Oncle Germain a écrit:Les aides de l'Etat destinées aux entreprises installées en zones franches ne compensent même pas les dégradations et les moyens de surveillance (vigiles, camera, sécurité, etc...) obligatoires à mettre en œuvre pour protéger l'outil de travail...
Ces entreprises sont systématiquement soumises aux rackets et aux intimidations des "grands frères" qui menacent d'envoyer les jeunes pépites (alias les "Gremlins") détruire ou voler les magasins et les entreprises en zone franche...
Mais, il y a des bulots incrédules qui croient qu'on peut encore faire du commerce dans les cités, tout en ayant à la fois la protection policière et les aides de l'État... C'est à se pisser dessus... Ils n'imaginent pas ce qui les attend sur le terrain...
On nous avait proposé sur Béziers d'ouvrir un zone franche. Nous avions refusé catégoriquement. C'est plus cher où nous sommes mais ......................
Nous n'avons pas encore atteint les limites... Les fenêtres et les portes n'ont pas encore de grilles de protection, les résidences ne sont pas encore entourées de hauts murs électrifiés et n'ont pas encore de gardiens faisant leurs rondes, 24h sur24h. Ne vous découragez pas, cela va venir... partout.
Les boulangers, nouvelles cibles de délinquants hyperviolents
La scène, d'une violence inouïe, s'est déroulée en avril dernier à Meaux, en Seine-et-Marne. Trois hommes encagoulés ont fait irruption au domicile d'un boulanger pour prendre sa famille en otage. Le pistolet sur la tempe, frappé à coups de crosse alors qu'un de ses enfants était menacé d'un couteau sous la gorge, le commerçant s'est fait braquer 250 euros avant de pouvoir donner l'alerte. À Montbonnot-Saint-Martin, dans la banlieue de Grenoble, un duo armé a conduit un autre boulanger jusqu'à son bureau où ils l'ont contraint à se mettre au sol le temps de piller les sacs de monnaie et de s'enfuir avec quelques centaines d'euros. À Tremblay-en-France, en Seine-Saint-Denis, un artisan est à son tour surpris au petit matin, alors qu'il pétrissait sa pâte, par trois lascars armés d'un poing américain, d'un couteau et d'une bombe lacrymogène. Après l'avoir roué de coups, ses agresseurs se sont enfuis avec la recette de deux jours, à savoir près de 2 000 euros. «Les braqueurs ciblent les boulangeries parce qu'ils savent à coup sûr qu'ils y trouveront des espèces, décrypte un policier spécialisé. Ils n'ignorent pas non plus qu'ils pourront y entrer et en sortir avec une facilité déconcertante, sans risquer d'être coincés dans un sas ou piégés par une caméra de vidéosurveillance.»
Parlons donc des boulangers. A Nevoy petite commune jouxtant la ville de Gien dans le Loiret se tient chaque année un rassemblement "spirituel-Gitans" (1300 caravanes cette année) . Au demeurant voilà un regroupement bien sympa.... Sauf que cette année il a fallu 2 escadrons de gendarmerie pour assurer l'ordre publique dans l'agglomération giennoise.... L'année dernière les boulangeries de la ville avaient été la cible de Razzias de plusieurs dizaines de jeunes gens affamés..... résultat aux dernières élections : fn 32,4% ump 18,3% soc 9,5%.
Etienne Charles a écrit:L'année dernière les boulangeries de la ville avaient été la cible de Razzias de plusieurs dizaines de jeunes gens affamés.....
Merci Shengen... Interdit de se défendre et impossible de garder ses frontières.. Les portes sont grandes ouvertes pour l'invasion migratoire qui ne fait que commencer...
_________________ La langue de la République est le français. L'emblème national est le drapeau tricolore, bleu, blanc, rouge.
L'étanchéité des frontières résultent de la volonté politique du chef de l'état. Bien sûr depuis la mise en place de l'entité européenne c'est la dèbacle...mais avant? Je suis un connaisseur et collectionneur d'armes du glaive jusqu'à la bombe( sexuelle)...Bref je suis un individu peu fréquentable puisque j'ai un dangereux fusil de chasse (dans la famille depuis des générations). Mis a part cette boutade en 1972 je me rend en voyage en Italie , je passe par Brécia le ST étienne italien de l'époque. Tentation de faire le plein d'un ou deux pistolets, revolvers. Je me dégonfle! Je repasse la frontière au col du petit ST Bernard ( Savoie). Frontière fermée mais ouverte à tous vents....une caisse de fusils mitrailleurs aurait pu être introduite sans problème. J'en réfère à mon patron un commissaire principal sorti du rang. Lui même en parle au préfet de police de Paris....... Résultat j'ai fait l'objet d'une " visite domicilière" d'un officier des douanes . Grabuge ! Convocation à la gendarmerie de Rosny/bois où j'étais en fonction au commissariat central. Guerre des polices ! Quelques années plus tard en 78-79 je passe la frontière espagnole- France à 80Km h sur ordre des policiers espagnols....je ne m'en remet toujours pas. Tout çà pour vous dire que nos frontières sont depuis des dizaines d'années qu'une illusion.
Wattrelos : Le gérant du Carrefour tabassé pour un paquet de gâteaux
Mardi en fin d’après-midi, le gérant du magasin Carrefour Contact situé dans le quartier Beaulieu à Wattrelos (Nord) a été passé à tabac par un groupe d’individus qui venaient de dérober un paquet de gâteaux dans le magasin. L’homme, qui a eu la mâchoire et une jambe fracturées, a été hospitalisé.
