par Florence67 Mer 12 Avr 2023, 07:41
La sexualité déconnectée systématiquement de la procréation par des procédés artificiels a des retombées sur le lien famiial et social à quoi elle fait perdre son ancrage dans la réalité. La sexualité se réduit à un jeu sans conséquences, la procréation "choisie" laissée à la décision humaine subjective lui donne une "toute-puissance" illusoire.
La fécondité est présentée comme aliénante.
La sexualité dite "libérée" ( crac crac et on oublie ensuite) satisfait des fantasmes plus masculins que féminins et se pare cependant des ornements de la "libération des femmes", prétendant défendre leur "interêt".
De facto la femme cherche l'amour en premier, et elle le détache moins aisément que l'homme de la sexualité:elle couche par amour, donc elle a plus à perdre que lui à ce "jeu". Pour éviter qu'elle ne découvre l'arnaque, les psy viennent à la rescousse de la libération sexuelle en inventant la pathologie de "dépendace affective" ( traduction : façon d'aimer et de vivre le sexe typiquement féminins) dont la femme doit impérativement se "soigner". Autrement dit elle doit "se hisser à hauteur d'homme" en matière de sexualité détachée ( de sentiments, de long terme, d'engaagement...elle est au naturel plus demandeuse d'engagement)
Et hop, on invente et on médiatise le syndrome de "la femme qui aime trop", le brevet datant des années 80...
L'écart va en s'élargissant au fil des décennies. Avec le gender et les opérations transgenre, on obtient des jeunes qu'ils se fassent stériliser volontairement. Et hop, on invente la crime d"'homophobie", plus exactement de "transphobie" pour parer à toute objection.
Etape suivante : fabrication de bébés en labo sous contrôle étatique ? Toute la population stérilisée? Le Meilleur des Mondes ?
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