Souad Merah, la sœur de la racaille a été piégée en caméra cachée. Elle exprime, en privé, des opinions, certes contestables mais qui n’étaient pas destinées à être publiées sur un média quelconque.
Se pose, à mon avis, le problème de la libre expression. Je veux bien admettre, à l’extrême limite, qu’en public certains propos peuvent être assimilés, avec énormément de bonne volonté, à une provocation. Mais dans le cercle privé chacun n’a-t-il pas le droit fondamental d’exprimer ses propres idées ?
Allons-nous rapidement devoir supporter une société qui nous dira ce qui est bien, ce qui est mal et nous contraindra à ne plus jamais pouvoir exprimer sa propre opinion si elle n’est pas cataloguée politiquement correct.
Sommes-nous revenus au temps du fascisme ou du communisme le plus dur ? La loi Gayssot a bien marqué le début de cette privation de liberté d’expression . A partir du moment où certains s’octroient le privilège de pouvoir décider de ce qui est bien et de ce qui est mal, la liberté n’existe plus.
Je remarque que dans le même temps, certains rappeurs qui injurient la France et les Français dans les termes les plus grossiers ne sont inquiétés par personne.
Combien de temps allons-nous supporter cette justice à géométrie variable et d’abjects politiciens qui s’insurgent violemment quand un tapis de prière musulman est mouillé par la pluie mais ignorent volontairement le massacre de nos églises catholiques ?
Se pose, à mon avis, le problème de la libre expression. Je veux bien admettre, à l’extrême limite, qu’en public certains propos peuvent être assimilés, avec énormément de bonne volonté, à une provocation. Mais dans le cercle privé chacun n’a-t-il pas le droit fondamental d’exprimer ses propres idées ?
Allons-nous rapidement devoir supporter une société qui nous dira ce qui est bien, ce qui est mal et nous contraindra à ne plus jamais pouvoir exprimer sa propre opinion si elle n’est pas cataloguée politiquement correct.
Sommes-nous revenus au temps du fascisme ou du communisme le plus dur ? La loi Gayssot a bien marqué le début de cette privation de liberté d’expression . A partir du moment où certains s’octroient le privilège de pouvoir décider de ce qui est bien et de ce qui est mal, la liberté n’existe plus.
Je remarque que dans le même temps, certains rappeurs qui injurient la France et les Français dans les termes les plus grossiers ne sont inquiétés par personne.
Combien de temps allons-nous supporter cette justice à géométrie variable et d’abjects politiciens qui s’insurgent violemment quand un tapis de prière musulman est mouillé par la pluie mais ignorent volontairement le massacre de nos églises catholiques ?
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