D’après nos informations, le gérant devrait subir prochainement une opération chirurgicale. Ses agresseurs sont activement recherchés par la police
En quelques semaines, c’est la troisième agression perpétrée dans ce commerce de proximité.
En 2010, le magasin Leclerc, installé dans ce quartier dit sensible, avait fermé ses portes à la suite notamment des nombreux braquages et vols dont il avait été victime les années précédentes. Le Carrefour Contact qui a déjà subi son lot de braquages et d’agressions depuis son ouverture suivra-t-il le même chemin ?
Etienne Charles a écrit: résultat aux dernières élections : fn 32,4% ump 18,3% soc 9,5%.
Ca fait encore 68% d'abrutis inconscients.
_________________ Dieu se rit des hommes qui déplorent les conséquences dont ils chérissent les causes. Bossuet Pour savoir qui vous dirige vraiment, il suffit de regarder ceux que vous ne pouvez pas critiquer. Voltaire
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Au début, sur le forum, la majorité ne votait pas FN... Nous avons fini par nous convaincre. Personnellement, ça me vaut moults désagréments, pour ne pas dire plus.
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Hauts de Seine http://www.francetvinfo.fr/faits-divers/hauts-de-seine-une-dizaine-d-employes-d-un-magasin-retenus-en-otage-par-des-malfaiteurs-armes-suivez-notre-direct_996759.html
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Cahors: elle menace de « poser une bombe » car on lui a servi un sandwich contenant du porc
L’affaire de la violente altercation survenue mardi à Cahors entre une cliente et des vendeuses de la Mie Câline, que nous relatons dans notre édition de ce jour, prend de nouvelles proportions.
À l’instar des responsables de cet établissement, la cliente impliquée dans ce dossier très sensible a également porté plainte au commissariat de Cahors.
Elle ne nie pas les menaces de mort qu’elle a proférées à l’encontre des vendeuses, ni sa phrase choquante où elle annonçait qu’elle reviendrait et «poserait une bombe».
Dans le contexte actuel, chacun comprend aisément que ce type de menace verbale puisse profondément choquer et attiser les peurs.
En revanche, cette cliente assure qu’il y a eu un échange de jets d’objets la blessant au visage et qu’elle n’est donc pas la seule à avoir agi ainsi. La responsable du personnel de l’établissement confirme que l’une des vendeuses a en effet riposté. «Elle s’est simplement défendue», assure-t-elle.
La cliente ne décolère pas. Elle a justifié son attitude en indiquant que l’une des vendeuses lui avait, par erreur, servi un sandwich contenant du porc. «Je suis d’origine maghrébine», lâche-t-elle. L’enquête de police fera toute la lumière sur ce dossier. Les caméras de surveillance livreront aussi leur vérité et la justice tranchera. Mais les services compétents n’indiquent pas, pour l’instant, que les protagonistes de cette affaire auront à s’expliquer à la barre d’un tribunal.
« la cliente impliquée dans ce dossier très sensible » On vit dans un pays où un sandwich au porc devient un dossier très "sensible"…
Ce genre d’anecdote montre à quel point la société change en profondeur.
Aujourd’hui, servir du porc par erreur est considéré comme un motif légitime d'un déferlement de violence physique et de menaces de mort... et je reste persuadé que la majorité des muzz approuve ces comportements agressifs.
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Limoges : miné par les incivilités, le France jette l’éponge Cyril Boissier, le patron du France, une brasserie de Limoges (Haute-Vienne), attribue son échec à la délinquance dans le quartier.
« Depuis cinq ans, nous vivions en enfer… » Cyril Boissier a déposé son bilan au tribunal de commerce de Limoges (Haute-Vienne), dépassé par une situation devenue insupportable. Ses 13 salariés sont au chômage, et le rideau du France, l’une des plus belles brasseries de la ville, est définitivement baissé.
Un épicier agressé et défiguré par trois jeunes à Montpellier
Un épicier du quartier de la Chamberte à Montpellier a été défiguré samedi matin par trois jeunes de 19, 20 et 22 ans, « déjà connu des services de police ». Leur procès en comparution immédiate prévu ce lundi a été reporté, l’un d’eux ayant demandé à préparer sa défense. Ils vont avoir quelques semaines pour préparer leur défense et s’expliquer devant les juges.
C’est avec des tessons de bouteille que les trois jeunes se sont acharnés pendant de longues minutes sur l’épicier, au point de le défigurer. Son nerf facial est touché.
Ils ont ensuite entièrement saccagé la boutique avant de voler la caisse et de prendre la fuite à bord d’une voiture. Le commerçant, malgré sa blessure, a réussi à relever son immatriculation.
Cette voiture, une Toyota, avait été contrôlée vendredi soir par les policiers qui se sont souvenu de l’identité du conducteur. C’est à son domicile situé avenue de l’Europe qu’ils l’ont cueilli quelques minutes plus tard en compagnie de ses deux complices.
