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Cet extrait audio du 2 janvier 2009 sur Europe1 condense et concentre en quelques minutes tout ce qu’il est nécessaire de savoir sur :
1°) les mensonges statistiques sur l’immigration,
2°) le traitement “médiatique” de l’immigration,
3°) la pensée unique sur l’immigration.
Écoutez:
https://www.youtube.com/v/tpKqO4XQjXs
Analyse:
L’Insee avance des chiffres officiels totalement fantaisistes. Des “estimations” qui peuvent subitement passer du simple au double sur une période donnée à la suite de “compensations” ou “d’ajustements”. Des corrections “d’erreurs dont on ne connait pas l’origine”.
Exemple : sur la période des années 90, le chiffre antérieur officiel de 50.000 immigrés par an est passé, toujours officiellement à 100.000 par an. “Et sans doute dans quelques années on reconnaitra qu’il s’agissait de 150.000 ou 200.000″.
Sur la croissance démographique prétendument “française”, le constat est simple : «Le niveau de fécondité le plus élevé en France, il est en Seine-Saint-Denis».
Notez le degré de refoulement de l’animateur : “le débat sur les statistiques heu… «ethniques». (…) Des chiffres qui puissent établir heuuuuuuuuu… des origines, éventuellement, ethniques”. “Vous brisez un tabou là dans votre article…“.
Soupirs, étouffements contenus, hésitations… Le journaliste cherche manifestement ses mots, les choisit avec soin. Il prononce le mot “ethnique” comme un mot honteux, sale, un concept dégoutant.
En réponse à la phrase Michel Godet :“Sur 5 millions d’immigrés, 2 millions ont la nationalité française”, le présentateur se précipite :“Ils sont Français !”
Quand le démographe de service annonce les chiffres de 40 à 45% de naissances immigrées en Ile de France, le journaliste intervient de nouveau : «Imaginez vous que ce vous venez de dire à pu choquer une partie de ceux qui nous écoutent ?». Choquer… A cause du nombre renversant d’immigrés qui squattent le territoire?
Non, non. Choquer parce qu’on pourrait vouloir “les compter, les distinguer, alors que ce sont heu… des Français… heu… comme… heu… comme nous ?»
Touche finale : à l’issue du mini débat sur les statistiques, le journaliste, toujours traumatisé d’avoir posé la dégoutante question du comptage ethnique, revient enfoncer le clou : “Donc il s’agit de les compter non pas pour les discriminer mais pour mieux les intégrer. C’est votre discours ?”.
Si vous aviez cru un jour que Michel Godet pouvait être légèrement "déviant", cet extrait est un festival de bien-pensance:
Godet pratique — peut-être même sans s’en rendre compte — un double discours totalement contradictoire. Il présente tout d’abord l’immigration comme une chance fabuleuse :
“Ceux qui migrent sont des gens plus dynamiques, entreprenants, qui ont envie de s’en sortir, c’est l’histoire qui nous l’enseigne, et qui accroissent la diversité. Et ceci est positif à condition qu’on arrive à les éduquer.”
Mais quelques phrases plus tard, les immigrés doivent être sur-aidés, car ils sont “au chomage” et “concentrent les handicaps”.
Voila pour les personnes “dynamiques et entreprenantes”…
80% d’enfants «non-francophones» dans les classes, c’est aussi un problème pour Michel Godet. Un problème d’immigration ? Non, un problème de discrimination. «Il faudrait les aider à être dans des meilleurs condition d’intégration et de promotion. (…) Pour leur donner une meilleure égalité des chances.»
Godet revient à la fin de cet extrait sur les “inévitables et souhaitables flux migratoires”.
______________
Au final, chiffre “officiel” [donc à revoir à la hausse] : 25% des naissances en France et 45% des naissances en région parisienne sont dues aux immigrés en 2009.
Quoiqu'en disent les expert, la seule chose qui ne mente pas, c’est ce qui est visible dans la rue et dans le métro!
1°) les mensonges statistiques sur l’immigration,
2°) le traitement “médiatique” de l’immigration,
3°) la pensée unique sur l’immigration.
