http://www.latribunedelart.com/Patrimoine/Patrimoine_2007/Eglises_Detruites_516.htm
quand allons-nous réagir?
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philiberte a écrit:...d'églises:
http://www.latribunedelart.com/Patrimoine/Patrimoine_2007/Eglises_Detruites_516.htm
quand allons-nous réagir?
silence a écrit:philiberte a écrit:...d'églises:
http://www.latribunedelart.com/Patrimoine/Patrimoine_2007/Eglises_Detruites_516.htm
quand allons-nous réagir?
Quand vous irez à la messe tous les dimanches?
silence a écrit:Pour que les choses vivent, il faut les faire vivre.
Plus de chrétiens, plus d'églises.
Moins de catholiques plus de musulmans, l'équation est extrêmement simple.
On récolte ce que l’on sème, pas besoin de couper les cheveux en quatre et de se plaindre toute la journée.
Dieu est mort mais Allah est vivant.
Pas de pot!
http://www.latribunedelart.com/Patrimoine/Patrimoine_2006/Nouveaux_Vandales_601.htm[/quote[/url]]philiberte a écrit:silence a écrit:philiberte a écrit:...d'églises:
http://www.latribunedelart.com/Patrimoine/Patrimoine_2007/Eglises_Detruites_516.htm
quand allons-nous réagir?
Quand vous irez à la messe tous les dimanches?
qui vous dit que je n'y vais pas???
mais les châteaux???
[url=http://www.latribunedelart.com/Patrimoine/Patrimoine_2006/Nouveaux_Vandales_601.htm
silence a écrit:La messe n'attire plus grand monde, les églises disparaissent. Un cycle qui termine. Mais peut être serait-il mieux de donner d’autres usages à ces monuments…
Le problème, c'est que ces édifices nécessitent d'être entretenus et, comme ils sont la propriété de l'état, les villages n'ont pas les moyens de le faire ; comme il est dangereux de laisser un édifice qui se fragilise, il faut donc le "déconstruire". Seuls ceux qui sont classés ont des chances de résister.philiberte a écrit:...d'églises:
http://www.latribunedelart.com/Patrimoine/Patrimoine_2007/Eglises_Detruites_516.htm
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cilette a écrit:Le problème, c'est que ces édifices nécessitent d'être entretenus et, comme ils sont la propriété de l'état, les villages n'ont pas les moyens de le faire ; comme il est dangereux de laisser un édifice qui se fragilise, il faut donc le "déconstruire". Seuls ceux qui sont classés ont des chances de résister.philiberte a écrit:...d'églises:
http://www.latribunedelart.com/Patrimoine/Patrimoine_2007/Eglises_Detruites_516.htm
quand allons-nous réagir?
Il y a 50 ans, on construisait des églises dans les nouveaux quartiers de HLM et ces églises étaient pleines ; pleines le jour de la messe, mais aussi pleine pour les mariages, les communions et les baptêmes ; aujourd'hui elles ne se remplissent que le jour des enterrements.
Admettons, puisque nous avons été tellement couards, qu'aujourd'hui il faudra construire des mosquées (puisque les églises ne peuvent servir au culte musulman...) qui seront de plus en plus remplies par des ex-catholiques puisqu'on peut renier cette religion sans être menacé de mort.
Caton l'Ancien a écrit:La qualité de la messe est fonction de la qualité de l'officiant. Ce n'est pas facile de rivaliser avec Mitsahne...
J'ai moi aussi assisté à quelques messes d'enterrement depuis quelque temps, la dernière en février pour la mort d'un petit élève adorable de 12 ans.
Les propos tenus par les uns et par les autres prêtres et intervenants laïcs n'avaient rien de ridicule.
La mort n'est peut-être pas une invention "divine", mais le mort, comme vous dites si bien Mitsahne, s'en fout, et ce sont ceux qui restent qui sont dans la peine. Qu'aucune parole ne console, c'est certain. Pourtant tous ceux qui ont connu un deuil sont heureux de la présence des parents et amis qui viennent partager leur douleur, même sans la diminuer.
Et cette réunion avant le dernier adieu crée des liens entre ceux qui ont assisté à la cérémonie.
Mitsahne a écrit:Caton l'Ancien a écrit:La qualité de la messe est fonction de la qualité de l'officiant. Ce n'est pas facile de rivaliser avec Mitsahne...
J'ai moi aussi assisté à quelques messes d'enterrement depuis quelque temps, la dernière en février pour la mort d'un petit élève adorable de 12 ans.
Les propos tenus par les uns et par les autres prêtres et intervenants laïcs n'avaient rien de ridicule.