Saint-Denis-Pierrefitte (93) : Deux pharmacies braquées en 20 minutes
Mercredi à 19 heures, rue du 19 mars 1962, un individu casqué, ganté et porteur d’une arme de poing a pénétré dans une pharmacie où, sous la menace, il s’est fait remettre la somme de 80 euros. L’enquête a été confiée au commissariat de Saint-Denis. Le même soir, vingt minutes plus tard c’est au tour d’une officine de Pierrefitte-sur-Seine d’être victime d’une nouvelle tentative de vol à main armée, avenue Elisée-Reclus. Même mode opératoire qu’à Saint-Denis, un homme casqué et armé a pénétré dans la pharmacie où, sous la menace, il a tenté de se faire remettre le contenu de la caisse. Devant la résistance de la pharmacienne, l’individu a pris la fuite. S’agit-il d’un seul et même braqueur ? L’enquête le dira.
Perpignan (66) : exaspéré par l’insécurité, un commerçant bloque une avenue pour alerter les pouvoirs publics
Coup de sang d’un commerçant de l’avenue de la gare ce samedi 10 juin. En colère face aux incivilités du quotidien dans le secteur, le patron de la brasserie de la gare a décidé ce matin de bloquer lui-même le haut de l’avenue avec son véhicule. Un moyen selon lui pour faire entendre l’exaspération des commerçants et salariés qui réclament plus de présence de la police municipale et nationale.
C’est une énième agression ce samedi matin encore qui a fait sortir de ses gonds ce commerçant installé dans le quartier depuis 30 ans.
"Nos clients sont volés, nos serveurs insultés, nos magasins dégradés, les trafics sont permanents. Quand on voit les difficultés que rencontre la police pour intervenir, comment voulez-vous que l’on se fasse respecter" .
Un commerçant de Ouistreham : «Les migrants sont là, guettent, essaient de nous voler. Y’a moins de clientèle.»
Ce gérant d’une supérette de Ouistreham (Calvados, Normandie) s’inquiète, il a même bâché ses étales pour se protéger des vols : «Les migrants se mettent là, ils guettent où on est, pour voir où on est dans le magasin, si on est devant, si on surveille, si on regarde bien. Du coup, après ils essaient de nous piquer si ils peuvent. Il y a moins de clientèle, moins de touristes à Ouistreham, donc du coup on perd quelque part.» – France 2, 22 octobre 2017, 20h30
https://www.youtube.com/watch?v=86sERK0njUw
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Besançon : une Boulangerie fermée à cause d’une bande ethnique
Voilà une étrange affaire, qui laisse perplexe. Depuis mardi, les clients de la boulangerie de l’Île-aux-Moineaux, en face du parc Micaud, trouvent porte close.
Sur la vitrine obscure, une grande affiche interpelle. « Commerce en péril, fermeture pour agressions ». Plus bas, de touchants dessins d’enfants apportent leur soutien aux propriétaires. Par peur de représailles pouvant le viser lui ou sa famille, dit-il, le boulanger ne souhaite pas s’étendre sur les raisons qui l’ont conduit à fermer boutique si brutalement.
« Lui et sa femme sont sous le choc. Ils sont traumatisés. Je l’ai vu lundi, il a du mal à verbaliser », compatit Elsa, qui mène la fronde. Spontanément, les clients fidèles se sont mobilisés pour appuyer « leur » boulanger.
Chaque soir, des dizaines de gens se retrouvent à 19 h devant la boutique. Pour marquer le coup. Pour échanger. Pour se sentir unis, forts, solidaires.
Là, les langues se délient. On apprend que le commerçant est régulièrement harcelé par une mystérieuse « bande ». Des jeunes qui l’attendent au petit matin, qui l’insultent, qui le menacent, qui le suivent en voiture, sans pour autant s’en prendre à la caisse…
Le harcèlement en meute est une des stratégie de conquête des hordes musulmanes... D'ici quelques mois, à la place de la boulangerie, on verra apparaître un nouveau kebab ou une boucherie halal, dont la fonction sera de blanchir l'argent de la drogue!
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Rennes: vols, agressions, dealers… Les commerçants du quartier Sainte-Anne n’en peuvent plus
Hubert Chardonnet, maire adjoint à la sécurité, « prend très au sérieux » cette affaire. « Ce sont de vrais problèmes qui sont posés. Et sur les incivilités, la propreté, il est de notre responsabilité d’apporter des réponses. » L’élu va proposer, « dès lundi », une rencontre avec les commerçants
Vols, agressions verbales et physiques, présence de dealers, vitrine cassée… les commerçants de cette rue proche de Sainte-Anne, dans le centre de Rennes, tirent la sonnette d’alarme.
Au catalogue de la délinquance ordinaire, dans cette rue chic de l’hyper-centre, il y a aussi les vols en plein jour. La boutique Zadig et Voltaire en a fait les frais à deux reprises, fin août d’abord, puis fin octobre. « Ils sont arrivés à plusieurs, ça s’est passé en quelques minutes, raconte l’employée. La première fois, ils ont emporté du parfum, des vestes et des tee-shirts. La deuxième fois, ils ont volé trois pulls. » Les auteurs, qui opéraient en bande et ciblaient les magasins de marque du centre-ville, ont été interpellés début novembre.
Quelques jours avant Noël, un commerçant du quartier a été violemment agressé un soir alors qu’il tentait de s’interposer pour protéger une cliente. L’auteur a été interpellé et condamné, mais sa victime est ressortie des urgences avec une minerve, sans parler des séquelles psychologiques. Il préfère rester anonyme par peur des représailles, comme d’ailleurs tous les commerçants du quartier.
