Communiqué
Le 27 novembre 2018
Le Pacte mondial sur les migrations de l’ONU veut nous imposer un monde ouvert et sans frontières et une immigration massive!
Le “Pacte mondial des Nations unies pour des migrations sûres, ordonnées et régulières” sera signé, les 10 et 11 décembre, par la France et de nombreux pays. Mais il y aura de fortes défections dont beaucoup en Europe.
Au nom des Droits de l’Homme, l’ONU impose sa vision d’un monde sans frontières, où les migrations seraient inéluctables et constitueraient forcément un bienfait et une richesse pour les pays d’accueil.
Elle dénie aux peuples leur droit de protéger leur identité, de contrôler leurs frontières, et plus généralement d’assurer leur survie.
Elle prévoit de faire taire les voix discordantes.
En martelant cette rhétorique, les Nations unies cherchent à instaurer comme une évidence le fait que n’importe quel individu pourrait s’installer dans n’importe quel pays, s’y intégrer sans problème dans un mélange de cultures forcément bénéfique.
Aussi s'inscrivant dans la logique de l'ONU, à Marrakech, notre président signera un texte qui permet, selon lui, au nom des Droits de l’Homme, de pousser les Etats à se plier à l’idée d’une libre migration et à professer le credo officiel des bienfaits de celle-ci.
Pourtant, le pacte fait l'objet de toutes les attentions et de nombreuses tensions. Plus la date de signature approche, plus les critiques et les défections augmentent.
Mais au fond, de quoi s'agit-il?
Quelle est l'origine du pacte?
Tout a commencé le 19 septembre 2016 avec la Déclaration de New York pour les réfugiés et les migrants. Les pays membres de l’ONU prévoient alors la signature d’un Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières.
L'objectif affiché: le "renforcement de la coopération relative aux migrations internationales sous tous leurs aspects."
Le texte part ainsi du constat "qu’aucun État ne peut gérer seul la question des migrations " et donc qu’ensemble, avec une meilleure
coopération, les Etats peuvent réduire les tragédies liées à la migration et combattre le trafic d’êtres humains.
Ainsi, pour le président de l'assemblée générale de l’ONU, Miroslav Lajcak, le pacte peut contribuer à "tirer parti des avantages de la migration et à atténuer les risques.
Il peut fournir ne nouvelle plate-forme de coopération. Et cela peut être une ressource pour trouver le juste équilibre entre les droits des peuples et la souveraineté des États."
Les négociations sur ce pacte ont débuté en avril 2017 pour aboutir à un texte final le 13 juillet 2018. Les 192 états qui ont participé au processus ont rendez-vous à Marrakech le 10 et 11 décembre prochains pour adopter le texte.
Quel est son contenu?
Après 18 mois de discussions, les Etats se sont accordés sur
un texte de 41 pages permettant d’aboutir à des migrations plus sûres, ordonnées et régulières.
Apparemment, le pacte est juridiquement non-contraignant mais n’en reste pas moins un texte porteur d’un message et d’engagements forts qui suscitent de nombreuses inquiétudes.
Concrètement, il fixe 23 objectifs précis et pour chacun de ces objectifs, les mesures nécessaires pour l’atteindre.
Les plus importants seront explicités prochainement.
Qui signera le pacte à Marrakech ?
Au départ, tous les pays membres des Nations-Unies (193 pays) ont entamé les discussions pour élaborer ce Pacte mondial. Mais en cours de route, plusieurs pays ont fait défection, à commencer
par les Etats-Unis en décembre 2017 qui ont considéré que le
pacte était incompatible avec leur
politique migratoire.
Quelques mois plus tard, en juillet 2018, la Hongrie, pays
suite sur vos messageries.
Le 27 novembre 2018
Le Pacte mondial sur les migrations de l’ONU veut nous imposer un monde ouvert et sans frontières et une immigration massive!
Le “Pacte mondial des Nations unies pour des migrations sûres, ordonnées et régulières” sera signé, les 10 et 11 décembre, par la France et de nombreux pays. Mais il y aura de fortes défections dont beaucoup en Europe.
Au nom des Droits de l’Homme, l’ONU impose sa vision d’un monde sans frontières, où les migrations seraient inéluctables et constitueraient forcément un bienfait et une richesse pour les pays d’accueil.
Elle dénie aux peuples leur droit de protéger leur identité, de contrôler leurs frontières, et plus généralement d’assurer leur survie.
Elle prévoit de faire taire les voix discordantes.
En martelant cette rhétorique, les Nations unies cherchent à instaurer comme une évidence le fait que n’importe quel individu pourrait s’installer dans n’importe quel pays, s’y intégrer sans problème dans un mélange de cultures forcément bénéfique.
Aussi s'inscrivant dans la logique de l'ONU, à Marrakech, notre président signera un texte qui permet, selon lui, au nom des Droits de l’Homme, de pousser les Etats à se plier à l’idée d’une libre migration et à professer le credo officiel des bienfaits de celle-ci.
Pourtant, le pacte fait l'objet de toutes les attentions et de nombreuses tensions. Plus la date de signature approche, plus les critiques et les défections augmentent.
Mais au fond, de quoi s'agit-il?
Quelle est l'origine du pacte?
Tout a commencé le 19 septembre 2016 avec la Déclaration de New York pour les réfugiés et les migrants. Les pays membres de l’ONU prévoient alors la signature d’un Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières.
L'objectif affiché: le "renforcement de la coopération relative aux migrations internationales sous tous leurs aspects."
Le texte part ainsi du constat "qu’aucun État ne peut gérer seul la question des migrations " et donc qu’ensemble, avec une meilleure
coopération, les Etats peuvent réduire les tragédies liées à la migration et combattre le trafic d’êtres humains.
Ainsi, pour le président de l'assemblée générale de l’ONU, Miroslav Lajcak, le pacte peut contribuer à "tirer parti des avantages de la migration et à atténuer les risques.
Il peut fournir ne nouvelle plate-forme de coopération. Et cela peut être une ressource pour trouver le juste équilibre entre les droits des peuples et la souveraineté des États."
Les négociations sur ce pacte ont débuté en avril 2017 pour aboutir à un texte final le 13 juillet 2018. Les 192 états qui ont participé au processus ont rendez-vous à Marrakech le 10 et 11 décembre prochains pour adopter le texte.
Quel est son contenu?
Après 18 mois de discussions, les Etats se sont accordés sur
un texte de 41 pages permettant d’aboutir à des migrations plus sûres, ordonnées et régulières.
Apparemment, le pacte est juridiquement non-contraignant mais n’en reste pas moins un texte porteur d’un message et d’engagements forts qui suscitent de nombreuses inquiétudes.
Concrètement, il fixe 23 objectifs précis et pour chacun de ces objectifs, les mesures nécessaires pour l’atteindre.
Les plus importants seront explicités prochainement.
Qui signera le pacte à Marrakech ?
Au départ, tous les pays membres des Nations-Unies (193 pays) ont entamé les discussions pour élaborer ce Pacte mondial. Mais en cours de route, plusieurs pays ont fait défection, à commencer
par les Etats-Unis en décembre 2017 qui ont considéré que le
pacte était incompatible avec leur
politique migratoire.
Quelques mois plus tard, en juillet 2018, la Hongrie, pays
suite sur vos messageries.
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