La mort n'est peut-être pas une invention "divine", mais le mort, comme vous dites si bien Mitsahne, s'en fout, et ce sont ceux qui restent qui sont dans la peine. Qu'aucune parole ne console, c'est certain. Pourtant tous ceux qui ont connu un deuil sont heureux de la présence des parents et amis qui viennent partager leur douleur, même sans la diminuer.
Et cette réunion avant le dernier adieu crée des liens entre ceux qui ont assisté à la cérémonie.
Je suis d'accord avec presque tout ce que vous dites, chère Caton, et c'est vrai que ceux qui restent sont plus importants que celui qui s'en va rejoindre les "indispensables".
J'en suis tellement convaincu que j'ai donné comme dernières instructions d'ordre testamentaire ceci :
Tant qu'on est vivant, et pour son vivant, on a le droit d'exiger un certain nombre de dispositions. Il va donc de soi qu'avant ma mort, je refuse d'avance toute intervention religieuse, même si dans l'incohérence d'un délire ou d'un chaos cérébral il se puisse que je dise le contraire. Je refuse obstinément, parce que je suis sain de corps et d'esprit aujourd'hui, toute prétendue aide des saints, des anges, de la Vierge, de la Sainte Trinité et autres collatéraux. En revanche, après ma mort, je n'ai plus rien à dire et n'ai pas le droit d'exiger ou d'interdire quoi que ce soit à ceux qui restent et qui sont libres. Ce qui veut dire qu'après mon décès, mais seulement après, vous pourrez vous livrer à toutes les fantaisies évangéliques que vous voudrez, vous gorger de lux aeternam, faire dire des messes basses, noires ou folles et danser en rond avec le Bon Dieu au milieu. Vous pourrez même réciter cette page en guise d'absoute ! Je ne serai nulle part pour vous considérer et n'entendrai pas vos prières. Il n'y aura personne au téléphone et pas de répondeur.
C'était au XVe siècle ; depuis, nous avons les mé(r)dias pour tout cramer.Toby a écrit:"Admettons, puisque nous avons été tellement couards, qu'aujourd'hui il faudra construire des mosquées (puisque les églises ne peuvent servir au culte musulman...)..."
Sainte-Sophie est bien devenue au XVe siècle une mosquée d'Istanbul.
Les cérémonies religieuses (ou autres) sont faites pour ceux qui restent ;Mitsahne a écrit:Caton l'Ancien a écrit:La qualité de la messe est fonction de la qualité de l'officiant. Ce n'est pas facile de rivaliser avec Mitsahne...
J'ai moi aussi assisté à quelques messes d'enterrement depuis quelque temps, la dernière en février pour la mort d'un petit élève adorable de 12 ans.
Les propos tenus par les uns et par les autres prêtres et intervenants laïcs n'avaient rien de ridicule.
La mort n'est peut-être pas une invention "divine", mais le mort, comme vous dites si bien Mitsahne, s'en fout, et ce sont ceux qui restent qui sont dans la peine. Qu'aucune parole ne console, c'est certain. Pourtant tous ceux qui ont connu un deuil sont heureux de la présence des parents et amis qui viennent partager leur douleur, même sans la diminuer.
Et cette réunion avant le dernier adieu crée des liens entre ceux qui ont assisté à la cérémonie.
Je suis d'accord avec presque tout ce que vous dites, chère Caton, et c'est vrai que ceux qui restent sont plus importants que celui qui s'en va rejoindre les "indispensables".
J'en suis tellement convaincu que j'ai donné comme dernières instructions d'ordre testamentaire ceci :
Tant qu'on est vivant, et pour son vivant, on a le droit d'exiger un certain nombre de dispositions. Il va donc de soi qu'avant ma mort, je refuse d'avance toute intervention religieuse, même si dans l'incohérence d'un délire ou d'un chaos cérébral il se puisse que je dise le contraire. Je refuse obstinément, parce que je suis sain de corps et d'esprit aujourd'hui, toute prétendue aide des saints, des anges, de la Vierge, de la Sainte Trinité et autres collatéraux. En revanche, après ma mort, je n'ai plus rien à dire et n'ai pas le droit d'exiger ou d'interdire quoi que ce soit à ceux qui restent et qui sont libres. Ce qui veut dire qu'après mon décès, mais seulement après, vous pourrez vous livrer à toutes les fantaisies évangéliques que vous voudrez, vous gorger de lux aeternam, faire dire des messes basses, noires ou folles et danser en rond avec le Bon Dieu au milieu. Vous pourrez même réciter cette page en guise d'absoute ! Je ne serai nulle part pour vous considérer et n'entendrai pas vos prières. Il n'y aura personne au téléphone et pas de répondeur.
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