Un autre propriétaire raconte ses difficultés à louer : « Une dame mutée à Rennes avait réservé le logement. Mais elle a finalement renoncé, quand ses nouveaux collègues l’ont alertée sur l’ambiance du quartier le soir. »
Metz : un migrant algérien casse tout dans le centre commercial, agresse des vigiles au cri de slogans racistes et antisémites
Il aura fallu pas moins de six agents de sécurité pour maîtriser l’homme qui les a « envoyés balader dans les vitrines » début décembre. Près d’un mois après, devant le tribunal, l’un des agents de sécurité du centre commercial n’en revient toujours pas. « Je fais 94 kg. Il m’a décollé et projeté dans une vitrine. Je n’ai jamais vu ça. »
Le 8 décembre, une vendeuse d’une boutique de Muse trouve l’attitude d’un jeune homme un peu louche dans ses rayons. Elle appelle la sécurité. Le rodéo commence. Le ressortissant algérien fait preuve d’une force impressionnante. Il « envoie balader les uns et les autres dans les vitrines », selon Me Antoine Paveau, avocat des victimes – particulièrement nombreuses dans ce dossier.
Il court, mord, donne des coups de tête et de coude. En tout, il aura fallu le concours de six agents pour le maîtriser totalement dans les allées du centre commercial.
L’homme est conduit au PC de sécurité. Les menaces varient. Parfois à caractère raciste, antisémite ou terroriste. Le flot d’insultes se met aussi en route. Les agents de police qui viennent l’interpeller, en prennent également pour leur grade. Ils découvrent au passage « un petit couteau à huître » dans une de ses poches. Un outil destiné à faciliter des « travaux d’électricité »…
Quatre agents de sécurité ont déposé plainte. Deux d’entre eux ont été blessés aux mains et aux épaules. L’un d’eux s’est vu remettre un certificat de dix jours d’interruption temporaire de travail. Quatre policiers se sont également portés partie civile.
Pour son avocate, Me Laurence Decker-Leclere, l’homme âgé de 28 ans, a pris peur. En cause ? Son statut administratif. Sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français, le jeune homme a voulu échapper aux forces de l’ordre coûte que coûte
Neuvième attaque du bureau de tabac: la gérante agressée à coup de poing américain
Le tabac-presse de Saint-Barthélémy-d’Agenais a été la cible d’un nouveau cambriolage tout particulièrement violent. « Un énième cambriolage » comme le mentionne Gaëtan Malange, le maire de la commune sur les réseaux sociaux, mais accompagné d’une agression insoutenable : la commerçante a été frappée au visage avec un poing américain.
Hier soir, un homme a pénétré dans le commerce peu après 20h30 et a demandé à la commerçante de lui remettre la caisse. Devant le refus de cette dernière, il l’a agressée, la frappant avec un poing américain au niveau du visage. Elle a été sérieusement blessée. Ce que confirme le premier magistrat de la commune. « Mais, elle n’a pas souhaité être amenée à l’hôpital ».
Le commerce est équipé de caméras. Les bandes ont été visionnées et ont permis de voir que deux individus étaient dans le commerce. « Ça sera aux forces de gendarmerie de déterminer le rôle et l’implication des deux », poursuit le maire.
Ce n’est pas la première fois que la gérante est donc la cible de tels actes. Au mois d’avril dernier, elle lâchait « j’ai été braquée à huit reprises ». Malgré cela, elle fait face et continue à tenir ce commerce de proximité dans cette petite commune (où elle est installée depuis plus d’une dizaine d’années). La dernière agression remonte à moins d’un an. « Elle est très forte au niveau physique et psychologique », explique le maire « elle tient bon. Mais jusqu’à quand. Elle en as ras le bol ».
Que faire face à ces attaques ? « On est démuni. Les forces de gendarmerie sont plus présentes qu’il y a quelque temps », précise le maire Gaétan Malange « C’est aussi du hasard. Un jeudi soir après 20 h ». L’installation de caméras dans les petits villages changerait-elle la donne ? En tout cas, pour lui, cela ne changerait pas la donne. « En plus il y a la question du coût de l’installation et de l’entretien. C’est une charge importante pour nos petites communes ».
«Augmentation de l’insécurité» : les déclarations d’agressions de pharmaciens ont triplé en moins d’un an
Depuis avril 2017, 240 pharmaciens ont déclaré avoir été victimes d’une agression, contre 92 en 2016. Alain Marcillac, référent sécurité à l’Ordre national des pharmaciens, fait le constat d’une “augmentation de l’insécurité pour les pharmaciens” qui va “de la remarque désagréable à la menace, par couteau, par pistolet et jusqu’aux actes physiques”. Il ajoute: “C’est très traumatisant pour l’équipe officinale”. En 2016, la moitié seulement des pharmaciens victimes d’agression ont porté plainte.
Une buraliste condamnée à une amende et des dommages et intérêts: elle exigeait qu'une en-torchonnée islamiste enlève son chiffon
Finalement, Marie Pinier, la buraliste albigeoise qui avait refusé de servir des femmes voilées écope seulement d’une amende de 1 000 euros. Elle devra également verser 800 euros de dommages et intérêts pour préjudice moral à chacune des victimes qu’elle avait refusé de servir ainsi qu’au MRAP (Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples) et à la LICRA (Ligue Internationale Contre le Racisme et l’Antisémitisme), parties civiles dans cette affaire. Le tribunal correctionnel d’Albi l’a reconnue coupable de discrimination religieuse ce jeudi. Ses avocats ont aussitôt fait appel car selon eux, c’est le principe-même de la culpabilité qui pose problème.
