Pendant que l'on tire sur la police dans les quartiers de la région parisienne, en Algérie, on continue à insulter copieusement la France.
Le Figaro a en effet révélé les propos antisémites du ministre algérien des Anciens combattants, Mohammed Cherif Abbès, issu du Rassemblement national des démocrates (RND), un parti soutenant le président Abdelaziz Bouteflika.
Il a accusé le président français Nicolas Sarkozy de devoir son élection au "lobby juif qui a le monopole de l'industrie en France". Il a également ajouté : "Vous connaissez les origines du président français et ceux qui l'ont amené au pouvoir. (…) Saviez-vous que les autorités israéliennes avaient mis en circulation un timbre à l'effigie de Sarkozy, en pleine campagne électorale ?" .
Ce sinistre crétin a également affirmé que la venue du chanteur Enrico Macias, lors de la visite du président français en Algérie du 03 au 05 décembre était "une provocation".
Ne nous y trompons pas. Derrière cet antisémitisme d'Etat, qui curieusement n'a pas provoqué un tollé dans les médias français, c'est la France qu'on insulte une nouvelle fois à travers la personne de son président.
"Cette chienne qu'il faut baiser" comme le disent nos amis poètes du Rap, idoles des "jeunes" émeutiers des quartiers.
Mais le plus triste dans cette histoire, c'est moins les propos de cet imbécile que la réaction des autorités françaises. Nicolas Sarkozy a demandé à Enrico Macias... de renoncer à l'accompagner. Jean-Pierre Raffarin a estimé, quant a lui, qu'il ne fallait pas "mettre de l'huile sur le feu".
Ah la politique du pantalon baissé... Tout un art chez certains de nos hommes politiques. Quant au quai d'Orsay il a déclaré d'une manière hypocrite et lâche : "Nous nous étonnons de ces propos, parus dans la presse, qui ne correspondent pas au climat de confiance et de coopération (sic !) dans lequel nous préparons la visite d'Etat du Président de la république ."
Or la seule réaction possible après une telle insulte c'est au minimum l'exigence d'excuses publiques.
Sinon pourquoi devrait t-on s'étonner de voir les Français issus de l'immigration algérienne ou marocaine siffler la Marseillaise ?
Pourquoi devrait t-on s'étonner de voir les mêmes tirer sur les policiers, attaquer les pompiers et brûler les édifices publics en criant leur haine de la France ?
Si les autorités françaises ne sont pas capables de faire respecter la France, qui le fera ?
Cette complaisance qui consiste à accepter l'inacceptable se retrouve dans la ridicule affaire soudanaise qui, pour le coup, fait la Une des journaux.
Gillian Gibbons, institutrice britannique à Khartoum risque quarante coups de fouet, six mois à un an de prison et une amende pour avoir baptisé une peluche « Mahomet ».
Elle a été inculpée mercredi par le parquet pour « insulte à l’islam et incitation à la haine ». Rien que ça.
Pourtant le nom a été choisi par les élèves eux-mêmes, des mauvais musulmans sans aucun doute, après...un vote. Il est vrai que pour les autorités soudanaises un vote relève de la science fiction !!!
Mais encore une fois, au-delà de la réaction de ces malades mentaux, le plus grave est finalement la lâcheté des Européens devant ces obscurantistes.
Par peur des représailles, l'établissement anglophone privé Unity High School a en effet déjà... présenté ses excuses aux musulmans qui s’estiment offensés et a fermé ses portes jusqu'au mois de janvier sur ordre des autorités soudanaises.
Quant à la diplomatie britannique, loin de taper du poing sur la table afin de remettre à leur place la bande de tarés génocidaires responsables de l'extermination de plus de 1.5 millions de chrétiens et animistes au Sud-Soudan et de 200.000 musulmans noirs au Darfour, elle préfère faire profil bas. Reviens Churchill, ils sont redevenus lâches !
Le 13 novembre dernier à Dole sept hommes étaient interpellés à Besançon et Pontarlier.
Quarante huit heures plus tard, cinq d'entre eux, dont quatre sont français d'origine bosniaque et le cinquième de nationalité algérienne, étaient acheminés sur Paris pour y être mis en examen pour "appartenance à une association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste et infraction à la législation sur les armes".
Au lycée Jacques Duhamel de Dole, c'est la consternation : le chef des islamistes présumés y était... prof depuis 2004.
Ces personnes faisaient l'objet d'une surveillance car ils étaient en possession d'armes de calibre de guerre et ils s'entraînaient régulièrement en forêt.
Lors des perquisitions, une Kalachnikov et dix armes de poing ont été retrouvées ainsi que des tenues de camouflage, des armes blanches et des documents intégristes ont été retrouvés à leurs domiciles de Besançon ou Pontarlier.
Encore une fois la politique de l'autruche est mauvaise conseillère.
Le ver est déjà dans le fruit…
David Bescond sur http://www.rebelles.info/
La France en morceaux
« Crise sociale » , répètent les perroquets devant les émeutes de Villiers-le-Bel (Val-d’Oise). C’est ainsi que, depuis plus de vingt ans, des milliards ont été consacrés à la rénovation des cités et au soutien à leurs associations. En vain, comme l’a noté la Cour des comptes. En dix-sept ans, dix neuf ministres ou secrétaires d’État à la Ville ont tenté de colmater des brèches. Résultat : cette semaine, des CRS ont été atteints par des tirs de fusils de chasse. Jamais la crise identitaire n’a été aussi visible.
La paix civile est menacée par cette fracture culturelle que ni la droite ni la gauche n’osent pourtant diagnostiquer. Comme lors des émeutes de novembre 2005, deux écoles et une bibliothèque, symboles d’une République rejetée, ont été notamment incendiées par de jeunes encagoulés, mobilisés pour défendre leur territoire. En deux nuits, plus de cent policiers ont été blessés lors de guérillas d’une violence jamais atteinte.
Le discours automatique juge « réactionnaires » ceux qui décrivent ce pays en morceaux (bloc notes de la semaine dernière). Réuni samedi à Avignon sur le thème de la nation, pour son premier forum de la rénovation, le PS n’a pas su émettre une seule idée. « Il faut apporter des solutions et de l’espoir », s’est enhardi Jean Marc Ayrault. Il est vrai qu’un examen de la situation amènerait la gauche à s’interroger sur son éloge de l’immigration et du métissage des cultures.
Car deux France, aujourd’hui, se font face. La remarquable insertion d’innombrables compatriotes originaires du Maghreb ou d’Afrique ne peut faire oublier le séparatisme ethnico-religieux qui se consolide dans certains ghettos. L’appel de Michèle Alliot-Marie, ministre de l’Intérieur, invitant mardi la population locale à « isoler les délinquants » est resté sans effet : personne n’est descendu dans les rues pour dénoncer les désordres. Une solidarité existe.
Cette réalité signe la faillite du multiculturalisme, louangé par la bien-pensance. Si la République persiste à tolérer les zones de non droit, leur économie souterraine et les processus enclenchés de leur réislamisation, ces lieux feront sécession un jour ou l’autre. Déjà, Henri Emmanuelli, député PS, critique les forces de l’ordre qui « donnent l’impression d’une police d’occupation », pour leur préférer une police de proximité à l’image des cités. Mais cette flatterie du communautarisme est une menace pour la cohésion nationale.
(...a suivre)
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