclaves après le bombardement et signa un traité contre l’esclavage des Européens.
Pourtant, si l’on fait des recherches sur la bataille d’Alger en 1816 et les raisons se trouvant derrière l’attaque, on découvre que la bataille elle-même semble avoir été évacuée de l’histoire.
Une exposition actuellement tenue à Leicester, nommée « Passé et présent : 1.000 ans d’islam en Angleterre » au New Walk Museum de Leicester, jusqu’au 23 décembre et lancée durant la récente Semaine de la Conscience Islamique, fait un grand effort pour révéler la « vérité acceptable » concernant l’histoire de l’islam en Angleterre, mais bien sûr l’exposition ne fait aucune mention du million d’Européens blancs qui furent réduits en esclavage par les marchands d’esclaves islamiques. Bien sûr, cet esclavagisme est considéré aujourd’hui comme un « enrichissement culturel ».
Nous suggérons que ceux qui ressentent l’évacuation hors de l’histoire de l’enlèvement raciste et génocidaire d’un million d’Européens blancs par les marchands d’esclaves arabiques comme un acte de trahison envers notre peuple et envers ses souffrances envoient des mails ou téléphonent aux gens cités plus loin et demandent pourquoi l’histoire de l’islam en Grande-Bretagne n’inclut pas le rôle des esclavagistes islamiques. Nous savons tous que la véritable raison de l’exposition du musée est d’emmener les jeunes enfants voir l’exposition et de leur faire un lavage de cerveau pour qu’ils pensent de l’islam ce que le gouvernement souhaite qu’ils en pensent. De même que les jeunes enfants étaient endoctrinés en Russie soviétique, et le sont encore de nos jours en Corée du Nord, pour qu’ils considèrent comme la vérité uniquement ce que le gouvernement décrète qu’elle est, ainsi c’est la version du New Labour de l’endoctrinement des enfants.
Combattre l’« ignorance »
La propagande du Museum dit elle-même : « Les médias occidentaux ont utilisé toutes les opportunités pour soumettre l’islam et les musulmans à un examen minutieux, les décrivant souvent d’une manière désobligeante, ce qui a inévitablement conduit à l’ignorance massive sur la vraie signification de la religion. Loin d’être une réserve de ‘fanatiques et de terroristes’, l’islam fait partie intégrante de nombreuses communautés en Grande-Bretagne, amenant souvent des relations harmonieuses entre les musulmans et les non-musulmans. L’exposition au New Walk Museum à Leicester amène à la lumière la longue histoire de l’islam dans la ville. Les organisateurs de cette exposition incluent des organismes islamiques nationaux, comme la Société Islamique de Grande-Bretagne, le Groupe de Jeunesse Musulman et la Fondation Islamique ».
Elle a même le culot de déclarer : « Ces organisations fournissent des vues inestimables sur l’islam, combattant l’ignorance massive – ce qui est plus que nécessaire dans le climat politique et social turbulent d’aujourd’hui ».
Journée nationale de mémoire
L’intention du BNP est d’en faire une journée nationale de mémoire pour commémorer le génocide des Britanniques blancs asservis par les marchands d’esclaves islamiques, et pour que soit érigée à Trafalgar Square une statue de Sir Sidney Smith et de sa « Société des Chevaliers Libérateurs des Esclaves Blancs d’Afrique » qui combattit longtemps et durement pour obtenir la libération des esclaves blancs capturés par les esclavagistes islamiques.
Pour les 1 ou 1,3 million d’esclaves enlevés d’Europe par les marchands d’esclaves islamiques, le BNP a aussi l’intention de demander des réparations à des pays comme le Maroc, la Tunisie, l’Algérie et la riche Libye. Nous estimons que le gouvernement britannique doit recevoir plus de dix milliards de livres de dommages et intérêts pour les souffrances et le meurtre de nos gens.
Le 27 août chaque année, à partir de 2006, le BNP décernera un prix aux personnes qui auront fait le plus pour faire connaître les questions concernant l’expansion islamique en Occident. Ce Prix sera appelé le Prix Sidney Smith.
Informations sur le musée :
Lundi-samedi de 10h à 17h.
Dimanche de 11h à 17h.
Entrée libre.
Fermé les 24, 25, 26, 31 et 1er janvier.
New Walk Museum and Art Gallery
53 New Walk,
Leicester,
LE1 7EA
Tel: 0116 225 4900
Source : BNP
Article publié sur www.nationalvanguard.org
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