L’affaire avait fait grand bruit en avril dernier : la commerçante avait refusé de délivrer un colis à une femme voilée, au prétexte que cette dernière refusait de retirer son voile pour qu’elle vérifie son identité. La personne voilée avait alors déposé une plainte pour discrimination.
Paris 10è : Des commerçants se plaignent de l’implantation de la salle de shoot
En France, les commerçants du Xe arrondissement de Paris sont en colère. En cause : la présence d’une salle de shoot. Ce dispositif ne fait pas l’unanimité comme le montre ce reportage.
https://www.youtube.com/watch?v=T84XP7fIBY4
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Saint-Pierre-des-Corps (37) : commerçante dans une « zone de non-droit », Nathalie est insultée et menacée, « être une femme ici, ce n’est pas évident »
Le salon de coiffure de Nathalie est installé au cœur du quartier sensible de la Rabâterie, à Saint-Pierre-des-Corps (Indre-et-Loire). Régulièrement menacée, elle appelle aujourd’hui à l’aide.
« Ça monte crescendo depuis cinq-six ans. C’est vraiment devenu invivable« . Nathalie Ferreira a installé son salon de coiffure il y a plus de 20 ans dans le quartier sensible de la Rabâterie à Saint-Pierre-des-Corps (Indre-et-Loire). Elle ne compte plus les dégâts que son commerce a subis : serrures détruites, obstruées avec du plastique, balle perdue dans la vitrine… La dernière dégradation date d’il y a quelques jours.
« On a des rodéos, des trafics en tous genres. Et par rapport à la clientèle, c’est quelque chose de très nuisible », poursuit la commerçante. Nathalie et ses employées sont aussi régulièrement insultées, menacées… « Quelque part, on est dans une zone de non-droit, être une femme ici, ce n’est pas évident », déplore-t-elle. Dans le quartier, les commerçants ont presque tous déserté. Aucun des magasins ne trouve de repreneur.
Nathalie est coiffeuse. Son salon, ouvert il y a plus de 20 ans dans le quartier sensible de La Rabaterie à Saint-Pierre-des-Corps, en Indre-et-Loire, subit régulièrement des dégradations. Nathalie et ses employées sont aussi insultées, menacées... Pour autant, elle n'a jamais songé à fermer boutique.
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Corbeil (91) : Racket des commerces : un commerçant brise la loi du silence, le maire LR s’en étonne
Ce vendredi 2 novembre, la supérette Château Rouge ouvre ses portes pour la première fois. Sur la place où un jeune de 19 ans a été tué d’une balle dans la tête dans le cadre d’une guerre entre bandes rivales en 2016, située au milieu des barres d’immeubles, les rideaux de fer baissés sont aussi nombreux que les boutiques ouvertes.
Dès le lendemain, le gérant reçoit la visite de deux hommes du quartier. « Ils m’ont demandé 30 000 euros, et m’ont dit que sinon ils brûleraient mon commerce, soupire-t-il. Je leur ai dit que je n’étais pas d’accord. » Le dimanche, cette équipe revient à la charge. En vain. « Ils m’ont volé mon téléphone portable, souffle le gérant, qui essayait de filmer la scène. C’était un smartphone récent. »
Les malfrats n’en ont pas terminé avec lui. Dès le lundi soir, ils optent pour une autre méthode. « Ils sont allés voir mes employés et ont demandé à être payés 500 € par mois pour assurer notre sécurité, en nous disant que sinon ça se passerait mal, reprend le commerçant. Je leur ai dit qu’on était en France, que ça ne se passe pas comme ça ici. Ils m’ont répondu : Attends dix minutes, tu vas voir. »
Et en effet, quelques instants plus tard, sur les images de la vidéosurveillance, on remarque une douzaine de jeunes qui entrent tranquillement dans le magasin. Ils se servent en glaces et boissons et repartent sans payer. Les employés tentent de les retenir, mais la confrontation verbale vire à l’empoignade et les voleurs parviennent à filer. Près de 200 € de glaces ont été dérobées.
« C’est dur parce qu’on ouvre un commerce dans ce quartier, ça fait plaisir aux gens, ils nous le disent, ils sont contents d’avoir des produits frais, des fruits, des légumes, lâche le responsable de la supérette. Moi j’ai investi pour 150 000 € de marchandises, et il y en a qui se croient tout permis. »
Mardi encore, une visite est suivie d’un vol de boissons et de gâteaux. « Ils me reprochaient d’avoir appelé la police, mais je ne veux pas avoir peur d’eux, même si je sais qu’ils peuvent agir à tout moment, peste le gérant. C’est du racket, on ne se sent pas soutenu, mais je remercie les policiers qui sont venus en moins de cinq minutes à chaque fois. Je parle pour que les choses changent. »
« Le pire c’est que ce n’est même pas le quartier le plus mal famé de Corbeil », indique, sous couvert d’anonymat, un autre commerçant de la place de Montconseil qui refuse de dire s’il paye un « impôt ». Mais il précise : « Ici, quand on ouvre, on reçoit la visite des caïds avant celle des élus. »
Informée de ces faits ce jeudi soir, la municipalité (LR) de Corbeil-Essonnes se montrait surprise. « C’est le premier cas affirmé de ce type qui nous remonte dans ce quartier, commente Jean-Pierre Bechter, le maire. Mais je condamne fermement toute forme de racket. »
https://www.youtube.com/watch?v=eR9AWt3kBOY
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Paris 11ème : La vidéo du pillage ultra-violent d’un tabac PMU fuite sur les réseaux communautaires asiatiques
https://www.youtube.com/watch?v=djSzXx5porM
Lors de ce dernier samedi de pillages dans les commerces parisiens, il n’y pas eu que les « civettes » des 8ème et 16ème arrondissements, parmi les cibles soigneusement choisies par les vandales.