Écoutez:
https://www.youtube.com/v/tpKqO4XQjXs
Analyse:
L’Insee avance des chiffres officiels totalement fantaisistes. Des “estimations” qui peuvent subitement passer du simple au double sur une période donnée à la suite de “compensations” ou “d’ajustements”. Des corrections “d’erreurs dont on ne connait pas l’origine”.
Exemple : sur la période des années 90, le chiffre antérieur officiel de 50.000 immigrés par an est passé, toujours officiellement à 100.000 par an. “Et sans doute dans quelques années on reconnaitra qu’il s’agissait de 150.000 ou 200.000″.
Sur la croissance démographique prétendument “française”, le constat est simple : «Le niveau de fécondité le plus élevé en France, il est en Seine-Saint-Denis».
Notez le degré de refoulement de l’animateur : “le débat sur les statistiques heu… «ethniques». (…) Des chiffres qui puissent établir heuuuuuuuuu… des origines, éventuellement, ethniques”. “Vous brisez un tabou là dans votre article…“.
Soupirs, étouffements contenus, hésitations… Le journaliste cherche manifestement ses mots, les choisit avec soin. Il prononce le mot “ethnique” comme un mot honteux, sale, un concept dégoutant.
En réponse à la phrase Michel Godet :“Sur 5 millions d’immigrés, 2 millions ont la nationalité française”, le présentateur se précipite :“Ils sont Français !”
Quand le démographe de service annonce les chiffres de 40 à 45% de naissances immigrées en Ile de France, le journaliste intervient de nouveau : «Imaginez vous que ce vous venez de dire à pu choquer une partie de ceux qui nous écoutent ?». Choquer… A cause du nombre renversant d’immigrés qui squattent le territoire?
Non, non. Choquer parce qu’on pourrait vouloir “les compter, les distinguer, alors que ce sont heu… des Français… heu… comme… heu… comme nous ?»
Touche finale : à l’issue du mini débat sur les statistiques, le journaliste, toujours traumatisé d’avoir posé la dégoutante question du comptage ethnique, revient enfoncer le clou : “Donc il s’agit de les compter non pas pour les discriminer mais pour mieux les intégrer. C’est votre discours ?”.
Si vous aviez cru un jour que Michel Godet pouvait être légèrement "déviant", cet extrait est un festival de bien-pensance:
- «La France naturalise 140.000 immigrés par an. C’est un pays très accueillant, et je m’en réjouis».
- « Un autre chiffre non officiel : on recense les prénoms dans certains rectorats. 45% de prénoms d’origine immigrée. C’est une extraordinaire bonne nouvelle.»
Godet pratique — peut-être même sans s’en rendre compte — un double discours totalement contradictoire. Il présente tout d’abord l’immigration comme une chance fabuleuse :
“Ceux qui migrent sont des gens plus dynamiques, entreprenants, qui ont envie de s’en sortir, c’est l’histoire qui nous l’enseigne, et qui accroissent la diversité. Et ceci est positif à condition qu’on arrive à les éduquer.”
Mais quelques phrases plus tard, les immigrés doivent être sur-aidés, car ils sont “au chomage” et “concentrent les handicaps”.
Voila pour les personnes “dynamiques et entreprenantes”…
80% d’enfants «non-francophones» dans les classes, c’est aussi un problème pour Michel Godet. Un problème d’immigration ? Non, un problème de discrimination. «Il faudrait les aider à être dans des meilleurs condition d’intégration et de promotion. (…) Pour leur donner une meilleure égalité des chances.»
Godet revient à la fin de cet extrait sur les “inévitables et souhaitables flux migratoires”.
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Au final, chiffre “officiel” [donc à revoir à la hausse] : 25% des naissances en France et 45% des naissances en région parisienne sont dues aux immigrés en 2009.
Quoiqu'en disent les expert, la seule chose qui ne mente pas, c’est ce qui est visible dans la rue et dans le métro!
» Immigration: une richesse pour la France?
» RESISTANCE !!!!!
» Garçon? Une coupe de sentiment d'insécurité, avec une larme de crème de mûres à l'Armagnac, je vous prie.
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