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Un industriel généreux avec ses salariés
Source : AFP
06/09/2008
.
André Faller, créateur de la marque de lingerie Lou et du pantalon extensible Karting, décédé en juillet, a légué une partie de sa fortune à ses salariés, dont environ 300 devraient toucher plusieurs milliers d'euros chacun, a-t-on appris aujourd'hui auprès de Karting.
"M. Faller avait demandé une liste des salariés au service du personnel en 1993, quand il avait 81 ans", a raconté à l'AFP Jean-Claude Lemoine, dirigeant de la marque de prêt-à-porter Karting, basée à Echirolles (Isère), près de Grenoble.
"Il avait dit qu'il ferait quelque chose pour eux, mais tout le monde avait oublié, et ça a été un sacrée surprise", ajoute M. Lemoine, qui a racheté la société en 2003.
André Faller, décédé en juillet à 96 ans, et son épouse Lucienne, décédée en 2004, qui n'ont pas eu d'enfant, ont légué plusieurs centaines de milliers d'euros à leurs salariés, selon Le Dauphiné Libéré qui révèle les faits.
"Même après sa mort, il n'a pas oublié ses anciens salariés", s'est ému l'un d'eux, qui travaille depuis 20 ans chez Karting.
Il faudrait lui faire un monument à ce monsieur! Chapeau!
Source : AFP
06/09/2008
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André Faller, créateur de la marque de lingerie Lou et du pantalon extensible Karting, décédé en juillet, a légué une partie de sa fortune à ses salariés, dont environ 300 devraient toucher plusieurs milliers d'euros chacun, a-t-on appris aujourd'hui auprès de Karting.
"M. Faller avait demandé une liste des salariés au service du personnel en 1993, quand il avait 81 ans", a raconté à l'AFP Jean-Claude Lemoine, dirigeant de la marque de prêt-à-porter Karting, basée à Echirolles (Isère), près de Grenoble.
"Il avait dit qu'il ferait quelque chose pour eux, mais tout le monde avait oublié, et ça a été un sacrée surprise", ajoute M. Lemoine, qui a racheté la société en 2003.
André Faller, décédé en juillet à 96 ans, et son épouse Lucienne, décédée en 2004, qui n'ont pas eu d'enfant, ont légué plusieurs centaines de milliers d'euros à leurs salariés, selon Le Dauphiné Libéré qui révèle les faits.
"Même après sa mort, il n'a pas oublié ses anciens salariés", s'est ému l'un d'eux, qui travaille depuis 20 ans chez Karting.
Il faudrait lui faire un monument à ce monsieur! Chapeau!
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