Plusieurs établissements ont également été concernés dans le quartier de la République (extrait d’une dépêche AFP).
À proximité, les bureaux de tabac ont aussi été pris pour cible. Rue des Trois Bornes, l’établissement n’a pas ouvert ses portes. Les casseurs ont tout dérobé et le gérant, agressé, est à l’hôpital.
« Nous, on a eu plus de chance, on doit juste remplacer la vitrine, et espérer qu’ils ne reviendront pas samedi prochain », soupire auprès de l’AFP le patron du tabac Le Vizir qui avance le chiffre de 5 000 euros de réparations. Huu Tai, gérant de l’établissement voisin Le Rouergue, est consterné : « On va finir par ne plus ouvrir, on n’a plus le moral et notre activité est menacée ».
Le maire du XIe arrondissement François Vauglin est venu constater les dégâts lundi matin et conseiller aux commerçants de porter plainte. Un document expliquant comment réaliser les démarches d’indemnisations a été distribué. http://www.lemondedutabac.com/pillages-de-buralistes-du-cote-de-la-republique/#more-101462
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Montpellier: Des commerçants permettent l’arrestation de leurs voleurs, des migrants algériens, délinquants récidivistes, ils sont relâchés
C’est une histoire réelle incroyable qui s’est déroulée samedi, à Montpellier : deux commerçants ont réussi à localiser le voleur du téléphone portable de l’un deux, lors d’une chasse spectaculaire.
Le voleur avait le iPhone dans une poche et son complice possédait la coque. Tous deux n’étaient pas inconnus des policiers, puisqu’ils avaient déjà été interpellés la veille à 17h15 pour le vol d’un vélo non attaché dans la cour d’un immeuble et qu’ils avaient été remis en liberté, le lendemain, donc samedi matin, trois heures avant qu’ils ne récidivent !
…Et libérations !
« Nous avons appris qu’ils sont âgés de 25 ans, de nationalité algérienne et qu’ils se trouvent en situation irrégulière sur le territoire, ils sont en demande d’asile politique. Un avocat nous a expliqués que c’est la nouvelle parade de ces sans-papiers algériens de demander l’asile politique, car tant que celui-ci n’est pas refusé, ils ne sont pas expulsables. En France, la loi est tellement bien faite pour ce genre de personne relâchée dans les heures qui suivent après avoir commis un délit. Le code civil prime sur le code pénal, donc ont le relâche, avec la remise d’une Obligation de quitter le territoire. Mais, ces étrangers restent à Montpellier »,révèlent Erwann et Larry.
Ce lundi, les deux commerçants ont voulu savoir quel a été le sort de leur voleur et de son complice : sur les instructions du parquet de Montpellier, ils ont quitté libres le commissariat central, dimanche…
« Guerre des quartiers » à Nantes : 5 fusillades en 5 jours, 1 mort et 6 blessés… « Du jamais-vu (…) Un niveau de violence jamais atteint »
Cinq fusillades en cinq jours. Bilan : un mort et six blessés. Un tel niveau de violence n’avait jamais été atteint à Nantes où une marche contre «la guerre des quartiers» aura lieu dimanche.
C’est la dernière fusillade d’une trop longue série. Lundi soir à Nantes (Loire-Atlantique), un jeune homme de 24 ans a été victime d’une attaque dans un bar à chicha de la rue Joffre, dans le centre-ville. Des hommes casqués, arrivés sur deux puissants scooters et à bord d’une berline, ont arrosé l’établissement à l’aide d’armes automatiques et d’armes de poing.
La veille, à minuit, place Mendès-France, dans le quartier Bellevue, quatre personnes avaient été blessées – dont deux grièvement – dans des circonstances similaires. Dimanche, des tirs ont également été entendus, quartier des Dervallières (un mineur de 16 ans blessé) et quartier du Breil. Et le 18 avril, un jeune homme de 20 ans avait été touché à l’épaule et la cuisse dans le quartier Bellevue. Bilan : un mort, six blessés par balles. Du jamais-vu.
« L’année dernière, il y a eu 48 fusillades à Nantes, développe-t-il. Quasiment une par semaine. Il ne faut pas minimiser ce qui se passe. Ça fait quelques années que nous avons remarqué cette évolution et que nous alertons sur cette situation.».
La mère de Mancef Mjidou, tué par balles dans un bar à chicha à Nantes
La mère de Mancef Mjidou, tué par balles dans un bar à chicha à Nantes s'exprime à l'issue d'une marche blanche organisée par les proches de la victime.
Mancef, il était innocent... Une racaille butée par d'autres racailles... business as usual...
_________________ La langue de la République est le français. L'emblème national est le drapeau tricolore, bleu, blanc, rouge.
Nord : un commerçant séquestré et torturé pendant plusieurs jours à son domicile
Un calvaire à son domicile. Un commerçant a été séquestré et torturé plusieurs jours à son domicile à Seclin (Nord, 12 460 hab), par plusieurs individus, rapporte la Voix du Nord. Selon le quotidien régional, leur victime aurait été victime d’un AVC pendant sa séquestration.
C’est la famille de la victime, inquiète de ne pas avoir de nouvelles, qui a donné l’alerte. La victime a été retrouvée mercredi chez elle nue et ligotée, face contre terre, un orteil sectionné et portant de nombreuses traces de coup.
Les agresseurs ont réussi à prendre la fuite avec le contenu du coffre-fort et la voiture du commerçant, qui tient un magasin de vêtements de luxe masculins.
La situation reste explosive à Palavas-les-Flots. Dix jours après une manifestation de commerçants et de riverains en colère, de nouveaux incidents se sont produits vendredi 22 août dans la station héraultaise.
Très remontés, tous les commerçants ont baissé le rideau en fin d’après-midi et manifesté une nouvelle fois dans les rues et devant le poste de la police pour dénoncer cet « abandon » des pouvoirs publics. Vendredi soir, ils ont organisé une opération ville morte.
Un commerçant d’Angers violemment agressé : « J’ai cru que j’allais mourir » David Blanvillain, le gérant du supermarché Diagonal situé rue de Bressigny à Angers, a été passé à tabac, mardi 6 octobre, par trois jeunes. Son fils a aussi été roué de coups. L’insécurité du « Village Bressigny » est pointée du doigt par les commerçants qui demandent une action rapide de la municipalité.
Toulouse : armés d’un couteau et d’une lacrymo, deux ados de 16 ans menacent les épiciers du centre-ville Deux jeunes âgés de 16 ans ont été interpellés à Toulouse, jeudi 18 mars 2021. Ils menaçaient des gérants d’épicerie avec une arme blanche et une bombe lacrymo. Les faits.
Ils faisaient régner la terreur dans les supérettes de Toulouse. Jeudi 18 mars 2021, deux adolescents de 16 ans ont été interpellés par la police municipale après avoir menacé le gérant d’une épicerie de la Ville rose.
Leur arrivée au commissariat a été mouvementée puisqu’un l’un d’eux a proféré des insultes et des menaces de mort envers l’un des agents. Une plainte a été déposée par la police municipale.
Labatut (40) : un restaurateur de 31 ans tué de plusieurs coups de couteau et d’une balle dans le dos suite à une altercation, deux suspects recherchés
Un restaurateur de 31 ans est mort jeudi à l’hôpital de Pau (Pyrénées-Atlantiques), après avoir été très grièvement blessé dans une agression ultra-violente.
Les faits se sont produits mardi soir à Labatut (Landes). Une bagarre a d’abord éclaté avec deux individus devant son fast-food avant que la situation ne dégénère. Les deux suspects ont brandi leurs armes, agressant alors très violemment le propriétaire.
Ce dernier a reçu plusieurs coups de couteau ainsi qu’au moins une balle dans le dos, rapporte France Bleu.
Vols et violences : le ras-le-bol des épiciers de Championnet Chaque soir ou presque, à l’heure où la piscine Jean-Bron ferme ses portes, la supérette du quartier Championnet est prise d’assaut par des groupes de jeunes qui volent et n’hésitent pas à se montrer menaçants et violents envers les gérants.
Carla et Michel Dupont ont décidé de perdre 300 euros de chiffres d’affaires chaque jour. Parce que le couple qui tient le Carrefour Express de la place Championnet, à Grenoble, a décidé de fermer à 18 h 30 au lieu de 21 heures, tous les jours, jusqu’à la fin de l’été.
Rien que dans mon quartier en un an (un quartier réputé "calme"!!!) les patrons de l'épicerie du coin ont été agressés par un voleur muni d'une arme à feu, la police est venue, elle a juste dressé un constat et hop, le voleur a pu repartir, comme ça. Dans la même rue mon médecin traitant se fait dévaliser en pleine après-midi dans son cabinet par trois loubards avec des couteaux. Madame B...( celle du zéro "raciste") a dû prendre des cours de karaté pour se défendre au quotidien contre ses élèves racailles. Elle a confisqué une vingtaine de couteaux à cran d'arrêt et son directeur lui a fait ce reproche : "mais enfin Madame, dans "leur" culture, tous les garçons ont des couteaux! C'est normal!" ( Et tuer ses profs alors c'est quoi, une "culture différente de la nôtre"????) Il y a trois mois, ma fille a été agressée sexuellement dans un petit parc entre midi et deux ( elle attendait son fiancé) par un foudingue qui a fui ensuite sur son VTT. Ma fille est allée à la police mais l'audition a été longue et éprouvante. En rentrant de vacances, nous avons trouvé le souk dans l'appart avec une vitre cassée, probablement des enfants de Roms formés à ça qui affluent dans notre ville pendant les mois d'été. La police constate, relève les ADN et ne retrouve pas les coupables car ce sont des enfants. Le Rom qui fait la manche au coin de la rue surveille les apparts et note qui est en vacances. Ouais, mais QUI ouvre tout grand les frontières ? Et la presse locale qui la ferme ... Nous songeons sérieusement à organiser une association d'autodéfense avec d'autres habitants !!!
Florence67 a écrit: Nous songeons sérieusement à organiser une association d'autodéfense avec d'autres habitants !!!
Je suis inscrit sur voisins vigilants depuis 9 ans... https://www.voisinsvigilants.org/
Les criminels n'hésitent plus aujourd'hui à rentrer dans les maisons pour torturer et tuer les locataires, leur soutirer de l'argent et s'enfuir avec la voiture. Il s'agit donc de passer rapidement à la vitesse supérieure si vous ne voulez pas terminer en steack tartare... Il y a un fil sur le sujet...
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Strasbourg : « On se fait piller tous les jours »… Des commerçants dénoncent l’insécurité du centre-ville
« Je ne sais plus comment faire, quoi faire, je passe mon temps à faire le vigile dans et devant ma boutique et les employées ont peur, mais ce n’est pas mon travail », explique la gérante d’un commerce de la rue des Grandes Arcades, rue de l’hypercentre à Strasbourg. Vols à répétition, squat aux abords et même parfois devant les vitrines, des commerçants dénoncent via une pétition un environnement « pas vraiment favorable » aux affaires.
« Tout le monde en a ras le bol ! » s’insurge la commerçante d’un magasin de prêt-à-porter à l’initiative de cette pétition papier qui a recueilli une soixantaine de signatures de confrères et consœurs en quelques heures. Principal grief, « les vols, à n’en plus finir » assure-t-elle. Pourquoi ? « On n’a plus de police en centre-ville. Ça a changé. Pourtant, ça fait 13 ans que je suis ici, souligne la gérante excédée. Avant, il y avait des passages très réguliers de la police municipale, de la BAC. On les appelait et ils intervenaient tout de suite. Maintenant, on ne les voit plus, ils sont ailleurs et on se fait piller tous les jours. » Son « taux de vol » assure-t-elle, qui « avait déjà augmenté l’année dernière » , a quasiment doublé en un an.
« Fin août, on s’est fait voler par un groupe de cinq personnes. Ils ont fait plein de boutiques avec des grands sacs. Ils passaient très rapidement, rentraient, se servaient, et partaient. C’était très organisé. Les voleurs savent qu’en centre-ville il n’y a personne pour les en empêcher, c’est la fête !, assure une commerçante. Il y a des gens qui se droguent devant la porte du magasin, parfois ils rentrent font leurs petites affaires et repartent. Capitale européenne ? Mais on est où là ? » Des problème d’insécurité, mais aussi d’hygiène et d’occupation de l’espace public. Certains commerçants disent « ne plus quoi faire, à qui s’adresser ».
Ca ne m'étonne pas, à Strasbourg : le maire est une femme écolo de gauche, naive et incapable. Au centre ville je n'y vais plus ou rarement. Il y a peut-être 30 à 40 % des passants qui sont des sans abris, qui squattent avec des chiens, aux Grandes Arcades. Il y a beaucoup plus de mendiants dans les rues qu'il y a 10 ans. On se fait souvent aborder par les mendiants, il y a même la combine "jeune femme étrangère avec un bébé" qui baratine le passant pour l'apitoyer. En fait c'est probablement de la mendicité organisée.
Florence67 a écrit:Ca ne m'étonne pas, à Strasbourg : le maire est une femme écolo de gauche, naive et incapable.
Toutes les villes dirigées par PS/EELV, à savoir Nantes, Rennes, Grenoble, Paris, Lyon, etc... sont devenues des trous à merde migratoires, des coupe gorge diversitaires...
Aujourd'hui, la situation est irréversible. C'était dans les années 90 qu'il était encore possible d'agir énergiquement. Il faut avoir la lucidité de reconnaître qu'il est trop tard maintenant. Voter pour Marraine Lapine, Gargamel, Vaselineau, Dupont Gnan-Gnan ou Philipette est illusoire, car il est bien trop tard pour envisager une solution politique à l'invasion migratoire et à la criminalité. La situation est totalement hors de contrôle. Tous les candidats aux élections le savent, et nous aussi...
Et si par hasard, un gouvernent fort, "d'extrême ultra droite néo fasciste" arrivait au pouvoir et envisageait d'expulser, par la force, par les armes, une armée de 10 millions de criminels et délinquants étrangers, ça serait immédiatement la guerre civile, avec des dizaines de milliers d'armes de guerre qui sortiraient des caves des banlieues...
Et si on laisse ces criminels étrangers piller les magasins, détrousser voler et tuer les habitants, ce sera aussi le chaos et la guerre civile de basse intensité, une guerre silencieuse sur une base ethnique et religieuse, un francocide lent et douloureux... qui a débuté il y a 40 ans avec "Touche pas à mon pote", qui peut se traduire aujourd'hui par "On va tuer le blanc!".
En conclusion, il faut quitter les grandes villes, vite!
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Juvisy-sur-Orge (91) : Un restaurateur égorgé par un client mécontent
Un homme a été grièvement blessé à l'arme blanche ce vendredi après-midi dans un bar-brasserie de Juvisy-sur-Orge (Essonne). Touché au niveau de la gorge, il a été conduit à l'hôpital alors que son pronostic vital était engagé selon nos informations. https://actu17.fr/faits-divers/essonne-un-homme-entre-la-vie-et-la-mort-apres-un-coup-de-couteau-a-la-gorge-a-juvisy-sur-orge.html
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» Garçon? Une coupe de sentiment d'insécurité, avec une larme de crème de mûres à l'Armagnac, je vous prie.
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